Counterterrorism has become a backburner issue amid great power conflict, to the chagrin of many intelligence and homeland security professionals tasked with maintaining vigilance in the face of an ever-evolving threat.
The challenge most familiar to the United States and its allies, Salafi jihadist terrorism, now manifests in different forms and different locales, notably concentrated in the Sahel now.
Without strong and inspirational leadership, the “Islamic State” brand has become watered down, with affiliate groups and IS branches pursuing more narrow agendas embedded in more local and regional conflicts.
Beyond Salafi-jihadists, the terrorism landscape is far more diverse than in recent years, with threats posed by groups motivated by different ideologies, including far-right extremists and those related to Iran, for example.
General Michael Kurilla, head of United States Central Command (CENTCOM), has suggested that at its current trajectory, Islamic State Khorasan (ISK) would be able to conduct external operations within approximately six months.
Since the Taliban takeover of Afghanistan in August 2021, counterterrorism analysts have warned about the growing threat of ISK, especially in light of the U.S. troop withdrawal and limited human intelligence assets in areas where ISK and other terrorist groups operate.
ISK has been diversifying its target set in Afghanistan over the past year, attacking Pakistani, Chinese, and Russian targets inside the country.
Globally, Islamic State is dedicating more resources to its affiliates in Afghanistan and Africa, especially as its core group comes under intense assault in Syria, while some franchises that were formerly prominent continue to ebb, such as those in Southeast Asia, Libya, and Egypt.
Olivier Dubois, a French freelancer, went missing on April 8, 2021, in the Malian region of Gao while seeking an interview with the local leader of the Al-Qaeda affiliated group Jamaa Nusrat al-Islam wal-Muslimin. His abduction was made public in a video posted online that May.
La milice communautaire Codéco a exécuté 17 otages dimanche, un an pourtant après que la RDC a tenté de négocier un cessez-le-feu avec d’anciens chefs de guerre.
C’est la consternation en Ituri après l’exécution par la Codéco de 17 otages, dimanche [26.03.23]. Les personnes tuées ont d’abord été prises en otage avant d’être exécutées le lendemain par la milice Codéco. Elles quittaient le chef-de-lieu dela province de l’Ituri, la ville de Bunia, pour se rendre dans la cité minière de Mongbwalu lorsque leur convoi est tombé dans une embuscade.
Le président Mahamat Idriss Déby Itno a gracié, lundi, par décret présidentiel, 259 manifestants. Lors d’un procès de masse à huis clos, 262 personnes avaient été condamnées à de la prison ferme pour avoir manifesté en octobre contre la prolongation du mandat du général Déby.
L’ancien président Marc Ravalomanana a fait une descente, avant-hier, à Ambohimanarina. Cela rentre, notamment, dans le cadre de la redynamisation de son parti Tiako i Madagasikara ainsi que dans la sensibilisation de ses partisans à aller voter. En effet, l’ancien président ne cesse de réitérer l’importance du suffrage universel. Et à lui d’annoncer également l’émission des millions de flyers qui seront éparpillés dans toute l’Île. Il a notamment continué qu’« il n’y aura aucune transformation, sauf si le pouvoir change ». Selon le fondateur du TIM, il y a plusieurs façons de prendre le pouvoir. Il a cité ainsi le coup d’Etat tout en signalant au passage « un coup d’Etat en gestation ». Dans la même foulée, « le moment va bientôt arriver, vous n’allez plus attendre longtemps », a-t-il soutenu. Faisant sans doute allusion à sa candidature.
Au Niger, l’uranium est une des grandes richesses du sous-sol. Le combustible nucléaire est un pilier de l’économie du pays qui a longtemps détenu le statut de premier producteur du continent. Pourtant, depuis 2016, il a perdu cette place au profit de la Namibie, selon les données d’Ecofin Pro.
L’état d’urgence a été déclaré dans huit régions du Burkina Faso, à compter du 30 mars 2023.
La mesure d’état d’urgence concerne 21 provinces (sur les 45 que compte le pays) réparties dans huit régions (sur les 13 régions) du Burkina Faso où les groupes armés terroristes mènent régulièrement des opérations contre les populations civiles et l’armée.
Selon le dernier rapport de l’indice 2023 du terrorisme mondial, le nombre de victimes d’attaques terroristes dans la région du Sahel a augmenté de plus de 2 000 % au cours des 15 dernières années. Le Burkina Faso est le 1er pays sur le continent et le 2ème pays au monde le plus touché selon l’Indice mondial du terrorisme (GTI) 2023, un rapport publié par l’Institut pour l’économie et la paix (IEP).
