Les États d’Afrique de l’Ouest ont adopté dimanche 9 janvier des sanctions «très dures» en raison du non-respect par la junte au pouvoir au Mali de l’échéance de février pour des élections ramenant les civils à la tête du pays
Sanctions supplémentaires :
1 retrait des ambassadeurs de tous les états membres de la cedeao au Mali
2 fermeture des frontières entre le mali et la cedeao
3 suspension des transactions entre la cedeao (hors médicaments et produits de première nécessité)
4 gel des avoirs des avoirs maliens en banque centrale
6 aides financières coupées
Le tout avec effet immédiat. Mais sera progressivement levé si des progrès satisfaisants sont réalisés concernant le chronogramme. Des sanctions imposées pour protéger les maliens
Les sanctions sont avec effet immédiat.
Les sanctions s’ajoutent à ceux déjà en vigueur.
Elles seront allégées progressivement en fonction des progrès réalisés dans la mise en oeuvre du chronogramme.
L’objectif des sanctions est la protection du peuple malien
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Additional sanctions :
a) Closure of land and air borders between ECOWAS countries and Mali;
b) Suspension of all commercial transactions between ECOWAS countries and Mali, with the exception of the following products: essential consumer goods; pharmaceutical products; medical supplies and equipment, including materials for the control of COVID-19; petroleum products and electricity;
c) Freeze of assets of the Republic of Mali in ECOWAS Central and Commercial Banks;
d) Suspension of Mali from all financial assistance from ECOWAS financing institutions (EBID and BOAD).
All of these with Immediate effect. But Will be gradually lifted if satisfactory progress is implemented regarding the chronogram. Sanctions imposed to protect malian people