La frontière serbe : l’espoir renouvelé des jeunes de Tataouine

“Notre pays souffre du chômage, et mon fils rêve comme ses pairs de fonder une famille. C’est mieux de migrer que de rester ici et de voir les gens se développer, alors que lui est impuissant et humilié, parce qu’il n’a pas qui l’aider. Je n’attendrai pas jusqu’à ce qu’il se suicide.” C’est ainsi que Mahmoud résume les raisons qui l’ont poussé à collecter de l’argent pour financer la migration irrégulière de son fils, à travers la Serbie, jusqu’en France, suivant ainsi l’exemple de plusieurs jeunes de Tataouine.