Vous vous rendez compte, n’est-ce pas, que tout ce qui se passe autour du fiasco de l’Ukraine du côté de l’OTAN est complètement fou ? Les gens qui dirigent le gouvernement américain – Barack Obama et sa bande de sorcières – ont tout déclenché là-bas, de concert avec une bande d’acteurs du monde des affaires (BlackRock, diverses compagnies pétrolières et gazières, des types d’Haliburton, des fabricants d’armes, un tas de grandes banques), plus l’ignoble WEF pour les «guider» (ha !), cherchant à s’emparer des richesses minérales de l’Ukraine et, en fin de compte, de la Russie elle-même. Belle tentative. Ça n’a pas marché. Des tonnes d’argent ont été jetées dans un trou à rats.
Aujourd’hui, on entend dire que nous (l’OTAN) «ne pouvons pas nous permettre de perdre». Ah oui ? Mais nous sommes en train de perdre. La Russie tiendra les provinces de l’est de l’Ukraine et ce qui restera du reste de l’Ukraine sera un État failli, vidé de ses hommes de moins de soixante ans capables de travailler dans n’importe quel domaine, en faillite, brisé. Il faudra un siècle, voire jamais, pour que l’Ukraine se remette de tout cela et l’Occident n’aura rien gagné. En tout cas, c’est la vraie perspective. Ainsi, la «solution» de l’Occident à ce dilemme humiliant semble être la suivante : déclencher une guerre encore plus importante, jusqu’à l’utilisation d’armes nucléaires.
La raison pour laquelle les membres européens de l’OTAN ont accepté de participer à cet imbroglio de pied nickelé est aujourd’hui une énigme de l’histoire, tout comme l’identité de la personne qui a tué JFK en 1963. L’Allemagne, la plus grande économie du club européen, a assisté sans broncher à l’explosion par l’Amérique de son approvisionnement en gaz naturel à un prix abordable (les gazoducs Nord Stream), ce qui constituait un acte de guerre de notre part à l’encontre de l’Allemagne. Apparemment, Olaf Scholz s’est rendu un jour à notre station de la CIA à Berlin pour se faire couper les cheveux et en est ressorti avec une lobotomie, regardant fixement toute l’affaire comme un bœuf de Hinterwälder sur l’aire de mise à mort. En attendant, adieu l’économie industrielle ! Ravi de vous avoir connus. On dirait qu’on est revenu au quatorzième siècle, à vivre de pain noir, à dormir avec le bétail sous la maison pour se chauffer en hiver, à combattre les djihadistes à l’intérieur des murs de la ville…
Quel est le but, vous demandez-vous, de cette nouvelle guerre mondiale que les ploutocrates américains ont envie de déclencher ? Et pourquoi maintenant, exactement ? Les réponses stupides peuvent être les bonnes. Pour fournir un prétexte d’urgence permettant à «Joe Biden» (Barack-à-frites Obama & Co.) de «reporter» l’élection ? Si c’est le cas, je suppose qu’ils veulent une guerre civile encore plus chaude que la Troisième Guerre mondiale, car c’est ce qu’ils obtiendront. Ou s’agit-il simplement d’achever la destruction des États-Unis, en nous transformant en un État en déliquescence dirigé par une Mameloukocratie transsexuelle ? Ou s’agit-il, comme l’a dit Ed Dowd, de dissimuler l’implosion imminente de la débâcle de la dette entre les États-Unis et l’Euroland ?
Pour couvrir tout cela, l’Occident a organisé une fausse conférence de paix dans un centre de villégiature cinq étoiles en Suisse la semaine dernière – flûtes de Louis Roederer, Cristal Brut avec mousse de langoustine dans des barquettes de pâte feuilletée… à mourir ! (Et vous savez à quel point les États-Unis étaient sérieux parce que nous avons envoyé notre as de la résolution des problèmes, la vice-présidente Kamala Harris, qui s’est esclaffée et a fait des pieds et des mains pendant une ou deux séances, puis… juste… a quitté la scène, mystérieusement. La Russie n’a manifestement pas été invitée, soit dit en passant. Qui en a eu l’idée ?
Poutine a marqué l’occasion en publiant une proposition sensée pour entamer des négociations de paix, si simple et directe que même «Joe Biden» aurait pu comprendre :
retirer les troupes ukrainiennes du territoire du Donbass qui a rejoint la Fédération de Russie, et
accepter que l’Ukraine n’adhère pas à l’OTAN.
Les États-Unis et l’OTAN ont immédiatement rejeté cette proposition, pour des raisons non précisées. Selon le moteur de recherche du New York Times ce matin même (17 juin), le journal n’a pas publié d’article sur la guerre en Ukraine au cours des cinq derniers jours. Allez savoir…
Pendant que Kamala Harris s’en donnait à cœur joie en Suisse, «Joe Biden» s’est rendu à une collecte de fonds bien plus importante à Hollywood, avec en tête d’affiche des acteurs comme George Clooney, Julia Roberts et le sarcastique Jimmy Kimmel, c’est-à-dire des experts certifiés en matière de conflits géopolitiques, unis dans la cause de «sauver notre démocratie» du «dictateur Trump».
«Joe Biden» a déclaré que Donald Trump était déterminé à «se venger». Il va se venger sur nos personnes. Bien reçu. Mais je pense qu’il voulait dire que Trump pourrait ouvrir des enquêtes pour savoir comment il se fait que le parti démocrate et le blob des services de renseignement ont organisé un canular débilitant sans loi, l’un après l’autre sur notre pays au cours des huit dernières années, tout en le mettant en faillite et en détruisant le système médical, le système juridique, la monnaie, l’enseignement supérieur et l’armée américaine, sans parler de l’emprisonnement de milliers de personnes sur de fausses accusations criminelles et de l’entrée dans le pays de dix milliards de cabots étrangers, dont beaucoup de djihadistes aux intentions douteuses.
Mais qu’importe. 30 millions de dollars ont été collectés à Hollywood pour continuer à faire semblant que «JB» se présente aux élections. Faire semblant, c’est ce que font les acteurs, voyez-vous. Ils sont très doués pour cela, et votre travail consiste à jouer le jeu, à suspendre votre incrédulité. C’est l’essence même du showbiz. Bien entendu, la partie de la population américaine qui n’est plus hypnotisée par les opérations de désinformation parrainées par la CIA progresse implacablement dans tous les sondages.
La troisième guerre mondiale pourrait être la seule réponse à ce problème, après tout. Quoi qu’il en soit, Barack-à-frites Obama lui-même est sorti du bois pour encourager les stars à Los Angeles. Le moment venu, il a pris par le coude le «Président Joe Biden», hébété et au sourire vide, et l’a aidé à quitter la scène en traînant les pieds, démontrant ainsi au monde entier comment les choses se passent réellement aux États-Unis d’Amérique.