Iran-Backed Militias In Iraq, Lebanon, Yemen And Bahrain Condemn U.S. Attack On Iraqi PMU Officials In Baghdad; Threaten ‘Stupefying’ Response Against U.S., ‘Its Helpers, Partners And Interests’ In The Region

On February 7, 2024, the U.S. Central Command (CENTCOM) reported that at 9:30 p.m. (Baghdad time) its forces conducted a unilateral strike in Iraq in response to the attacks on U.S. service members, killing an Iran-backed Iraqi Hizbullah Brigades commander responsible for directly planning and participating in attacks on U.S. forces in the region.[1] Media sources affiliated with the Iran-backed militias in Iraq reported that several operatives from the Iraqi Popular Mobilization Units (PMU) were killed, including a senior leaders of the Hizbullah Brigades (which is part of the PMU) Wisam Muhammad Saber aka Abu Baqir Al-Sa’idi and also an official by the name of Hajj Arkan Al-‘Alyawi.[2]

Iran Informed The U.S. In Advance Of Its January 2020 Missile Attack On Ain Al-Assad Air Base In Iraq; MEMRI Reports Confirm Former President Trump’s Claim In February 4, 2024 Interview About Iran Warning; Iranian Supreme Leader Advisor Shamkhani Denies This, Saying Iran Never Warned U.S.

In a February 4, 2024 interview on Fox News, former U.S. President Donald Trump said that in January 2020, Iran had informed his administration of its intention to attack the Ain Al-Assad Air Base in Iraq but without causing casualties. The attack was to be a response to the U.S. killing of IRGC Qods Force commander Qassem Soleimani on January 3, 2020.

Iran-Supported Groups In The Middle East And US Policy – Analysis

Iran has long backed a network of armed groups in the Middle East to advance its regional interests. These groups, which include U.S.-designated Foreign Terrorist Organizations (FTOs) and which sometimes style themselves the “Axis of Resistance,” have conducted attacks on U.S., Israeli, and other targets for years. The number, pace, and scope of such attacks have surged since the October 7, 2023, Hamas-led assault on Israel from Gaza and in the context of the subsequent Israel-Hamas war.

Iran Reinforces Positions in Hama, Deir-ez-Zor and Homs, Withdraws Thousands of Troops From Aleppo

Iran aims to reinforce its forces in its areas of presence in Syria, according to Baladi News.

Informed sources have disclosed that the Iranian Revolutionary Guard militias have withdrawn thousands of Syrian members affiliated with them from the Aleppo governorate. These members were relocated to positions in the governorates of Hama, Deir-ez-Zor, and Homs.

Iranian Religious Scholar Hamed Jadidi: We Took Syria, Iraq, Iran, And We Will Conquer Saudi Arabia; The Zionists Engineered COVID-19 In Order To Control People By Implanting Nanochips Produced By Bill Gates Into Their Bodies

Iranian religious scholar Hamed Jadidi, a member of the Esfahan Basij cultural-social network said that Iran will “inshallah” conquer Saudi Arabia soon in a January 30, 2024 event in preparation for the upcoming elections, which was aired on IRINN TV (Iran). He said that Saudi Arabia is collaborating with the Zionists and that it asked China to mediate between it and Iran so the Houthis in Yemen wouldn’t attack them. Jadidi continued to claim that the Zionists orchestrated the coronavirus “super-project” so people would take the “Zionist vaccine,” like Pfizer, and implant nanochips into their body. He further explained that these nanochips would be activated through 5G networks and artificial intelligence, and this way the Zionists would have control over human beings.

Kataib Hezbollah commander killed in Baghdad in US strike

A commander from Kataib Hezbollah, an Iran-backed armed group in Iraq that the Pentagon has blamed for attacking its troops, was killed in a U.S. strike on Wednesday, the U.S. military said.

“(U.S.) forces conducted a unilateral strike in Iraq in response to the attacks on U.S. service members, killing a Kataib Hezbollah commander responsible for directly planning and participating in attacks on U.S. forces in the region,” a statement from the military said. It did not name the commander, Reuters reported.

Bruxelles : Les services secrets sur pied de guerre

Depuis quelques années, le monde du Renseignement bruxellois est en ébullition. Bruxelles joue aujourd’hui le rôle qui était autrefois prêté à Bonn, l’ex-capitale de la République fédérale allemande : celui d’abriter un nid d’espions. La présence des institutions européennes ; du siège de l’OTAN et de plusieurs grandes multinationales explique cet attrait pour les services étrangers1. Naturellement, les autorités locales décrient en premier lieu les espions russes mais pas que. Les Chinois sont également dans le viseur du Renseignement belge. Notamment, la plateforme logistique du géant chinois Alibaba à l’aéroport de Liège : «Les activités logistiques d’Alibaba à Liège demeurent un point d’attention en raison de la législation chinoise qui incite les entreprises nationales à partager leurs données avec les autorités de Pékin et l’Empire du Milieu a l’intention et la capacité d’utiliser ces données à des fins non commerciales» a répondu un responsable du VSSE au Financial Times.2

Quant aux russes, le 29 mars 2022, sur fond de guerre en Ukraine, la Belgique avait expulsé 21 diplomates russes, sur la base d’une liste dressée par les services de Bruxelles.

