«On va pas révéler des secrets ici… Le déclenchement de l’Opération Serval, la lettre du gouvernent malien putschiste appelant l’armée française, elle n’a pas totalement été rédigée à Bamako, on le sait bien».
Il devient de plus en plus évident pour un nombre croissant de personnes en Occident que quelque chose a terriblement mal tourné avec le projet ukrainien. Les prédictions et les projections ne se sont pas réalisées et l’Occident ne semble pas savoir quoi faire. L’économie russe n’était pas un château de cartes comme on l’avait prédit, les armes russes n’étaient pas inférieures comme on l’avait prédit, les soldats et les commandants russes n’étaient pas incompétents comme on l’avait prédit, et la technologie russe n’était pas inférieure comme on l’avait prédit.
Simple citoyen, j’accueille bientôt mes 58 années sur cette terre et je voudrais partager certaines observations et réflexions issues de multiples échanges, lectures et analyses émanant de contacts divers logés en Afrique, Caraïbes, Canada et Europe durant la décennie passée avec une acuité particulière sur les trois dernières ! Je ne saurais dire qu’il s’agit d’analyse au sens strict, car j’y mélange sans scrupule ce qui s’apparente à de l’opinion.
Libyan politicians have floated a plan to put together an interim government. The UN and other external actors should support this step toward breaking the country’s political deadlock. Libya’s political crisis took a new turn after its House of Representatives, based in the eastern city of Tobruk, approved a plan to appoint an interim government that would reunify the country’s two parallel executives as part of a roadmap to general elections. House members made this decision with backing from representatives of the rival Tripoli-based assembly, the High State Council, and from east-based military strongman Field Marshal Khalifa Haftar.
L’ensemble du dispositif politique américain – avec ou sans inculpation au titre de la FARA (Loi sur l’enregistrement des agents étrangers), et à l’approche des élections de 2024 – est fragile.
La situation devient très confuse. On frôle la folie. Un nouvel acte d’accusation comportant quatre chefs d’inculpation relatifs aux événements du 6 janvier a été émis à l’encontre de l’ancien président Trump, qui est désormais accusé de plus de 75 crimes. Toutefois, ces nouvelles accusations ne feront probablement qu’éroder davantage la confiance dans le processus judiciaire fédéral et dans l’intégrité du système politique américain lui-même. L’acte d’accusation doit être examiné dans le district de Columbia, qui est notoirement politisé et qui a peu de chances de constituer un jury autre que totalement hostile (on dit à Washington que le département de la Justice pourrait condamner un hamburger avec un jury de Washington).
In mid-May, Iranian President Ebrahim Raisi issued a warning to the Taliban: honor Afghanistan’s water-supply agreement or face the consequences.
A well-known Taliban figure offered a mocking gift of a 20-liter water container in response and told him to stop making terrifying ultimatums. About a week later, a skirmish erupted on the border, leaving two Iranian guards and one Taliban member dead.
Avec le recul, on peut considérer que l’occupation de l’Afghanistan par les armées des USA/OTAN n’étaient rien d’autre qu’une nouvelle grande guerre de l’opium comme celles menées contre la Chine au 19ème siècle, ou celles de l’apprès Deuxième Guerre mondiale menées par la France dans le Triangle d’Or en Indochine, reprises plus tard par la CIA au Vietnam et au Laos. Les mêmes guerres, habillées différemment, et nous n’y voyons que du feu, même en la regardant se dérouler sous nos yeux.
La mer Noire, traditionnellement zone de prospérité avec d’abondantes ressources agricoles mais aussi zone de transit énergétique nécessaire à l’Europe depuis la destruction des gazoducs Nord Stream, est devenue une zone d’affrontement. Le 19 juillet 2023, le ministère de la Défense russe a déclaré que tous les navires naviguant en mer Noire vers les ports ukrainiens seront considérés comme des transporteurs potentiels de cargaison militaire.
Over the past two years, as the United States and the European Union have invested in the revival of the 2015 Iran nuclear deal, the Iranian leadership has opted to solidify its non-Western foreign policy approach. In line with this approach, President Ebrahim Raisi embarked on a three-country trip to Africa in mid-July, marking the first time an Iranian president has undertaken such a visit in over 11 years. Earlier in the month, Iranian officials reported that the Islamic Republic’s exports to the continent had increased by 100% over the past year. It is now clear that engagement with Africa will be a major foreign policy focus under the Raisi administration. However, this is not the first time that Iran has taken such an approach to the continent. Former President Mahmoud Ahmadinejad implemented a similar policy from 2005 to 2013, although it did not yield significant results. This raises the question of whether, a decade on, Raisi’s Africa policy will prove any more successful.
The view across the Tigris River from the eighth floor of the Babylon Hotel reveals a telling mise-en-scène: As a giant neon billboard that adorns the gleaming 32-story Baghdad Mall flashes the Iraqi flag in between ads for Coca-Cola, the ghost of the late Iraqi-British architect Zaha Hadid looms large over her adjacent tower in progress. Commissioned in 2010 to be the headquarters for the Central Bank of Iraq and a symbol of a “new era,” it’s not yet finished, and the Australian engineer whose company helped build it is still languishing in Iraqi prison after a dispute about payment.