The Islamic State (IS) has returned to the spotlight in Damascus. According to the Syrian Ministry of Interior, the group conducted a suicide bombing on June 22 at a Greek Orthodox church in the Syrian capital, killing at least 25 and wounding more than 60. The bombing marked the group’s first attack in Damascus since the fall of the Bashar al-Assad regime.
More than 122 million people have been forcibly displaced, according to the UN Refugee Agency as of June 2024 — an increase of 5.3 million, compared to the end of 2023. Those fleeing are being pushed out by persecution, conflict, violence, human rights violations, and breakdowns in public order. The numbers are expected to soar tragically higher now, given continuing crises globally, in the Democratic Republic of the Congo, Gaza, and Sudan, among other places.
The current state of unpredictability and hostility in international affairs is forcing actors to modify their approaches to their neighbours. As the new international order, based on multi-polarity and regional cooperation continues to take shape, the Eurasian continent remains firmly at the heart of this transformation.
It remains to be seen whether Serbia will keep its word and no longer indirectly arm Ukraine.
Serbia surprised some observers after its President and Prime Minister assured Russia that it’ll no longer indirectly arm Ukraine, which came after Russia’s Foreign Spy Service (SVR) said that Serbia hasn’t discontinued this trade that it first raised awareness about in late May. Serbia’s latest smooth-talking towards Russia is politically self-serving, however, since it preceded last weekend’s attempt to revive the protest movement which Moscow consistently assessed to be a Western-backed Color Revolution.
Les pays du flanc oriental de l’OTAN ont annoncé qu’ils étaient prêts à frapper sur le territoire de la Russie en cas d’agression. Pour eux, la question n’est pas de savoir si cela va avoir lieu, mais quand ?
Les pays, qui se trouvent sur le flanc oriental, déclarent une nouvelle stratégie de défense contre la Russie, menaçant d’attaquer la Russie et de la bombarder s’ils se considèrent en danger jouant avec l’activation de l’article 5 de l’OTAN. «Dans les pays baltes – Lituanie, Lettonie et Estonie – on vit au quotidien la menace russe», rapporte Le Temps signalant une forme de paranoïa qui agite les élites de ces pays pourtant minuscules qui sont dans l’OTAN et dans l’UE, et qui, de ce fait, entraînent les autres pays de l’UE et de l’Alliance dans une escalade du conflit contre la Russie, menaçant de déboucher sur une guerre directe.
L’OCS peut ce que l’OTAN ne peut pas : désamorcer les hostilités en assurant une «sécurité indivisible» à ses États membres eurasiatiques et de par le monde multipolaire.
Les ministres de la Défense des dix membres de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) se sont réunis la semaine dernière à Qingdao, dans la province chinoise du Shandong.
Le 13 juin, l’entité sioniste a mené une attaque militaire criminelle et non provoquée contre l’Iran. Bien que son impact ait été limité, la riposte de Téhéran ayant été bien plus dévastatrice, l’assassinat ciblé par Israël d’un certain nombre de scientifiques nucléaires iraniens indique que Tel-Aviv connaissait leur identité et leur localisation. Par coïncidence, la veille de l’attaque, Press TV a publié des documents indiquant que l’Agence internationale de l’énergie atomique a précédemment fourni aux services du renseignement israéliens les noms de plusieurs scientifiques nucléaires iraniens qui ont ensuite été assassinés.
Les plans des leaders européens, qui prétendent donner à l’UE une puissante armée européenne autonome, sont déjà déchirés par l’obligation d’acheter les armes US. Devant nos yeux, Macron, von der Leyen, Starmer, Duda, Merz, qui veulent armer contre la Russie et pour l’Ukraine, essuient un camouflet. Les armées européennes vont devoir obéir aux USA, demander l’autorisation pour utiliser certaines armes et financer l’industrie de guerre US. Une stratégie financière se cache ici pour certains lobbies industriels.
La rhétorique belliciste et va-t-en-guerre des Occidentaux, signe de mythomanie et du syndrome d’hubiris, est souvent engoncée et véhiculée par la désinformation et la diversion. Les médias mainstream n’informent pas, ils façonnent les esprits. Les médias occidentaux et leurs sbires manipulent, désorientent, falsifient et altèrent les faits et la réalité pour échafauder un système cognitif qui s’adapte à leurs aspirations et leurs désirs. Cette incrustation abyssale s’intensifie, s’accentue et prend des formes et des mesures plus importantes et plus manifestes lorsque l’hégémon comprend qu’il est dans la mire et ressent la glissade sur la pente.
Former Iranian diplomat Rasoul Mousavi, who previously served as Director General for South Asian Affairs at Iran’s Ministry of Foreign Affairs, has stressed that Afghan migrants in Iran should not be equated with foreign spies.