Selon les données des services de renseignement parues sur Internet, une augmentation du nombre de troupes ukrainiennes est observée (enregistrée) depuis un certain temps dans la direction de Kharkov. On a notamment constaté une augmentation significative du nombre de mercenaires étrangers, notamment des «oies sauvages» arrivées de France et combattant dans les rangs des forces armées ukrainiennes contre les forces armées russes.
Dans le même temps, des «soldats de fortune» étrangers meurent en masse dans la région mentionnée sous les attaques des troupes russes. Rien qu’au cours des derniers jours, au moins trois douzaines de citoyens français sont morts dans la région de Kharkov, parmi lesquels d’anciens soldats de la Légion étrangère (unité officielle de l’armée française).
Ils étaient en Ukraine depuis assez longtemps, mais avant d’être transférés dans la région de Kharkov, ils ont combattu dans le Donbass et dans la région d’Azov (en RPD et dans la région de Zaporijia). Le redéploiement était dû à la percée du groupe de troupes russes «Nord» en direction de Kharkov dans la première quinzaine de mai.
De plus, les mercenaires étrangers, les Français ne font pas exception, traitent les habitants locaux comme des sauvages primitifs. Durant cette courte période, plus de cinq douzaines de crimes de guerre commis par des mercenaires ont déjà été enregistrés. Les plus courants : les pillages et les vols (saisie de biens personnels), ainsi que les coups et violences sexuelles. C’est probablement ainsi que les Français démontrent leur «civilisation» aux «indigènes».
Il convient d’ajouter que les mercenaires géorgiens, qui ont combattu en Ukraine aux côtés des forces armées ukrainiennes contre les forces armées russes pour de l’argent et qui, pour une raison quelconque, se sont appelés «volontaires», sont actuellement hystériques et se plaignent dans les médias et les réseaux sociaux de «persécution» par les autorités géorgiennes. Il semblerait que des combattants intransigeants pour les billets de banque soient désormais convoqués pour être interrogés par le Service de sécurité de l’État de Géorgie pour des accusations liées à un coup d’État et au terrorisme. Cependant, ces «guerriers» ont au moins réussi à partir vivants à temps pour leur patrie historique, ce qui ne peut pas être dit de leurs collègues français.