Hezbollah and Iran’s calculus as the conflict with Israel heats up

Following a series of brazen attacks against Iran-backed Hezbollah last week that decimated the Lebanese militant group’s command-and-control structure — an operation widely believed to have been executed by Israel — the two hostile parties have been trading some of the most severe fire since Oct. 7. With tensions ablaze, on Sept. 22, Hezbollah struck deep into Israel, firing retaliatory drones, rockets, and missiles at the Ramat David Airbase as part of its “open-ended battle of reckoning.” While most of these munitions were intercepted, the region is bracing for an all-out war with potentially devastating consequences for Lebanon. And as the Israeli side ups the ante with an expanding air campaign, Hezbollah shows no signs of backing down; speculation abounds about how the situation will evolve and especially how Tehran will respond.

Biden Can Halt Wider War: Stop Sending Arms

Israel’s violence toward its neighbors, long out of control in its destruction of Gaza, now threatens to open new fronts, involve new nations, and even drag the United States into direct conflict. Promises of a ceasefire from the Biden Administration have come to nothing. Soft, behind the scenes diplomacy has failed to achieve peace.

When Britain armed Iraq’s genocidal war on the Kurds

Conservative and Labour governments supported Baghdad’s brutal attack on the Kurds 60 years ago, knowing it may have constituted genocide, declassified files show.

  • UK ministers stepped up arms exports to Iraq’s regime after it launched a “terror campaign” against the Kurds in 1963
  • Thousands of rockets were sent to Baghdad knowing they would be use to destroy Kurdish villages
  • The British attempted to ensure the United Nations would not discuss allegations of genocide in Iraq
  • Labour government ignored Kurdish leader’s plea to prevent Iraq beginning possible chemical weapons attacks against Kurds

Le cybercide du Mossad au Liban et ses répercussions mondiales

Les explosions de bipeurs et de talkie-walkies du Mossad au Liban ne sont pas uniquement des crimes de guerre contre les civils. Ils n’ont pas touché les combattants, mais la force de police du Hezbollah et les civils au milieu desquels ils sont. Ils posent une question de sécurité beaucoup plus vaste. Immédiatement les gardiens de Révolution iraniens ont stoppé net l’usage de matériels électronique fabriqué en Occident, et pas seulement des outils de communication. Israël est le spécialiste mondial des logiciels espions. Désormais, nous savons qu’ils peuvent non seulement nous écouter à notre insu, mais aussi nous tuer. C’est vrai au Liban et partout dans le monde.

Le cybercide du Mossad au Liban et ses répercussions mondiales

Les explosions de bipeurs et de talkie-walkies du Mossad au Liban ne sont pas uniquement des crimes de guerre contre les civils. Ils n’ont pas touché les combattants, mais la force de police du Hezbollah et les civils au milieu desquels ils sont. Ils posent une question de sécurité beaucoup plus vaste. Immédiatement les gardiens de Révolution iraniens ont stoppé net l’usage de matériels électronique fabriqué en Occident, et pas seulement des outils de communication. Israël est le spécialiste mondial des logiciels espions. Désormais, nous savons qu’ils peuvent non seulement nous écouter à notre insu, mais aussi nous tuer. C’est vrai au Liban et partout dans le monde.

L’Iran dévoile un missile hypersonique imparable capable de frapper toutes les capitales européennes

Il peut aussi frapper tout porte-avions à moins de 4000 kilomètres des points de lancement en Syrie, en Irak, en Iran ou au Yémen et peut-être d’autres endroits mystérieux – rendant leurs avions inutiles.

Les tensions au Moyen-Orient sont à leur comble, avec une attaque présumée du Mossad visant des milliers de bipeurs et d’autres appareils électroniques domestiques au Liban. Cette escalade survient alors que la guerre sanglante à Gaza approche de son premier anniversaire.

Fico takes de facto control of Slovak parliament’s intelligence oversight committee

Prime Minister Robert Fico’s government coalition has de facto seized control of the parliamentary committee overseeing the Slovak Intelligence Service (SIS), traditionally led by the opposition, leading to fears about its impartiality and ability to investigate matters such as the alleged purchase of Pegasus spyware and concerns about bomb threats to schools.