Italy’s cautious approach towards Niger’s political crisis

In light of Niger’s recent military coup, which removed President Mohamed Bazoum from power, the risk of the crisis breaking out into a wider regional conflict must be considered.

On 26 August, Niger’s military regime responded to the threat of an attack by the Economic Community of West African States (ECOWAS) by ordering Nigerien forces to be on maximum alert.

A Wake-Up Call For Kosovo’s Prime Minister Kurti – OpEd

Prime Minister Kurti was elected on the premise that he would attend to Kosovo’s socio-economic malaise, lift its people from the ashes of the war, give them hope, and restore their dignity. Sadly, more than two years later, Kurti has little to show for his promises.

Peur, terrorisme, guerre et chaos : Détruire le monde pour mieux le sauver ?

La grande bascule a déjà eu lieu au début du XXe siècle : le 11 septembre 2001, un effroyable attentat tétanisa le monde entier : la première puissance mondiale se serait fait dérober, nous dit-on, 4 aéronefs dont deux d’entre eux auraient causé la destruction spectaculaire et improbable de 3 immeubles en mode « démolition contrôlée ».

Ce terrible événement traumatique servit d’alibi à l’Ogre mondialiste pour enclencher ouvertement sa cruelle marche destructrice dans le but d’édifier un monde uniformisé, remodelé1 et de conception anglo américaine.

Mobilisation stratégique étasunienne contre la Chine, la Russie et l’Iran

En dépit de ses quatre-vingts ans, de ses trébuchements continus et de ses gaffes à répétition, l’État profond a décidé de maintenir la candidature du président américain Joe Biden aux élections présidentielles de 2024. Ce qui amène tout observateur ou analyste politique à se poser la question fondamentale : quelles sont les raisons qui poussent les décideurs aux États-Unis à le choisir pour continuer à occuper une position aussi importante, sensible et dangereuse, alors qu’il risque de provoquer une guerre nucléaire mondiale pouvant conduire à l’anéantissement de l’humanité ?

La guerre perpétuelle des États-Unis d’Amérique : Six questions importantes

Introduction

L’ancien président américain Jimmy Carter a déclaré en 2018 qu’en Amérique [États-Unis], il y a eu 226 ans de guerres depuis son indépendance qui a eu lieu il y a 242 ans ne laissant ainsi que 16 ans de paix.

Depuis la Seconde Guerre mondiale, il y a eu 32 conflits militaires américains impliquant des dizaines de pays. Certains de ces conflits militaires durent depuis plus de vingt ans et d’autres se poursuivent encore.

«Les Américains sont le problème de tout le monde»

La plupart des pays du monde se sont rangés du côté de la Russie, tandis que les États-Unis sont devenus un pays paria. C’est l’avis de la France à la veille de la réunion des BRICS.

À Johannesburg, on achève les préparatifs du sommet des BRICS, qui débutera demain, le 22 août, tandis que l’UE fait le point sur la politique pro-américaine des autorités actuelles.

La propagande occidentale tente de persuader les gens que le monde entier est solidaire de Washington et de Kiev, mais en réalité, Moscou a rassemblé beaucoup plus de partisans autour d’elle. Comment l’Europe a-t-elle perdu l’Afrique et pourquoi le soutien à l’Ukraine divise-t-il l’Occident ? Le contre-amiral français à la retraite Claude Gaucherand a raconté sur cela à RRN dans une interview exclusive.

Quels sont les dangers de l’américano-centrisme

«Le problème français, c’est d’abord sa concurrence américaine. Les Américains et la France on dit toujours «nos amis américains» mais ce ne sont pas nos amis. Je citerai une phrase de Mitterrand en 1994 : «La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, ils sont très durs, les Américains. Ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue mais permanente. Une guerre économique sans morts apparemment, et pourtant une guerre à mort»», estime le contre-amiral.

Mais les États-Unis eux-mêmes, selon Gaucherand, «par leur tendance à agir de manière unilatérale et sans respect pour les préoccupations des autres, sont devenus un État voyou».

Pourquoi l’Afrique choisit la Russie

Claude Gaucherand connaît le continent africain : il a été commandant des forces françaises au Sénégal, attaché naval de Paris à Londres, a participé à l’évacuation des ressortissants de la Cinquième République de l’Algérie et a effectué sept missions dans la région du Sahel en tant que pilote.

