Des documents d’archives publiés en 2012 confirment l’organisation de la Seconde Guerre mondiale par, non seulement les industriels et banquiers allemands, mais également par les banquiers états-uniens et britanniques, couverts par le président Franklin Roosevelt et le Premier ministre Neville Chamberlain, dans l’espoir de détruire l’URSS.
Mais avant d’aller plus loin, une mise au point sur ce qu’est vraiment l’Union européenne.
L’Union européenne a été conçue par le fascisme nazi et « accouchée » par les impérialismes états-uniens, Français et Allemands.
Goebbels, chargé par Hitler de développer un programme européen écrivait « Le but de notre combat doit être toujours et encore, de créer une Europe homogène. Mais l’Union européenne ne peut connaître une organisation claire que par les Allemands » (Journal .p.157, ed. Tallandier. 2005). Les unités de waffen SS étaient d’ailleurs européennes (belges, hongroises, albanaises, néerlandaises, françaises, baltes, etc.)
Pierre Laval, chef du gouvernement français, a toujours été un partisan de la Nouvelle Europe (Das Neue Europa). Le 22 juin 1942, il prononce le discours suivant : « De cette guerre surgira inévitablement une nouvelle Europe. On parle souvent d’Europe, c’est un mot auquel, en France, on n’est pas encore très habitué. On aime son pays parce qu’on aime son village. Pour moi, Français, je voudrais que demain nous puissions aimer une Europe dans laquelle la France aura une place qui sera digne d’elle. Pour construire cette Europe, l’Allemagne est en train de livrer des combats gigantesques. Elle doit, avec d’autres, consentir d’immenses sacrifices. Et elle ne ménage pas le sang de sa jeunesse. Pour la jeter dans la bataille, elle va la chercher dans les usines et aux champs. Je souhaite la victoire de l’Allemagne, parce que, sans elle, le bolchevisme, demain, s’installerait partout ».
Le 20 avril 1943, il est reçu par Hitler, avec Ribbentrop et l’Italien Bastianini. Sous-secrétaire d’État aux affaires étrangères, Bastianini avait proclamé le « programme Europe » qui fut massivement diffusé en Italie. Il s’agit d’un plan de future union ou confédération européenne, repris par Ribbentrop et relancé en avril par Mussolini et Laval lors de leurs entrevues avec Hitler. (Journal, Goebbels, p. 174)
L’anticommunisme viscéral, la haine absolue de l’économie socialiste et des bolchéviques, qui étaient le trait dominant du nazisme n’ont pas été éradiqués avec l’écrasement du 3ème Reich nazi et ils sont devenus le trait dominant des pays européens, d’outre atlantique et du monde entier. En 1948, l’Allemagne fédérale a gracié et maintenu en poste tous les criminels de guerre et fonctionnaires qui avaient collaborés avec le nazisme (certains ont fait quelques mois de prison puis sont sortis, blanchis, et ont repris, sans état d’âme une carrière fructueuse.)
Ci-dessous quelques exemples :
Un nazi est devenu premier président de la Commission européenne. Walter Hallstein a été le premier président de la Commission européenne. Concepteur en chef de la construction européenne, il fût un des pères fondateurs de cette Union européenne fasciste, associé aux pro-nazis et anticommunistes viscéraux Robert Schuman et Jean Monnet.
Cet Allemand (Walter Hallstein) né en 1901 et mort en 1982 était professeur de droit en Allemagne. Il était un juriste nazi comme le prouve sa lettre datant du 30 septembre 1935 adressée au représentant du gouvernement nazi de l’université de Rostock. Il a d’ailleurs été nommé doyen de la faculté de droit et d’économie de Rostock par le gouvernement du IIIe Reich comme le prouve la lettre 18 mai 1936 signée par le chancelier de l’université de Rostock et d’un « Heil Hitler ». Walter Hallstein profite donc de l’ascenseur social du IIIe Reich lui permettant d’accéder aux plus hautes fonctions de l’Allemagne nazie.
