Terreur d’État contre population (I) : L’attentat de la gare de Bologne du 2 août 1980

Les gouvernements occidentaux, France en tête, font désormais se succéder sans répit les épisodes de terreur contre leurs populations. Virus manipulé, fausse pandémie, attentats sous fausse bannière, affolement climatique, crises économiques provoquées, menaces de guerre : il s’agit véritablement de placer constamment sous tension les populations. Apeurées, celles-ci sont bien plus manipulables et beaucoup moins susceptibles de se révolter. Contrôler les peuples par la peur est évidemment une technique de pouvoir vieille comme le monde. Mais la stratégie de la tension généralisée à laquelle est soumis aujourd’hui l’Occident – où les États n’hésitent pas à user de méthodes terroristes contre leurs propres populations – trouve son modèle dans l’Italie des années 1970. Ce sont les fameuses «années de plomb», au cours desquelles l’OTAN – par l’intermédiaire de son réseau clandestin Gladio – va organiser d’innombrables attentats sous fausse bannière. À ce jour, la plupart de ces attentats n’ont pas été jugés et leurs commanditaires n’ont jamais été inquiétés. Quant aux États-Unis, ils continuent d’être considérés en Italie comme l’allié principal de la péninsule.
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