Les médias traditionnels rapportent qu’un demandeur d’asile afghan, Rahmanullah Lakanwal, a tiré sur deux membres de la Garde nationale près de la Maison-Blanche la veille de Thanksgiving. L’événement présentait de nombreux signes classiques d’une opération sous faux drapeau. En voici quelques-uns :
*À qui profite le crime ? Trump a qualifié l’attaque de « terrorisme », sous-entendant qu’il s’agissait d’un acte violent stratégiquement conçu contre des civils (?) dans le but d’en tirer un avantage politique. (C’est la définition même du terrorisme, une tactique militaire malheureusement trop courante à travers des millénaires d’histoire.) Mais puisque tout terrorisme est stratégique, quel était précisément l’objectif stratégique des responsables de cette fusillade ? La réponse est évidente : Trump et son programme en ont été les principaux bénéficiaires. Le président a pu discourir à tout-va la veille de Thanksgiving, qualifiant le tireur d’« animal », tout en se présentant comme le protecteur de la nation en général et de sa capitale en particulier. Son ordre d’envoyer la Garde nationale à Washington DC semble justifié par cette prétendue « attaque terroriste radicale perpétrée par un musulman afghan ». (Hegseth a utilisé l’attaque comme prétexte pour envoyer 500 gardes nationaux supplémentaires à Washington.) Et le programme anti-immigration de Trump a reçu un énorme coup de pouce, car Trump a eu un prétexte pour émettre un décret : « Le traitement de toutes les demandes d’immigration concernant les ressortissants afghans est suspendu indéfiniment en attendant un examen plus approfondi des protocoles de sécurité et de vérification. »

Trump a également profité de l’occasion pour attiser la haine contre les parlementaires et les anciens militaires et agents du renseignement qui avaient récemment mis en garde leurs collègues contre l’obéissance à des ordres illégaux et anticonstitutionnels. La machine de propagande de droite pro-Trump, contrôlée par Israël, s’est emballée après la fusillade, fustigeant les personnalités « séditieuses » qui pensent que la Constitution, plutôt que Netanyahu et son protégé Trump, est la loi suprême du pays.
Israël, qui contrôle l’administration Trump (en partie grâce à un chantage similaire à celui d’Epstein ?), a également tiré un grand profit de l’attaque. Alors que le monde prend conscience de l’horrible réalité du génocide perpétré par Israël à Gaza et dans le reste de la région, les propagandistes de la hasbara israélienne ont reçu l’ordre de cesser de défendre Israël, désormais indéfendable, et de se concentrer plutôt sur la diffamation du « terrorisme musulman radical ». Si l’on parvient à susciter suffisamment de haine envers les musulmans, pensent les Israéliens, on peut s’assurer qu’aucune mesure ne soit prise pour sauver les victimes palestiniennes et arabes du génocide. Pour plus de détails, consultez l’article de Caitlin Johnstone intitulé « Les sionistes attisent l’islamophobie car c’est plus facile que de faire apprécier Israël.»
Israël, agissant en partie pour le compte ou en collaboration avec l’administration Trump qu’il contrôle, est le principal suspect dans la fausse fusillade visant Trump le 13 juillet 2024 (l’« attentat dont Nick a entendu parler dans le monde entier ») et dans l’assassinat, tout aussi orchestré, de Charlie Kirk le 10 septembre 2025. Surnommé « la nation des assassins », Israël est le champion incontesté mondial de la violence politique odieuse et/ou trompeuse.
*MOYENS ET OPPORTUNITÉS. Trump et ses alliés israéliens ont non seulement le mobile, mais aussi les moyens et l’opportunité de lancer un demandeur d’asile afghan contre des gardes nationaux près de la Maison-Blanche. Les Afghans qui obtiennent l’asile ou un permis de séjour aux États-Unis sont invariablement ceux qui ont travaillé en étroite collaboration avec les forces américaines pendant les vingt années d’occupation américaine de l’Afghanistan. Autrement dit, la quasi-totalité des Afghans autorisés à entrer aux États-Unis ont passé de très nombreuses années sous le contrôle des forces militaires et de renseignement américaines. Il ne fait aucun doute que des dizaines, voire des centaines, de ces Afghans qui ont trahi leur pays pour collaborer avec l’occupant américain ont été soumis au programme MK-Ultra et stockés aux États-Unis au cas où il faudrait les débusquer et les déployer dans le cadre d’une opération sous faux drapeau comme celle-ci.
*TIMING. Si votre objectif est de nuire aux États-Unis, de les empêcher d’envahir à nouveau l’Afghanistan ou de promouvoir un agenda islamique mondial, tirer sur des membres de la Garde nationale près de la Maison Blanche à la veille de Thanksgiving n’a aucun sens. En revanche, si vous cherchez à soutenir des programmes anti-immigration, anti-musulmans et pro-israéliens, cela prend tout son sens. Si vous voulez monter la population contre un bouc émissaire, la veille de la fête nationale est le moment idéal.
*« ALLAHU AKBAR ! » Quand on nous dit que des « terroristes islamistes » ont crié « Allahu akbar » en commençant à tuer sans raison, il faut se méfier. Cette expression est devenue un code utilisé pour annoncer les attentats sous faux drapeau. Ainsi, lorsqu’un tueur fanatique hurle « Allahu akbar » en lançant une attaque qui ne profitera pas aux musulmans, mais profitera à Israël, il faut traduire mentalement cette expression par אלוהים הוא גדול (elohim hu gdul), l’équivalent hébreu.