Adolf Hitler rencontre Benito Mussolini à Rome le 9 mai 1938 afin de créer « une nouvelle Europe » : une dictature européenne qui serait sous leur contrôle. Une équipe de juriste est alors constituée pour concevoir cette « nouvelle Europe » qui a vocation à supprimer les frontières, ligoter les pays dominés et créer un vaste Empire où l’axe Berlin-Rome appliquerait sa politique. Walter Hallstein est donc nommé personnellement par Adolf Hitler comme représentant nazi pendant les négociations d’État avec l’Italie fasciste entre le 21 et 25 juin 1938 afin de mettre en place un cadre juridique pour la « Nouvelle Europe ».
Le premier chef suprême de l’OTAN, fut aussi un nazi, à savoir Hans Speidel, sinistre spécialiste en élimination des résistants communistes français en 1940. (Résistants communistes arrêtés en 1939 par le ministre Daladier et livrés aux nazis après la défaite éclair de la France en 1940)
Le deuxième chef de l’OTAN était aussi un nazi, à savoir Adolf Heusinger, nommé à Washington chef suprême de l’OTAN par l’ensemble des chefs d’état-major des pays membres de l’OTAN. Ce sinistre individu avait été chargé par Hitler, de concevoir l’opération d’invasion de l’URSS. Sa « guerre éclair » prévoyait d’éliminer des millions de soviétiques, d’incendier villes et villages, d’éradiquer toute la population de confession juive vivant sur les territoires de l’URSS sans omettre l’éradication totale des tziganes et autres communautés existant sur le sol de la Russie soviétique, en fait de ramener ce grand continent à l’âge de pierre. Au cours d’expéditions punitives sanglantes, les résistants devaient être pendus et les responsables politiques soviétiques systématiquement abattus sur place.
En août 1942, le général Heusinger orchestre lui-même les exterminations. La Gestapo et les S.S. sont placés sous son commandement direct. Hjalmar Schacht, nazi, Président de la Reichsbank et ministre de l’économie d’Hitler, a joué un rôle de premier plan dans le contrôle de la machine économique du Troisième Reich en agissant comme ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du capital anglo-américain en Allemagne. En 1945, Schacht a été jugé à Nuremberg et acquitté le 1er octobre 1946. Schacht a repris sa vie professionnelle comme si de rien n’était, et fondé la société Schacht GmbH à Düsseldorf.
Les plans Dawes et Young, la création de la Banque des règlements internationaux (BRI), la suspension du paiement des réparations par l’Allemagne prévues par le Traité de Versailles et l’acquiescement des anciens alliés de la Russie à cette décision, les investissements étrangers massifs dans l’économie du Troisième Reich, la militarisation de l’économie allemande et les violations du Traité de Versailles sont autant de jalons sur le chemin conduisant à la guerre contre l’URSS. Derrière ce complot se tenaient des personnages clefs : les Rockefeller, les Morgan, Lord Montagu Norman (gouverneur de la Banque d’Angleterre) et Hjalmar Schacht (président de la Reichsbank et ministre de l’Économie du gouvernement de Hitler).
L’impérialisme, stade suprême du capitalisme, confronté à sa propre crise ne peut laisser ressurgir l’idée qu’une alternative au capitalisme ait pu survivre plusieurs décennies et même venir à bout d’une des plus féroces puissances impérialistes, l’Allemagne nazie.
Il lui faut toujours réaffirmer la légende noire tissée autour de l’histoire de l’URSS et pour cela il lui faut falsifier l’Histoire, à savoir effacer le fait incontournable que la victoire des peuples sur le fascisme-nazisme porte le sceau indélébile de l’Union soviétique, de son Armée rouge et des mouvements de Francs-Tireurs et Partisans au sein desquels les communistes ont été à l’avant-garde, en France et dans toute l’Europe occupée par le 3ème Reich nazi.
Ayant d’abord rebaptisé le 9 mai, jour de la victoire des peuples en 1945, en « journée de l’Europe » dans le but d’effacer la photo du drapeau rouge flottant sur le Reichstag, ils poursuivent, aujourd’hui, leur plan d’identifier la victime avec le bourreau en prétendant que le pacte de non agression du 23 août 1939 est la cause de la guerre de 39/45.
