Hopes and Uncertainties in Syria

Many Western leaders have expressed their relief at the collapse of the dictatorship of Syria’s Bashar al-Assad. Cities such as Homs and Damascus were taken by the coalition led by Hayat Tahrir al-Sham (HTS, or the Organization for the Liberation of the Levant) almost without combat. The reality is that the seemingly unshakeable fifty-four-year-old rule of the Assad dynasty had been rotting from within.

L’anarchie au Levant : Votre rêve d’avenir est un plan de chaos

Téhéran et Moscou ne se font pas d’illusions et se préparent en conséquence. La guerre contre les BRICS ne fait que commencer.

La Syrie telle que nous la connaissions est éviscérée en temps réel – en termes géographiques, culturels, économiques et militaires – par une effroyable confluence de troupes mercenaires Djihadiste-à-louer et de génocidaires psychopathologiques priant à l’autel d’Eretz Israël.

The Slow Motion Death Of Syria – OpEd

On December 8, 2024, the 24-year reign of Syrian strongman Bashar al-Assad came to an end after a rebel coalition of Al-Qaeda offshoots, Turkish proxies, and other Islamist militants overwhelmed the capital of Damascus. In effect, a Sunni Islamist saturnalia brought an end to the Middle East’s last secular Arab government.

The Assad family, starting with Hafez al-Assad in 1971, has held an iron grip on Syrian politics for over five decades. As committed members of the Arab Socialist Ba’ath Party, the Assads aligned with rivals to the West and Israel such as the Soviet Union, the Islamic Republic of Iran, and later on the Russian Federation.

The day after in Syria

Following revolutions, we Americans have a touching inclination to ask: “Are the new leaders like us? Are they moderates who believe in tolerance and peaceful coexistence?”

Generally, the answer is no.

U.S. officials worry about ISIS jailbreak in Syria: ‘Ticking time bomb’

American officials are scrambling to head off a new nightmare scenario in Syria: a major terrorist jailbreak.

Thousands of Islamic State group fighters and their families remain in makeshift prisons, watched over by U.S.-backed Kurdish forces with limited weapons. The prisons were supposed to be temporary, but their home countries don’t want the fighters back.

Une lumière sur la Syrie

Pour comprendre la réalité de ce qui vient de se passer en Syrie, sur la chute du gouvernement de Bashar al-Assad cédant la direction du pays au néo-groupe pseudo-terroriste islamiste fraichement rasé de près, rebaptisé HTS (Hay’at Tahrir al-Sham, je ne l’écrirai au complet qu’une seule fois !), il faut d’abord comprendre l’enjeu réel caché derrière la Syrie sur l’échiquier géopolitique.

Syrie et carnage occidental : massacre sous fausse bannière de la Ghouta (21 août 2013)

Le lundi 9 décembre 2024, les rédactions de France et de Navarre exultent ! Le «tyran» et «boucher» Assad est tombé, après presque quinze années de guerre de l’Occident, un blocus criminel et des centaines de milliers de morts. L’armée des «rebelles» a vaincu. Des «rebelles» qui sont aussi des «islamistes djihadistes», une information dont la divulgation est désormais autorisée par la Kommandantur de l’OTAN». Brrrr», tremble le petit Occidental un peu perdu à vrai dire car, pendant vingt ans, on lui a dit que les «djihadistes» avec des longues barbes (à ne pas confondre avec le père Noël !) sont les pires ennemis de la démocratie. Mais quelques photos prises cette fois sous le bon angle, une barbe coupée de près et un costume à l’occidental font subitement d’Abou Mohammad al-Joulani non plus un terroriste dont la tête est mise à prix par le FBI pour 10 millions de dollars, mais un «radical pragmatique», sauveur du peuple syrien et de la démocratie. Attention toutefois, préviennent les gouvernements et les rédactions (c’est la même chose) en Occident : il ne faudrait pas que la Syrie se disloque dans une guerre ethnique monstrueuse faisant des centaines de milliers de morts ! Ça n’est évidemment pas le but, ni des pays occidentaux, ni des Israéliens, certes menteurs patentés, massacreurs génocidaires, promoteurs du terrorisme d’État, mais avant tout «défenseurs de la démocratie» et «bienfaiteurs de l’humanité» comme tout petit Français qui écoute sagement son journal du matin sur Radio France ou qui regarde religieusement son journal du soir sur France 2 en est heureusement et scrupuleusement informé. N’avait-il pas déjà été informé le 21 août 2013, avec la rigueur et l’impartialité qui toujours caractérisent nos journalistes français, que le massacre de la Ghouta était dû au «boucher» Assad, ce monstre sanguinaire n’hésitant pas à tuer par dizaines de milliers sa propre population ?
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The Humanitarian Crisis In The Post-Fall Of Damascus: A Critical Challenge For Syrian Transitional Government – Analysis

The capture of Damascus on December 8, 2024, signifies a crucial stage in the Syrian conflict, indicating the dissolution of President Bashar al-Assad’s regime and the establishment of a transitional government. The political and military transition has been significant; however, the humanitarian crisis afflicting Syria continues to represent the most urgent and persistent challenge for the newly established regime.

Centcom Strikes ISIS, New Carrier Group Enters Region

U.S. Central Command forces conducted precision air strikes today targeting ISIS camps and operatives in Syria, the Defense Department has announced.

“Battle damage assessments are ongoing [and there are] no indications of civilian casualties,” Pentagon Press Secretary Air Force Maj. Gen. Pat Ryder told reporters during a morning briefing.