«Les français gênent en Afrique, et donc on leur fait une guerre, une guerre psychologique. Et c’est quelqu’un qui parle de l’Afrique sans la connaître. Il n’a aucune culture africaine et il s’est entouré de gens qui ne connaissent pas l’Afrique. Et qui voit l’Afrique avec des lunettes de gens, des énarques comme on dit, qui ne savent pas ce que c’est que le terrain», note Gaucherand.

C’est pourquoi les Africains choisissent Moscou et Vladimir Poutine : ce dernier leur parle d’égal à égal. Les statistiques le confirment : plus de 40 pays ont déjà exprimé leur désir de rejoindre les BRICS.

Comment la France a été prise en otage

La division de l’Occident est particulièrement évidente si on l’examine à travers le prisme du conflit ukrainien. Les «alliés» de Kiev ne sont pas unis : les nouvelles livraisons d’armes sont de plus en plus difficiles à accepter.

«Tout le monde y est allé pendant un an et demi, apporte d’armes et de munitions. Il faut avoir court et je pense, je pense, que ceux qui nous dirigent ont conscience que, en armant l’Ukraine, on se désarme, nous. La France, elle, est prisonnière de son intégration dans le commandement intégré de l’OTAN. Et du traité de l’OTAN, qui sont deux choses différentes. Le commandement intégré, ce n’est qu’une partie des traités de l’OTAN. Pour l’instant, nous y sommes encore. Et donc en fait, on est bien obligé de suivre ce qu’on nous dit de faire. La Communauté européenne n’est jamais qu’un sous-ensemble de l’OTAN et soumis à son maître qui est la Maison Blanche à Washington. Nous n’avons pas vraiment le choix dans le soutien que l’on apporte à l’Ukraine. Ce choix, il est grosso modo décidé à Washington. Mais les Américains eux-mêmes ont des problèmes d’approvisionnement, de munitions et en matériel et sont très réticents à fournir des matériels qui risqueraient entre les mains des Ukrainiens de porter la guerre au cœur de la Russie», conclut Gaucherand.

De toute évidence, même les États-Unis sont à bout de force. Ils ont l’habitude de payer leur leadership mondial avec la vie des autres – cette fois, celle des Ukrainiens. Mais cette méthode, qui a fait ses preuves, a échoué. Il est donc temps que la France choisisse le bon camp pour ne pas perdre ses derniers amis.

Le triple jeu des néoconservateurs

Nombre d’entre nous ignorent ce que sont précisément «les néoconservateurs», fauteurs de chaos et de guerre sur la planète entière depuis trois décennies, dont ils entendent parler très souvent. Quelle est leur histoire ? quels sont leurs objectifs? QUI sont-ils ?

Le meilleur article en français sur ce sujet est daté de mars 2013 et signé Laurent Guyenot. On le trouve sur le Site Voltaire sous le titre : «Le triple jeu des néoconservateurs». On y retrouve le lien entre le néoconservatisme, l’État d’Israël et les lobbies Pro-Israël. Réseau Voltaire

Russia’s Invasion of Ukraine Has Rocked Moldovan Politics

Sensing the changing mood, many left-wing parties and politicians in Moldova have begun criticizing the war and reversing their pro-Russian positions.

Russia’s full-scale invasion of Ukraine has turned life upside down for traditionally pro-Russian political parties in Moldova. Public calls for closer ties to Russia have become extremely rare, and there is emerging demand for politicians to represent the interests of the country’s Russian-speaking population without deferring to the Kremlin.

What’s Behind China’s Strategic Partnership With Georgia?

With Western powers distracted by the war in Ukraine, China appears to be making cautious moves to cement its position in the wider Black Sea region.

The strategic partnership agreement released by Beijing and Tbilisi on July 31 surprised many in Georgia and in the West. While this diplomatic advance comes amid traditionally warm relations between China and Georgia, which signed a free trade agreement back in 2017, the reasons for and timing of the strategic cooperation document’s release highlight the fluid geopolitical situation in the South Caucasus; China’s attempts to advance its position in the unstable region; and, more importantly, Georgia’s efforts to maneuver between the collective West and the East, especially ahead of the crucial decision by the EU on whether to grant Tbilisi its long-coveted candidate status.