Mais pour comprendre comment fonctionne le Renseignement belge, il faut revenir sur ses composantes et sur deux événements majeurs et récents.

Ses composantes sont le Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) qui dépend de La Défense, sis dans le Quartier Reine Elisabeth, rue d’Evere 1 à Evere et la Sûreté de l’État (VSSE) qui dépend du ministre de la Justice, dont le siège est au Boulevard du Roi Albert II 6, dans la capitale.

Comme dans tous les pays où le Renseignement marche plus ou moins bien, la Belgique est ainsi dotée d’un service extérieur et d’un service intérieur. Rappelons que ce n’est pas forcément la règle puisque des pays comme la Suisse et l’Espagne n’ont pas la chance d’avoir cette structure organique qui a pourtant le mérite de préserver l’essence même de deux métiers distincts : l’exploration et l’intervention à l’étranger qui relèvent plus de la chose militaire et la surveillance du territoire qui relève plus de missions de police.

Tant le SGRS que le VSSE ont à répondre au Comité R (contrôle parlementaire).

Récemment, c’est du Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) que sont issues deux initiatives clés : la publication de son premier rapport annuel (2022) qui s’intitule «Décryptage du Renseignement, de la Sécurité et de la Cyber défense militaire belge», 36 pages, et l’inauguration du Cyber Command qui dispose des attributions d’une 5ème composante (Terre, Marine, Air, Médical et Cyber) au sein de La Défense et de celles d’une direction au sein du SGRS. Le Cyber Command qui sollicite le concours de l’industrie, du monde universitaire et associatif porte la Cyber Force. Qu’il définit comme la première et la dernière frontière virtuelle du champ de bataille. Le SGRS qui a pour devise «Quaero et Tego» = «Je cherche et je protège» a comme partenaires principaux et étroits, entre autres, La Police Fédérale ; l’OSCE ; l’OTAN ; La Défense ; le Centre de Crise ; le Service Public Fédéral des Finances et le Centre For Cyber Security Belgium. On comprend pourquoi son rapport d’activités3 stipule au nombre de ses premières préoccupations la Fédération de Russie ; la Chine ; l’extrême droite ; le complotisme et la prolifération d’informations hors de contrôle de l’État et déstabilisantes sur les médias sociaux.

Risque de devenir un État policier ?

Sur fond de crise en Ukraine et basculement des équilibres en défaveur des euro atlantistes, il est à craindre que les Services de renseignement belges deviennent un outil de plus – si ce n’est pas déjà le cas – au profit des idéologies de la Maison-Blanche, à Washington.

Les services de renseignements belges ont plus recours aux «méthodes exceptionnelles»4. Il s’agit d’écoutes ; de la collecte des données bancaires et des transactions bancaires ; le piratage d’un système informatique ; l’ouverture de courrier ainsi que l’observation et l’inspection de lieux non accessibles au public. Ce sont des méthodes exceptionnelles selon le Comité R. Et son rapport d’activité 2022 révèle une augmentation sensible entre 2021 et 2022 de l’emploi de toutes ces méthodes. Selon Serge Lipszyc, le directeur du Comité R, la lutte contre le terrorisme demeure la priorité absolue de la Sûreté de l’État (VSSE). Mais pour le Service général du renseignement et de sécurité (SGRS) la préoccupation paraît tout autre. Le directeur du Comité R, Serge Lipszyc insiste sur la nécessité d’adapter les moyens et le fonctionnement de ces institutions essentielles que sont les services de renseignement. Il pointe notamment l’invasion de l’Ukraine et la crise de la Covid-19 qui auraient provoqué une crise mondiale qui nous touche comme cela n’était plus arrivé probablement depuis la Deuxième Guerre mondiale. Selon lui, cette crise a provoqué une insécurité sociétale : «Dans l’accélération des mouvements géopolitiques, économiques et sociaux qu’elle entraîne, notre société de la communication semble clairement peiner face à des phénomènes dévastateurs pour l’Humanité comme le radicalisme; l’extrémisme ou encore le complotisme, lesquels trouvent dans les médias sociaux des amplificateurs inédits de désinformation qui sont parfois hors de contrôle».

La messe est dite. À ce rythme, il est à craindre une augmentation des surveillances et censures à l’endroit des individus qui ne pensent pas comme la pensée dominante et imposée. À suivre…

Escalation scenarios between Iran and the United States in Syria and Iraq

The US-Iranian escalation has taken a new turn when Washington announced strikes on command and control centers, intelligence facilities, and weapon storage facilities used by Iran-backed militias to attack American forces and the International Coalition.

Through a series of attacks, the United States targeted 85 locations in Syria and Iraq, in response to the killing of its soldiers by shelling for which Iran was accused of being involved.

Iran-Backed Militias In Iraq, Lebanon, And Yemen Condemn U.S. Strikes In Iraq And Syria, Accuse U.S. Of Escalating Conflict, Undermining Global Security, Reiterate Calls To Expel U.S. Forces From Iraq

On February 2, 2024, the U.S. Central Command (CENTCOM) reported that its forces had conducted airstrikes earlier that day against over 85 targets of Iran’s Islamic Revolutionary Guards Corps (IRGC) Quds Force and affiliated militias, including command and control operations centers, intelligence centers, rocket, missile, and unmanned aerial vehicle storage sites, and logistics and munition supply chain facilities.[1]