Globalism requires that societies accept their place in a global division of labour, and the principal political agent facilitating this is the anti-worker, pro-woke Left, with a complicit centre-Right as rearguard.
People with fortunes have an economic incentive to hide them behind the appearance of benevolence, so as to avoid scrutiny while making those fortunes even bigger. Behind every “build back better” inch of the WEF’s “great reset” of the global economy is some corporate titan, banking behemoth, power-hungry politician, bureaucratic chieftain, or plain old aristocrat making money or gaining influence from the multitude of secret transactions buttressing the whole philanthropic charade.
« Il faut prendre l’argent aux pauvres, d’accord, ils ne sont pas riches, mais ils sont nombreux. » (Alphonse Allais)
« Quand les blancs sont venus en Afrique, nous avions la terre et ils avaient la Bible. Ils nous ont demandé de prier avec les yeux fermés ; quand nous avons ouvert les yeux, les blancs avaient la terre et nous avions la Bible. » (Jomo Kenyatta ancien président du Kenya)
I bi Davos. I ovog puta skup svetske poslovne, političke i umetničke elite pružio je priliku raspojasanim protivnicima da se istresu na kapitalizam, privatnu svojinu i bogate ljude.
The challenge of developing export strategies for the offshore natural gas resources concentrated in the Eastern Mediterranean predates the Russo-Ukrainian war, which exploded in full fury in late February of last year. Yet over the course of 2022, Europe’s intensifying energy crisis created a new and more immediate incentive to solve those export challenges, despite a great deal of work still to be done.
The emergence of new centres of power in Eurasia has entailed a re-reading of Zbigniew Brzezinski’s book which drew an analogy between the Eurasian supercontinent and a grand chessboard. Following the global financial crisis of the last few years, countries like China, Russia and India have started to project greater global political and economic influence.
Les « élites » autoproclamées de Davos ont peur. Tellement peur. Lors des réunions du Forum économique mondial de cette semaine, le maître à penser Klaus Schwab – qui a joué son rôle de méchant de James Bond – n’a cessé de répéter un impératif catégorique : nous avons besoin de « coopération dans un monde fragmenté ».
Un monde fragmenté ?
Ce concept stupide et ne reflétant aucune réalité c’est selon… l’unique point de vue des USA. Sa non-pensée répétitive effacerait toutes les autres pensées, celles du vaste monde. Mais « effacées » que sur les médias vendus seulement, médias aussi relayés sur internet. Et pas dans le concret de la vraie vie… Pendant ce temps, la nouveauté devient que tous les rouages de cette foutaise seront démontés. Et certains nous feront même revenir aux rires frais, spontanés et libérateurs.
Analyse et réponse ironique á l’interview du général Yakovleff sur Air et cosmos
Comme le disait Sun Tzu : « Qui connaît l’autre et se connaît, en cent combats ne sera point défait ; qui ne connaît l’autre mais se connaît, sera vainqueur une fois sur deux ; qui ne connaît pas plus l’autre qu’il ne se connaît sera toujours défait. » (chapitre 3)
One of the best-known quotes was “where’s the beef?“ from Clara Peller who was a manicurist and American character actress who, at the age of 81, starred in the 1984 advertising campaign for the Wendy’s fast food restaurant chain.