Foreign Minister Najla al-Manqoush urges Turkey to comply with UN resolutions, expel foreign fighters from Libyan territory.
Libya’s top diplomat has called for the departure of foreign forces and mercenaries from the North African country as it heads towards elections later this year.
United States military outposts in Afghanistan have come under some fire in recent days in what was an expected response to American forces remaining in the country beyond the May 1 deadline agreed by former President Donald Trump and the Taliban.
Des centaines de militaires, de tous grades, ont co-signé une lettre ouverte aux représentants de la Nation, texte relayé depuis dans Valeurs Actuelles.
Ils y font part de leurs inquiétudes, que toute personne de bonne foi au fait de la situation du pays ne peut que partager. Ils affirment qu’ils sont disposés à servir la France aux côtés de tous les politiques qui, contre l’islamisme, contre ceux qui sèment la haine raciale, et à l’écoute du peuple, auront à cœur « d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà » car « il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas. »
«L’assimilation est un crime contre l’humanité» affirmait le président turc Erdogan en Allemagne en 2008. En France, qu’il se rassure, les immigrés turcs ne se caractérisent pas franchement par leur assimilation. Chiffres.
Au mois d’octobre 2020, diverses villes de France ont été le théâtre des mêmes scènes stupéfiantes. À Dijon, Vienne ou Décines, plusieurs centaines d’individus brandissant des drapeaux turcs ont improvisé des défilés à la nuit tombée, scandant des slogans à la gloire du président Erdogan, des invocations religieuses (« Allah akbar ») ainsi que des menaces de mort envers la population d’origine arménienne.
Algorithme, suivi des radicalisés: le projet de loi «terrorisme et renseignement» présente des mesures insuffisantes
Quoi qu’on veuille nous faire croire, la sortie précipitée de ce projet apparaît comme un contre-feu de “com” après l’attentat de Rambouillet, point d’orgue d’une semaine calamiteuse où Macron qui voulait nous jouer “plus sécuritaire que moi, tu meurs”, a, en fait, reçu en pleine face le choc de la dure réalité réduisant à néant son prétendu combat « pour une vie paisible », annoncé à Montpellier devant les policiers et qui se heurtait « en même temps » et presque au même endroit à une fusillade où un homme était criblé de balles…
Entretien avec Lydia Guirous, qui publie Assimilation, en finir avec ce tabou français (Editions de l’Observatoire, 2021). Le retour dans le débat de la notion clivante d’assimilation est-il un phénomène de mode ou peut-on envisager des traductions dans le réel?
Née en Kabylie, arrivée à l’âge de six ans à Roubaix et d’origine modeste, Lydia Guirous a un parcours politique singulier. Après avoir évolué dans sa jeunesse dans les milieux associatifs, où elle détonne, voilà presque dix ans qu’elle est en politique, à droite. Son nouvel essai, Assimilation, en finir avec ce tabou français, disponible en librairies, aborde une question très présente dans le débat français actuel. Question sur laquelle ses positions courageuses sont connues depuis longtemps. Elle les y précise.
Since the end of World War II, there have been several attempts that ultimately failed to establish a regional security framework in the Middle East. These attempts have historically fallen short, undermined by distrust, power politics and conflict. Today, a new window of opportunity may be emerging to establish a stable, broadly accepted mechanism for de-escalating conflicts, setting norms and building confidence and cooperation between states in the region. World powers should consider the ongoing Vienna talks — aimed at reviving the Iran nuclear deal that the Trump administration withdrew from — the first step in this direction.
After neo-Nazis marched in Charlottesville, North Carolina, and then President Donald Trump responded by saying there were “good people on both sides,” people who abhor white supremacism stood up, took notice, and condemned the marchers. Anti-racists would be wise to do the same about the far-right march that took place last week in Jerusalem.
Israel has a long-standing interest in Lebanon. These interests have periodically manifested themselves in bloody attacks against the small Arab state. Two important sources on the Zionist plans for Lebanon are the diary of Moshe Sharett, who was the Prime Minster of Israel in 1954-1955 and who was considered a “soft Zionist”, and Livia Rokach’s “Israel’s Sacred Terrorism: A study based on Moshe Sharett’s Personal Diary, and other documents”. In the latter we find some very important information, and it is worth quoting at length:
Depuis la signature de la “convention de main-d’œuvre entre la France et la Turquie” en 1965, la diaspora turque n’a fait que s’amplifier en France pour atteindre les 700 000 personnes en 2020. La religion (islam) et l’attachement au pays d’origine (turcité) sont les caractéristiques de cette immigration. La communauté turque est marquée par une endogamie très forte.