Le bilan de l’attaque de l’hôtel Hayat à Mogadiscio monte à 21 morts

“Le ministère de la Santé a confirmé à ce stade le bilan de 21 morts et 117 blessés”.

Le bilan de l’attaque d’un hôtel de Mogadiscio par des islamistes radicaux shebab, qui duré 30 heures et s’est terminée samedi vers minuit, est monté à 21 civils tués, a annoncé dimanche le ministre somalien de la Santé.

Mali : le GSIM annonce des « opérations » contre Bamako

Moins d’une semaine après l’attaque du camp de Kati, où vit le président Assimi Goïta, le groupe jihadiste clame dans une vidéo qu’il s’est déployé autour de Bamako pour y intervenir « de jour comme de nuit ».

La vidéo dure quatre minutes. Face à la caméra, Mahamoud Barry, dit Abou Yahya, un membre du Conseil de la Choura, l’organe décisionnaire du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), d’Iyad Ag Ghaly, apparaît en boubou marron, un turban blanc sur la tête. L’intéressé a un message à adresser aux Maliens et, pour l’exprimer, il a choisi le bamanankan.

Maroc-Mauritanie : quand un prédicateur réveille le contentieux territorial

Le président de l’Union internationale des savants musulmans, Ahmed Raissouni, a remis en cause l’existence de la Mauritanie et prôné un retour au « Grand Maroc ». Des déclarations qui ont suscité de nombreuses réactions au Maghreb et qui n’ont pas manqué de relancer la polémique autour des conflits frontaliers avec l’Algérie et la Mauritanie.

Massive Borrowing Puts Nigeria’s Future at Risk

The country’s bloated debt portfolio is the outcome of decades-long economic mismanagement.

Among the many dangers threatening the very foundation of the Nigerian state is the government’s increasing reliance on internal and external borrowing to finance its operations. In recent weeks, various international organizations, private entities, senior government officials, and former government functionaries have decried the Buhari administration’s appetite for borrowing, and warned about the risk to the Nigerian state of allowing the situation to get out of hand. These include the International Monetary Fund (IMF), which projected that “the Nigerian government may spend nearly 100 percent of its revenue on debt servicing by 2026;” the World Bank, which warned that the country’s debt, while seemingly sustainable, is “vulnerable and costly;” and the Nigerian Economic Summit Group (NESG), a body of private sector leaders, which warned against what it saw as the prospect of creating “a debt burden for future governments.”