Les falsificateurs capitalistes et leurs thuriféraires, héritiers de l’hitlérisme, par des campagnes médiatiques déchaînées et répétées voudraient reporter les crimes d’exterminations massives commis par les nazis sur le compte de ceux qui les combattaient et ils développent sans vergogne une campagne tendant à assimiler le communisme au nazisme, Les bourreaux deviennent des victimes, les victimes des bourreaux.
Hitler a ressurgi de sa tombe. Et on réhabilite en Russie, en Ukraine, en Roumanie et en Slovaquie, en Hongrie, Lituanie, …. les Vlassov, les Toukhatchevski, les Kalmikov, les Pétloura, les Wrangel, les Antonescu, assassins antibolchéviques et autres collaborateurs nazis, tous les bandits qui persécutèrent avec férocité les populations Russes, de 1917 à 1924, et de 1941 à 1945, qui assassinèrent froidement et consciemment les populations juives, les communistes, les opposants à la barbarie, Et en France, laquais des États-Unis, on réhabilite les industriels et banquiers ayant collaborés avec l’occupant nazi et ont exonère les pétainistes and co de leurs infâmes turpitudes.
Pour arriver à ses fins de négation de la réalité des faits historiques l’impérialisme doit blanchir le capitalisme qui, sous la houlette des États-Unis, ayant, partout sur la boule terrestre, engendré le fascisme et la guerre hitlérienne, est, aujourd’hui, encore plus féroce et agressif qu’Hitler car ce dernier n’a jamais pu se permettre de narguer le monde entier en l’entraînant dans des opérations de conquêtes (du pétrole) sur presque tous les coins juteux de la planète en masquant ses visées hégémoniques sous le beau vocable de « la défense des Droits et Libertés de l’être humain ».
Le capital mondialisé reprend la voie hitlérienne de conquêtes des ressources des autres car il se trouve devant des problèmes économiques insolubles. C’est la crise, de plus en plus inextricable, qui oblige l’impérialisme à essayer de s’en sortir par la guerre. C’est le même scénario qu’en 1914 et en 1939.
Le 3ème Reich nazi a consciemment mené une guerre d’anéantissement des populations de l’URSS car il les considérait comme des sous humains, uniquement destinés à l’esclavage au profit des aryens blonds !!!
En Septembre 1941 eut lieu le massacre de Babi Yar, où 30 000 soviétiques de confession juive, hommes, femmes et enfants ont été tués dans un ravin tout juste à l’extérieur de Kiev.
Lorsque les soldats soviétiques arrivèrent sur Auschwitz ce qu’ils ont découvert a bouleversé leur sensibilité pourtant déjà bien aguerries. Peu, parmi les 8000 survivants ont pu parler ou simplement bouger et encore moins accueillir les Soviétiques.
Un colonel soviétique se souvient : « J’avais déjà vu beaucoup d’innocents tués. J’avais vu des gens pendus. J’avais vu des gens brûlés. Mais je n’étais pas encore préparé à Auschwitz ».
Il se remémore aussi des premiers indices probants des assassinats de masse « Nous avons découvert des montagnes de dents artificielles, de lunettes et cheveux humains ».
Dans la caserne des enfants, il y avait seulement deux survivants, le reste gazés ou morts comme des sujets d’expériences médicales horribles. Un autre officier soviétique a rappelé que lorsque les équipes de nettoyage sont allées inspecter les cheminées des crématoires, ils ont trouvé des dépôts de graisse humaine sur les murs de 115 cm (1m15) d’épaisseur.
Ce que l’Armée rouge avait découvert à Auschwitz, ce n’était pas un camp ; mais, un complexe de camps occupant une superficie de 20 km2. Ces dimensions attestent de l’ampleur de l’extermination de masse et du fait qu’Auschwitz était un site industriel de travail d’esclaves et de mort géré par les SS.
