This year has marked both a sharp increase in migrants attempting to reach Europe, as well as one of the deadliest on record, with thousands dying in the Mediterranean from overcrowded boats capsizing or sinking.
War and conflict, food insecurity, political and economic instability, and poverty – all of which are exacerbated by climate change – are among the primary drivers leading migrants to attempt the perilous journey to Europe.
Tighter border restrictions and diminished regular pathways have increased the demand – and profits – for smugglers and human traffickers, generating millions of euros a year for organized criminal networks, according to the European Coast Guard and Border Agency.
The increase in migrant arrivals via the Mediterranean route has recentered and amplified a fixture of European politics, providing considerable leverage for renewed autocracies like Tunisia and bolstering far-right narratives and policies.
Just yesterday, Russian authorities officially confirmed the death of Yevgeny Prigozhin, the infamous leader of the Wagner Group, who was killed in a plane crash over Russia last week, along with several other high-ranking leaders of the mercenary group.
Prigozhin was killed two months to the day of the coup, and amidst a flurry of other activity related to Russia’s military posture and force structure.
The next Wagner leader will likely be far less visible, less abrasive, and more under the radar compared with Prigozhin, whose torrent of abuse aimed at high-ranking Russian military officials was taking its toll within the Kremlin.
The future of Wagner seems to be in Africa, where its expeditionary operations and focus on providing muscle in exchange for access to resources is a much better fit for its expertise.
Tout juste dix ans après le sauvetage du gouvernement du Mali par l’opération militaire française Serval, devenue Barkhane quelques mois plus tard, la situation sécuritaire dans ce pays est structurellement plus fragile qu’en 2013. Au-delà du Mali, elle reste très sérieusement menacée à travers tout le Sahel et jusqu’aux pourtours du lac Tchad et des golfes du Benin et de Guinée. Pourquoi, malgré les immenses ressources humaines et matérielles, tant internationales qu’internes, mises en œuvre, cette détérioration sécuritaire continue ?
Les attaques terroristes contre le Burkina Faso, le Mali et le Niger se poursuivent de plus belle. Dans les trois pays, les événements violents ont augmenté de 36%, l’année écoulée, avec 2 737 graves incidents. Les deux premiers états font désormais confiance à leur coopération avec la Fédération de la Russie pour venir à bout du fléau. Ils ont accordé des concessions minières à Moscou, en guise de contrepartie partielle à l‘assistance militaire. Le rapprochement entre Ouagadougou et Bamako arrange les deux juntes, mais complique la lutte contre le terrorisme dans la sous-région, déjà mise à mal à la suite du départ du Mali du G5 Sahel. En revanche, le Niger continue sa coopération avec la France, dans ce difficile combat. Le sommet du G Sahel prévu la semaine prochaine à Ndjamena, sans le Mali, devrait être un bon indicateur du futur de cette organisation aux grands potentiels.
Depuis plus d’une décennie, l’exploitation aurifère, légale ou illégale et officielle ou informelle, connait une foudroyante expansion à travers tout le Sahel. Ses acteurs sont nombreux et vont des multinationales canadiennes et russes aux petits opérateurs informels locaux. Les revenus financiers et surtout les emplois créés, même très dangereux, sont considérables pour tous : sociétés privées, gouvernements et petits exploitants ainsi que leurs fournisseurs d’équipements, généralement du Moyen orient.
In light of Niger’s recent military coup, which removed President Mohamed Bazoum from power, the risk of the crisis breaking out into a wider regional conflict must be considered.
On 26 August, Niger’s military regime responded to the threat of an attack by the Economic Community of West African States (ECOWAS) by ordering Nigerien forces to be on maximum alert.
Prime Minister Kurti was elected on the premise that he would attend to Kosovo’s socio-economic malaise, lift its people from the ashes of the war, give them hope, and restore their dignity. Sadly, more than two years later, Kurti has little to show for his promises.
La grande bascule a déjà eu lieu au début du XXe siècle : le 11 septembre 2001, un effroyable attentat tétanisa le monde entier : la première puissance mondiale se serait fait dérober, nous dit-on, 4 aéronefs dont deux d’entre eux auraient causé la destruction spectaculaire et improbable de 3 immeubles en mode « démolition contrôlée ».
Ce terrible événement traumatique servit d’alibi à l’Ogre mondialiste pour enclencher ouvertement sa cruelle marche destructrice dans le but d’édifier un monde uniformisé, remodelé1 et de conception anglo américaine.
En dépit de ses quatre-vingts ans, de ses trébuchements continus et de ses gaffes à répétition, l’État profond a décidé de maintenir la candidature du président américain Joe Biden aux élections présidentielles de 2024. Ce qui amène tout observateur ou analyste politique à se poser la question fondamentale : quelles sont les raisons qui poussent les décideurs aux États-Unis à le choisir pour continuer à occuper une position aussi importante, sensible et dangereuse, alors qu’il risque de provoquer une guerre nucléaire mondiale pouvant conduire à l’anéantissement de l’humanité ?
L’ancien président américain Jimmy Carter a déclaré en 2018 qu’en Amérique [États-Unis], il y a eu 226 ans de guerres depuis son indépendance qui a eu lieu il y a 242 ans ne laissant ainsi que 16 ans de paix.
Depuis la Seconde Guerre mondiale, il y a eu 32 conflits militaires américains impliquant des dizaines de pays. Certains de ces conflits militaires durent depuis plus de vingt ans et d’autres se poursuivent encore.