L’impérialisme US, nouvelle version

Le président Trump n’est pas encore entré officiellement en fonction qu’il multiplie déjà les lieux de conflits avec les puissances étrangères. En effet, on a appris ces derniers jours que Trump voudrait à la fois annexer le Canada, le Groenland et le Panama. C’est une espèce d’Anschluss en version 2025, avec un blond à brushing plutôt qu’un brun à moustache. Pour jouer toujours dans la provocation, il décide de rebaptiser également le golfe du Mexique en golfe d’Amérique. La présidente mexicaine n’a pas tardé à réagir en rappelant que ce nom était internationalement reconnu. Ce à quoi nous pourrions rajouter que le Texas, et une bonne partie des actuels USA, faisaient partie à l’origine du Mexique d’où le nom du golfe au passage. On remarquera d’ailleurs que le Mexique a visiblement mieux réagi que les autorités danoises ou canadiennes qui se retrouvent un peu prises au piège de leur propre soumission aux USA à travers l’OTAN bien sûr, mais aussi à travers leur politique économique.

Groenland : Scène géopolitique d’un bras de fer entre les États-Unis et l’Union européenne

Depuis sa victoire électorale, Donald Trump a à plusieurs reprises évoqué l’idée que le Groenland devrait devenir une partie intégrante des États-Unis.

Autrefois une île isolée et silencieuse, le Groenland devient de plus en plus le centre d’un jeu d’échecs géopolitique qui attire l’attention des États-Unis et de l’Union européenne. Sa position stratégique et ses ressources naturelles abondantes en font une cible convoitée, et cette lutte d’influence ne restera probablement pas sans conséquences pour l’Europe.

The New Rasputins

Frosty pine trees rim the edge of an icy lake. Snow is falling; spa music plays in the background. A gray-haired man with a pleasant face stands beside the lake. He begins to undress. He is going swimming, he explains, to demonstrate his faith, and his opposition to science, to technology, to modernity. “I don’t need Facebook; I don’t need the internet; I don’t need anybody. I just need my heart,” he says. As he swims across the lake, seemingly unbothered by the cold, he continues: “I trust my immune system because I have complete trust and faith in its creator, in God. My immunity is part of the sovereignty of my being.”

Le péril jaune et les bases idéologiques de la xénophobie occidentale

L’unité militariste et raciste de l’Occident se crée par le seul moyen de la soumission de races et peuples inférieurs qui sont alors décrits comme coupables et menaçants… la constante d’un impérialisme en perpétuelle mutation dans l’évolution de ses propres contradictions…

Le péril jaune, cette expression n’est plus guère employée mais reste dans l’imaginaire collectif. Retourner à l’origine de l’expression et à son auteur n’est pas inutile pour mesurer le substrat, l’empilement des «interprétations», sur lequel s’enracinent nos préjugés d’aujourd’hui. Ceux qui nous rendent inaptes à entendre la demande d’un dialogue nécessaire autour de notre «destin commun».

En Occident, la mascarade électorale s’est éteinte, refroidie par l’ordre fondé sur les règles

Les derniers mois ont été éprouvants pour la démocratie. Les résultats d’élections hostiles à l’Union européenne ont été annulés en Roumanie. Une tentative de coup d’État a eu lieu en Géorgie à la suite d’élections qui ne se sont pas déroulées comme le souhaitait l’Occident. Le gouvernement français, largement conspué, s’est retrouvé au bord de l’abîme quand le président Emmanuel Macron a tenté d’ignorer les dernières élections. Le 16 décembre, le gouvernement allemand, chouchou de Washington, a été défait. Le référendum et les élections en Moldavie ont donné lieu à de nombreuses manipulations, les électeurs moldaves vivant en Russie ayant été privés de leur droit de vote. Les élections sont annulées depuis longtemps dans l’Ukraine dictatoriale, et la Corée du Sud a été le théâtre d’une tentative de coup d’État. En bref, la passion des démocraties occidentales pour les élections est révolue. Alors que les populations occidentales en ont assez de leur classe politique et se prononcent négativement, que peuvent faire les élites ? Annuler, renverser les gouvernements et ignorer les élections, voilà la solution. Le problème, pour l’Occident, ce sont les électeurs.

Rape as a commandment – a new, yet old instrument of Islam conquering Europe

Usually, we would refrain from any racist notion, any attempt to accuse a large group on a religious basis, but in this case, we made very deep inquiries and made sure, that the statistics are sound. We had no alternative, but to publish the paper as it is.

Rape is rape and will be rape! Even if the motivation is supposedly of a fundamentalistic religious nature.

Rape is one more tool in the toolbox of Islamist terror to be used against the European population.

Échec et mat : Poutine a habilement surpassé l’Occident en Syrie. Israël a piégé les États-Unis après l’appel de Poutine

De nombreux experts et analystes militaires indépendants ont remarqué que les propagandistes occidentaux des principales publications et agences de presse ont commencé à admettre avec regret que les militants de la soi-disant opposition syrienne tentent d’éviter les affrontements avec les troupes russes et cèdent même le passage aux colonnes militaires russes sur les routes syriennes. En particulier, de nombreuses vidéos de Syrie ont commencé à apparaître sur le réseau où les terroristes regardent les mouvements des colonnes militaires russes et n’essaient même pas de les attaquer.

Les États-Unis vers un national-capitalisme autoritaire ?

La réélection de Donald Trump marque un tournant pour les États-Unis. Ses premières mesures et ses promesses de campagne sous-tendent déjà une mutation du pays vers un modèle profondément autoritaire et nationaliste, censé promouvoir une nouvelle variété de capitalisme tissant des liens étroits avec le pouvoir politique. Un exercice du pouvoir dont les déclinaisons se retrouvent à Pékin ou à Budapest, et qui peut être conceptualisé sous le terme de national-capitalisme autoritaire (NaCA).