Comme un nez au milieu de la figure, le Parti communiste bolchévique de Lénine et Staline n’a pas à rougir de son bilan. Car d’un pays en 1917 misérable semi-féodal, formé d’une paysannerie appauvrie et illettrée, et dont l’industrie avait été détruite par la Guerre (1914-1917). le parti communiste bolchévik est parvenu, en moins d’une décennie, a en redresser l’économie ; à le doter d’une puissante industrie mécanique capable d’insuffler un dynamisme colossal à toute les branches d’industrie ; capable de produire la machinerie agricole permettant de sortir la paysannerie de sa condition misérable et à donner des perspectives d’avenir et un idéal à un peuple multiethnique autrefois divisé par les pogroms, le racisme et la pauvreté abjecte.
Mais la trêve fut brève, en 1933, Hitler prenait le pouvoir en Allemagne. Il avait clairement exprimé ses visées sur l’URSS « ghetto » du « judéo-bolchévisme », disait-il. Les soviétiques avaient depuis longtemps compris le message. Hitler et les puissances occidentales passaient accords secrets sur accords secrets dans le dos de l’URSS.
Sur la base de ces informations, l’industrie lourde russe fût donc mise au service de la production d’armement. Les peuples de l’URSS sont entrés dans une période d’économie de guerre dont l’enjeu était tout autant la destruction du premier État à économie socialiste qu’un nouveau partage du monde (affaiblissement de l’impérialisme anglais et montée en puissance de l’impérialisme états-unien).
Avant, pendant et après la guerre, qui dura cinq ans, les puissances occidentales jouèrent en permanence un double jeu, laissant porter l’effort de guerre par l’URSS dans l’espoir ouvertement déclaré de voir Hitler « faire le sale travail » de destruction de l’État socialiste.
En 1945, l’URSS était toujours debout – ayant brisé définitivement les reins de l’hydre NAZIE –, le capital international dut s’incliner. Le Parti communiste bolchévik de l’URSS avait su mobiliser les peuples soviétiques, vaincre le nazisme et maintenir l’État socialiste prolétarien. Les peuples du Monde avaient là un modèle éclatant. Un exemple trop dangereux pour les impérialistes.
La puissance anglaise rabaissée, laissait désormais la place à l’impérialisme états-unien et ce dernier marquait son hégémonie sur la scène internationale capitaliste en larguant les premières bombes atomiques sur les populations civiles du Japon. Ce crime contre l’humanité prenait une intense signification avec l’approbation tacite de la « communauté internationale » (ONU) déjà assujettie à son nouveau maître.
En URSS, Avec 28 millions de victimes (civils pour les 2/3), il fallait tout reconstruire, former de nouveaux cadres, rétablir l’économie. Depuis 1917, ce pays n’avait connu que 16 années de paix (1924/1940), ses cadres avaient été décimés par la guerre, ses infrastructures détruites. Staline, et la direction du Parti communiste de l’Union soviétique, conscients de cette problématique se mirent à rédiger des documents essentiels qui nous permettent encore aujourd’hui de saisir la justesse des orientations, avant la guerre autant qu’après la guerre, tant sur le plan politique, idéologique, qu’économique. Mais Staline meurt en mars 1953.
La « résolution » de l’Union européenne fasciste est une insulte intolérable envers la mémoire de toutes les victimes de la barbarie du 3ème Reich, mortes sous les balles nazies ou dans les camps de déportation et en particulier envers la résistance implacable des peuples de l’URSS et de son gouvernement conduit par l’intègre et brillant Joseph Staline, face à l’envahisseur nazi assassin, ses hordes de waffen SS, et einsatzgruppen.
Et je n’oublie pas, dans cet hommage du coeur, les résistants communistes Allemands qui furent pratiquement exterminés par la répression féroce mise en oeuvre par le troisième Reich nazi.
In fine, l’Union européenne n’est qu’un instrument fasciste, complice et à genoux devant l’impérialisme des États-Unis, impérialisme américain assassin de masse, assassin en Libye, assassin en Irak, assassin en Afghanistan, assassin en Syrie, assassin au Viet-Nam, assassin en Afrique, assassin en Amérique du Sud et aujourd’hui assassin en Ukraine, dans tous les lieux où il peut s’approprier, sans débourser un sou, les multiples richesses des pays qu’il colonise.