Reflectii

Despite notable repatriation progress in early 2023, involving 14 countries returning their nationals, including children, the issue of detention centers and camps in Northeast Syria remains a critical challenge for the Syrian Democratic Forces (SDF) and the U.S.-led anti-IS coalition. Likewise, Al-Hol camp continues to prove a breeding ground for IS resurgence. The tough security regime and the robust monitoring and surveillance efforts undertaken by the Autonomous Administration of North and East Syria (AANES) over the years has facilitated the camp administration in maintaining a semblance of relative security and stability, but the ideological influence of IS and its reign of terror spreads gradually through the group’s foreign female stalwarts who are passing on the Islamic State’s extremist ideology to the next generation.

On July 6, law enforcement in Germany and the Netherlands arrested nine Central Asians on terrorism-related charges. In Germany, five Tajik nationals, one Kyrgyz citizen, and one Turkmenistani citizen were arrested in the Federal State of North Rhine-Westphalia for allegedly creating and participating in a local terrorist organization and supporting Islamic State (IS). In the Netherlands, a married couple—a Tajik husband and Kyrgyz wife—were also arrested in Eindhoven and Breda. Both are suspected of plotting terrorist attacks, with the husband also suspected of IS membership (Kaktus Media, July 6).

«Le PIB ne mesure ni notre intelligence, ni notre courage, ni notre sagesse, ni nos connaissances, ni notre compassion. Il mesure tout sauf ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue». (Robert Kennedy ministre de la justice dans un célèbre discours en 1968)

À la veille du sommet de l’OTAN, le New York Times a publié un article signé par deux auteurs (Gray Anderson et Thomas Meaney), paru sous le titre : «L’OTAN n’est pas ce qu’elle prétend être».

L’article s’ouvre en traitant l’admission de la Finlande ainsi que l’invitation de la Suède, et se poursuit par une révélation extrêmement importante : «Depuis le tout début de son existence, l’OTAN n’avait jamais eu pour préoccupation première l’accumulation militaire. Au cœur de la Guerre froide, contrôlant 100 divisions, c’est-à-dire une petite fraction du personnel du Pacte de Varsovie, l’organisation ne pouvait pas escompter repousser une invasion soviétique, alors même que les armes nucléaires du continent étaient sous le contrôle de Washington. L’organisation avait plutôt pour objectif d’inscrire l’Europe occidentale dans un projet bien plus vaste, dirigé par les États-Unis, en vue d’établir un ordre mondial au sein duquel la protection étasunienne allait tenir lieu de levier pour obtenir des concessions sur d’autres sujets, comme le commerce et les politiques monétaires. De manière surprenante, l’OTAN réussissait alors remarquablement à accomplir cette mission.»

Le budget de sécurité nationale de l’Amérique, qui s’élève à 1300 milliards de dollars, se nourrit de menaces fabriquées et d’ennemis faussement diabolisés. Et rien ne pourrait être plus démonstratif de cette proposition que l’infamie totale qui a émané du sommet de l’OTAN à Vilnius.

Entendre qui n’existe pas en contenus véridiques. Et prouvés correspondre au réel. Soit les pouvoirs dominants maintiennent la théorie économique orthodoxe, économie néoclassique dite aussi la théorie du marché efficient. Alors qu’ils savent pour eux-mêmes, et savent que tant d’esprits libres le savent aussi, que cette dite économie de marché est entièrement erronée. Fausse avec ses équilibres seulement rêvés. Ce que nous allons découvrir. Point par point.

Now we are used to the fact that the word “networks” is associated with social networks on the Internet. However, even social media is a broader phenomenon than internet apps. First of all, it is about social interaction among various groups of the population.

Steven Simon, ancien fonctionnaire de la Maison-Blanche, a écrit un livre sur l’influence des États-Unis au Moyen-Orient, qui offre une vision assez différente de la dynamique des relations entre les États-Unis et Israël.

Un ancien haut fonctionnaire de la Maison-Blanche, Steven Simon, qui a été conseiller pour le Moyen-Orient au sein de l’administration Obama, a écrit un livre. Sacré livre. Alors que la région se trouve à un point d’inflexion stratégique, Simon affirme sans ambages que les États-Unis n’ont tout simplement pas «le jus», ni l’intérêt stratégique, de s’impliquer dans la crise israélienne : Le fait est «simplement que ce n’est pas notre problème».