De trahison en trahison, la bourgeoisie se maintient au pouvoir – Réseau International

Mon père, après avoir lu «La trahison des clercs» de Julien Benda, a offert ce livre paru en 1927 à ses six enfants. Mon père était généreux, mais il avait une façon d’offrir si discrète, si embarrassée, qu’on attachait peu de valeur à ses cadeaux. Et donc j’ai lu le livre en diagonale. C’est seulement beaucoup plus tard que j’en ai compris toute la portée.

L’Union européenne lève les sanctions contre la Syrie pour soutenir les djihadistes

Hier, l’Union européenne a annoncé la levée des sanctions économiques imposées à la Syrie durant la présidence de Bashar al-Assad. « Nous avons décidé de lever nos sanctions économiques contre la Syrie », a déclaré la responsable de la politique extérieure de l’Union européenne, Kaja Kallas, après une réunion des 27 ministres des Affaires étrangères.

Théologie politique: la politique comme religion des modernes

À la lumière de l’herméneutique mobilisée par Schmitt, c’est dans le Léviathan de Hobbes (1651) que le dispositif de la politische Theologie (théologie politique) apparaît opératoire dans sa splendeur originelle. Mais ce n’est qu’à partir du système catégoriel de Rousseau que le modèle de la théologie politique commence à s’articuler selon une dichotomie qui prélude à celle entre la droite et la gauche apparue avec la Révolution française.

René Guénon et la conspiration mondialiste en 1920

On rappelle la phrase éternelle de Chateaubriand, extraite de la conclusion de ses Mémoires:

« La folie du moment est d’arriver à l’unité des peuples et de ne faire qu’un seul homme de l’espèce entière… »

On pourrait croire que René Guénon s’adresse à un aréopage d’apprentis-initiés en rupture de ban avec le monde moderne et en recherche d’une sûre spiritualité. Rien de plus erroné. Il a publié nombre de livres et de textes pratiques, informés contre le monde moderne et ses conspirations, ou contre le monde moderne et son abrutissement (sa dénonciation du courtisan moliéresque à perruque, ignorant du moyen âge, montre que ce monde moderne est apparu d’un coup, vers et après la Renaissance). Les noms ont à peine changé, les méthodes et les objectifs restent les mêmes : conspiration, universalisme, gouvernement global, exotisme androïde, humanitarisme cool, régime alimentaire !

Alexeï Pouchkov : «Ce qui se joue en Ukraine, c’est l’ordre international du XXIe siècle» – Réseau International

Alexeï Pouchkov est sénateur, président de la Commission pour l’information et les médias au Conseil de la Fédération de Russie. Fin connaisseur des relations internationales, il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont «Le jeu russe sur l’échiquier mondial», dans lequel il expose la stratégie géopolitique de la Russie face à l’Occident. Son parcours incarne le lien entre diplomatie, information et influence.

«L’OTAN a été créé par les Nazis» – Réseau International

Les Charlots font du complotisme.

Contrairement à ce dit l’histoire officielle, ce sont les méchants qui ont gagné la Seconde Guerre mondiale. Mais attention : les méchants, ce sont les Nazis, comme le dit l’histoire officielle. Nous ne le savions pas, mais les Nazis ont gagné la guerre. D’ailleurs, «l’OTAN a été créé par les Nazis». C’est prouvé par cette photo authentique du siège de l’OTAN à Bruxelles :

The Precarious Power of Azerbaijan: How a Delayed Peace With Armenia Endangers a New Regional Order

Few other countries in the past five years have experienced as great a shift in fortune as Azerbaijan. As recently as 2020, the small, oil- and natural-gas-rich country was mired in a decades-long conflict with neighboring Armenia and lacked full control of its territory. For years, the breakaway region of Nagorno-Karabakh, a mountainous area with an ethnic Armenian population within Azerbaijan’s internationally recognized borders, had been governed by a self-declared authority backed by Armenia. The unresolved status of the conflict left Azerbaijan diplomatically constrained and limited outside engagement with the country. It also made the nation strategically dependent—particularly on Russia, which cast itself as the region’s indispensable arbiter and used the stalemate to keep Armenia reliant on its security guarantees while maintaining leverage over Azerbaijan.