Téhéran et Moscou ne se font pas d’illusions et se préparent en conséquence. La guerre contre les BRICS ne fait que commencer.
La Syrie telle que nous la connaissions est éviscérée en temps réel – en termes géographiques, culturels, économiques et militaires – par une effroyable confluence de troupes mercenaires Djihadiste-à-louer et de génocidaires psychopathologiques priant à l’autel d’Eretz Israël.
Hybrid warfare has made the transition from being a purely theoretical concern to a multifaceted and pervasive strategy that fundamentally affects the structure of modern societies. It has transcended the boundaries of propaganda and disinformation, by transforming these tools into powerful weapons to influence democratic processes and government decision-making. In this context, the Western Balkans represents a dynamic laboratory where hybrid strategies are clearly manifested, which not only challenge the stability of the region, but also reconfigures its political and social landscape.
On December 8, 2024, the 24-year reign of Syrian strongman Bashar al-Assad came to an end after a rebel coalition of Al-Qaeda offshoots, Turkish proxies, and other Islamist militants overwhelmed the capital of Damascus. In effect, a Sunni Islamist saturnalia brought an end to the Middle East’s last secular Arab government.
The Assad family, starting with Hafez al-Assad in 1971, has held an iron grip on Syrian politics for over five decades. As committed members of the Arab Socialist Ba’ath Party, the Assads aligned with rivals to the West and Israel such as the Soviet Union, the Islamic Republic of Iran, and later on the Russian Federation.
Following revolutions, we Americans have a touching inclination to ask: “Are the new leaders like us? Are they moderates who believe in tolerance and peaceful coexistence?”
American officials are scrambling to head off a new nightmare scenario in Syria: a major terrorist jailbreak.
Thousands of Islamic State group fighters and their families remain in makeshift prisons, watched over by U.S.-backed Kurdish forces with limited weapons. The prisons were supposed to be temporary, but their home countries don’t want the fighters back.
The leader of Hay’at Tahrir al-Sham (HTS), the Islamist rebel group that spearheaded the ouster of the Bashar al-Assad regime, said Tuesday that Syria’s rebel factions will be dissolved, with all fighters uniting under the country’s Defense Ministry.
Pour comprendre la réalité de ce qui vient de se passer en Syrie, sur la chute du gouvernement de Bashar al-Assad cédant la direction du pays au néo-groupe pseudo-terroriste islamiste fraichement rasé de près, rebaptisé HTS (Hay’at Tahrir al-Sham, je ne l’écrirai au complet qu’une seule fois !), il faut d’abord comprendre l’enjeu réel caché derrière la Syrie sur l’échiquier géopolitique.
Est-ce un hasard si le général Kirillov, chef des forces de défense radiologique, chimique et biologique de la Russie, assassiné dans un attentat, était celui qui avait dévoilé des éléments précis sur le rôle des États-Unis dans des laboratoires biologiques produisant des armes chimiques en Ukraine ?
Le lieutenant-général Igor Kirillov, chef des troupes de défense radiologique, chimique et biologique des forces armées russes, a été tué dans une explosion provoquée par un engin explosif improvisé placé dans une mobylette près de sa résidence à Moscou.
Le lundi 9 décembre 2024, les rédactions de France et de Navarre exultent ! Le «tyran» et «boucher» Assad est tombé, après presque quinze années de guerre de l’Occident, un blocus criminel et des centaines de milliers de morts. L’armée des «rebelles» a vaincu. Des «rebelles» qui sont aussi des «islamistes djihadistes», une information dont la divulgation est désormais autorisée par la Kommandantur de l’OTAN». Brrrr», tremble le petit Occidental un peu perdu à vrai dire car, pendant vingt ans, on lui a dit que les «djihadistes» avec des longues barbes (à ne pas confondre avec le père Noël !) sont les pires ennemis de la démocratie. Mais quelques photos prises cette fois sous le bon angle, une barbe coupée de près et un costume à l’occidental font subitement d’Abou Mohammad al-Joulani non plus un terroriste dont la tête est mise à prix par le FBI pour 10 millions de dollars, mais un «radical pragmatique», sauveur du peuple syrien et de la démocratie. Attention toutefois, préviennent les gouvernements et les rédactions (c’est la même chose) en Occident : il ne faudrait pas que la Syrie se disloque dans une guerre ethnique monstrueuse faisant des centaines de milliers de morts ! Ça n’est évidemment pas le but, ni des pays occidentaux, ni des Israéliens, certes menteurs patentés, massacreurs génocidaires, promoteurs du terrorisme d’État, mais avant tout «défenseurs de la démocratie» et «bienfaiteurs de l’humanité» comme tout petit Français qui écoute sagement son journal du matin sur Radio France ou qui regarde religieusement son journal du soir sur France 2 en est heureusement et scrupuleusement informé. N’avait-il pas déjà été informé le 21 août 2013, avec la rigueur et l’impartialité qui toujours caractérisent nos journalistes français, que le massacre de la Ghouta était dû au «boucher» Assad, ce monstre sanguinaire n’hésitant pas à tuer par dizaines de milliers sa propre population ? *
Usually, we would refrain from any racist notion, any attempt to accuse a large group on a religious basis, but in this case, we made very deep inquiries and made sure, that the statistics are sound. We had no alternative, but to publish the paper as it is.
Rape is rape and will be rape! Even if the motivation is supposedly of a fundamentalistic religious nature.
Rape is one more tool in the toolbox of Islamist terror to be used against the European population.