L’intolérance des « progressistes » ne connaît plus de limites
Eux, ils peuvent tout se permettre…
Ça ne passe toujours pas. L’élection de Donald Trump continue de filer des boutons aux plus allergiques de nos représentants politico-médiatiques de gauche, lesquels n’ont visiblement pas compris deux choses essentielles. La première : Donald Trump a été élu par le peuple a-mé-ri-cain, lequel a plébiscité un projet clairement défini comprenant des actes forts dans des domaines comme l’industrie, la recherche scientifique, l’immigration, le wokisme, l’écologie, etc. À l’inverse de nos politiciens bavards qui, une fois arrivés au pouvoir après avoir promis le meilleur, ne font rien ou font pire que leurs prédécesseurs en faisant l’inverse de ce qu’ils avaient promis, le président américain, quoi que l’on pense de lui, a décidé de respecter ses engagements et de passer immédiatement à l’acte. La seconde : les Américains se soucient comme d’une guigne des rodomontades, des insultes, des invectives et des injonctions des journalistes et des artistes français dont ils ignorent jusqu’à l’existence.