Iranian leaders fear that Türkiye, emboldened by the ousting of the Assad regime in Syria, will further advance its influence in the South Caucasus at the expense of Iran.
Iran’s foreign minister visited Tehran’s key South Caucasus ally, Armenia, last week to coordinate efforts to thwart the establishment of a Turkish-backed transit corridor that would block Iran’s land access to Armenia.
Iran continued to threaten US bases and forces, likely to try to discourage a potential US or Israeli strike on Iranian nuclear facilities amid US threats to strike these facilities. Iranian armed forces-run Defa Press published a piece on April 2 claiming that Iran “certainly has sufficient weapons” to attack Diego Garcia Island.[i] The United States has recently increased its military presence at Diego Garcia Island.[ii] The piece stated that US Air Force and Navy “strategic assets” and “4000 US soldiers” at Diego Garcia would be “at risk of complete destruction” if the United States attacked Iran.[iii] There are normally roughly 400 US military personnel and 2,000 civilian contractors at Diego Garcia.[iv] The article outlined the following options for an Iranian attack on US assets at Diego Garcia.
Moscou et Beijing poursuivent le travail conjoint dans le cadre du partenariat hautement stratégique qui lie les deux nations et puissances mondiales de premier rang. Comme à l’habitude des relations sino-russes contemporaines, indépendamment de la conjoncture internationale et des gesticulations d’une évidente minorité planétaire.
Je vous remercie de m’avoir invité à prendre la parole aujourd’hui à l’occasion de cet anniversaire historique. Le mois dernier, je me suis adressé au Conseil de sécurité des Nations unies à l’occasion du dixième anniversaire de la signature des accords de Minsk II. Les personnes intéressées peuvent consulter l’enregistrement sur le site UNTV. Ce jour-là, je m’en suis tenu à l’ordre du jour, à savoir l’Ukraine, la Crimée, le Donbass et la guerre en Ukraine, mais j’ai mentionné le Secteur droit, Stepan Bandera et la place du suprématisme blanc dans la politique ukrainienne, mais je n’ai pas fait de digressions. Aujourd’hui, je ne suis pas limité par le protocole et, avec votre permission, je ferai les digressions que je jugerai nécessaires.
Le recours à l’arme nucléaire : une propagande anxiogène ou la préparation à un réel danger ?
Les dernières déclarations bellicistes d’Emmanuel Macron ne sont que le énième exemple d’une tendance inquiétante : la banalisation dans le discours public de l’idée d’une troisième guerre mondiale.
À la fin de la guerre froide le consensus était, de part et d’autre du «rideau de fer», qu’une conflagration entre grandes puissances était nécessairement synonyme de catastrophe existentielle. Lorsqu’en novembre 1985 les présidents Reagan et Gorbachev ont fait à Genève leur déclaration historique affirmant qu’«une guerre nucléaire ne peut être gagnée et ne doit jamais être menée», cela a enterré, pour toujours pensait-on à l’époque, les craintes d’un tel conflit.
On February 27, Abdullah Öcalan, founding member of the Kurdistan Workers Party (PKK), called for the PKK to disarm and dissolve. This announcement, supported by various Kurdish leaders in the Kurdistan Region of Iraq (KRI), has instilled a sense of hope for peace amid a long-standing conflict that has claimed countless lives and caused enduring regional instability. Yet, while the streets of Sulaymaniyah, Qamishlo, Diyarbakir, and Van have erupted in celebration, the path forward is fraught with obstacles that could derail this new opportunity.
In recent weeks, much international attention has focused on the war between Russia and Ukraine, and US President Donald Trump’s efforts to bring the fighting to an end.
However, another long-standing conflict, just a few hundred kilometers southeast of Ukraine, might also be approaching a peaceful resolution: the more than 30-year struggle between Armenia and Azerbaijan in the South Caucasus.
Les mercenaires sont de retour. Via les SMP, qui se multiplient, afin d’apporter des garanties de sécurité. Elles ne sont plus uniquement occidentales : nombreux sont les pays d’Asie à disposer de SMP. Entretien avec Valère Llobet.
Valère Llobet est doctorant en science politique, spécialiste des sociétés militaires privées. Il vient de publier Guerres privées. Les sociétés militaires à l’assaut du monde (Le Cerf, 2024). Propos receuillis par Jean-Baptiste Noé
It’s not been a good week for two of the Muslim Brotherhood’s most prominent affiliates. In Gaza and in Turkey, the final days of the holy month of Ramadan have been marked by angry demonstrations calling for an end to the rule of, respectively, Hamas and the Justice and Development (AKP) Party.
Dans le contexte géopolitique actuel extrêmement mouvant et tendu, l’Europe s’apprête donc à injecter 800 milliards pour financer son réarmement. Une enveloppe qui devrait d’ailleurs se rapprocher plus des 1000 milliards d’euros. Un exercice déjà bien rodé se met en place à l’instar des crises précédentes. Le son de clairon se propage dans tous les médias. La guerre est à nos portes ! Cette fois, nous ne sommes plus en guerre contre un virus, comme avait dit Macron, mais contre les Russes. Un épouvantail bien commode qui réveille dans la mémoire des Européens les peurs de la guerre froide et la Russie amalgamée au fantôme de l’URSS, le meilleur ennemi d’autrefois.