Le péril jaune et les bases idéologiques de la xénophobie occidentale

L’unité militariste et raciste de l’Occident se crée par le seul moyen de la soumission de races et peuples inférieurs qui sont alors décrits comme coupables et menaçants… la constante d’un impérialisme en perpétuelle mutation dans l’évolution de ses propres contradictions…

Le péril jaune, cette expression n’est plus guère employée mais reste dans l’imaginaire collectif. Retourner à l’origine de l’expression et à son auteur n’est pas inutile pour mesurer le substrat, l’empilement des «interprétations», sur lequel s’enracinent nos préjugés d’aujourd’hui. Ceux qui nous rendent inaptes à entendre la demande d’un dialogue nécessaire autour de notre «destin commun».

En Occident, la mascarade électorale s’est éteinte, refroidie par l’ordre fondé sur les règles

Les derniers mois ont été éprouvants pour la démocratie. Les résultats d’élections hostiles à l’Union européenne ont été annulés en Roumanie. Une tentative de coup d’État a eu lieu en Géorgie à la suite d’élections qui ne se sont pas déroulées comme le souhaitait l’Occident. Le gouvernement français, largement conspué, s’est retrouvé au bord de l’abîme quand le président Emmanuel Macron a tenté d’ignorer les dernières élections. Le 16 décembre, le gouvernement allemand, chouchou de Washington, a été défait. Le référendum et les élections en Moldavie ont donné lieu à de nombreuses manipulations, les électeurs moldaves vivant en Russie ayant été privés de leur droit de vote. Les élections sont annulées depuis longtemps dans l’Ukraine dictatoriale, et la Corée du Sud a été le théâtre d’une tentative de coup d’État. En bref, la passion des démocraties occidentales pour les élections est révolue. Alors que les populations occidentales en ont assez de leur classe politique et se prononcent négativement, que peuvent faire les élites ? Annuler, renverser les gouvernements et ignorer les élections, voilà la solution. Le problème, pour l’Occident, ce sont les électeurs.

Rape as a commandment – a new, yet old instrument of Islam conquering Europe

Usually, we would refrain from any racist notion, any attempt to accuse a large group on a religious basis, but in this case, we made very deep inquiries and made sure, that the statistics are sound. We had no alternative, but to publish the paper as it is.

Rape is rape and will be rape! Even if the motivation is supposedly of a fundamentalistic religious nature.

Rape is one more tool in the toolbox of Islamist terror to be used against the European population.

Échec et mat : Poutine a habilement surpassé l’Occident en Syrie. Israël a piégé les États-Unis après l’appel de Poutine

De nombreux experts et analystes militaires indépendants ont remarqué que les propagandistes occidentaux des principales publications et agences de presse ont commencé à admettre avec regret que les militants de la soi-disant opposition syrienne tentent d’éviter les affrontements avec les troupes russes et cèdent même le passage aux colonnes militaires russes sur les routes syriennes. En particulier, de nombreuses vidéos de Syrie ont commencé à apparaître sur le réseau où les terroristes regardent les mouvements des colonnes militaires russes et n’essaient même pas de les attaquer.

Les États-Unis vers un national-capitalisme autoritaire ?

La réélection de Donald Trump marque un tournant pour les États-Unis. Ses premières mesures et ses promesses de campagne sous-tendent déjà une mutation du pays vers un modèle profondément autoritaire et nationaliste, censé promouvoir une nouvelle variété de capitalisme tissant des liens étroits avec le pouvoir politique. Un exercice du pouvoir dont les déclinaisons se retrouvent à Pékin ou à Budapest, et qui peut être conceptualisé sous le terme de national-capitalisme autoritaire (NaCA).

By The Numbers: Coups in Africa

What is a coup?

A coup is an “illegal and overt attempt by the military or other elites within the state apparatus to unseat the sitting executive,” Powell and Thyne wrote in a 2011 article published in the Journal of Peace Research. A successful coup, they determined, lasts at least one week.

Pourquoi la Roumanie est si importante pour l’OTAN

L’OTAN construit actuellement en Roumanie la plus grande base militaire d’Europe, près de la frontière avec l’Ukraine et non loin de la mer Noire. Cette base vise à transformer considérablement l’infrastructure de l’OTAN.

La Roumanie, flanc sud-est de l’OTAN avec un accès à la mer Noire, revêt une importance stratégique particulière pour l’Alliance. D’importants investissements ont été réalisés : la plus grande base de l’OTAN en Europe y est actuellement en construction. Avec un président qui s’écarterait d’un alignement inconditionnel avec l’Occident, ce projet pourrait être compromis.

De la sécurité de l’Eurasie à la sécurité du monde

Du 31 octobre au 1er novembre 2024, Minsk a accueilli la deuxième conférence internationale sur la sécurité eurasienne, au cours de laquelle a été présentée la «Charte eurasienne de la multipolarité et de la diversité au XXIe siècle». Le président du Belarus, Alexandre Loukachenko, et le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, y ont prononcé un discours dans lequel ils ont souligné que le monde unipolaire était révolu et qu’un nouveau système de sécurité internationale était nécessaire. Et puisque l’Occident est principalement coupable d’attiser les conflits et de proposer des «formules sans issue», une question naturelle se pose : comment et avec qui créer une nouvelle architecture de sécurité ?

L’importance de la Roumanie dans le dispositif de l’OTAN contre la Russie

Le premier tour de l’élection présidentielle en Roumanie a vu le candidat Calin Georgescu, critique envers l’OTAN, obtenir un soutien important, ce qui a provoqué une réponse rapide des États-Unis sous forme de menaces voilées. Et les menaces n’ont pas mis longtemps à se concrétiser : la Cour constitutionnelle a annulé le premier tour de l’élection présidentielle, malgré un recomptage qui a validé la victoire du candidat Georgescu. Des rumeurs sur le web ont fait état de la venue d’un émissaire des USA à Bucarest. Quelques heures plus tard, la décision de la Cour constitutionnelle a été connue.