The United Nations has called on Libya to treat migrants and asylum seekers with dignity as it highlighted concerns over arbitrary detentions and mass expulsions.
The war-torn country has been accused of arresting men, women and children from the streets and their homes, with many held in overcrowded places.
Si elle n’est pas elle-même la cible d’attaques terroristes, l’Afrique du Sud est une place forte du financement du groupe État islamique (EI).
Alors qu’elle ne semble pas affectée par la montée des mouvements islamiques sur le continent, l’Afrique du Sud serait en réalité au centre de la stratégie financière du groupe État islamique (EI). Une situation que les États-Unis ont dénoncée les premiers en sanctionnant, en 2022, des entreprises et ressortissants sud-africains soupçonnés de faciliter des transferts de fonds au profit de l’EI.
Le géant d’Afrique du Nord a renoué avec une stabilité apparente au prix de transactions volatiles entre rivaux d’hier.
La Libye ne défraie plus guère la chronique internationale. Une stabilité apparente, des fractures internes peu lisibles, des crises ailleurs autrement brûlantes : Tripoli et Benghazi n’intéressent plus, voire lassent. Ce n’est pas franchement la paix comme l’illustrent les incidents récents en Tripolitaine (Ouest). Ce n’est pas non plus la guerre. Nulle trace d’un choc frontal entre deux coalitions politico-militaires encouragées de l’étranger comme ce fut le cas lors de la guerre civile de l’été 2014 ou de la « bataille de Tripoli » en 2019-2020.
L’Érythrée a réintégré le bloc régional d’Afrique de l’Est, l’Autorité intergouvernementale pour développement (Igad), près de 16 ans après s’en être retiré, a annoncé le ministre de l’information Yemane Gebremeskel au sommet, organisé à Djibouti, de cette organisation qui regroupe sept pays, a affirmé le ministre érythréen.
Le président kényan, William Ruto, souhaite lancer « le processus d’un dialogue national inclusif » afin de « trouver une solution durable à la crise ».
Après l’échec de plusieurs cessez-le-feu, le Kenya va tenter d’organiser un « face-à-face » entre les généraux rivaux au Soudan pour mettre fin au conflit qui secoue le pays, selon la présidence. Les combats font rage depuis mi-avril entre l’armée commandée par le général Abdel Fattah Al-Bourhane, le dirigeant de facto du Soudan, et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), du général Mohammed Hamdan Daglo, son adjoint devenu son rival.
A local representative says at least 13 people are dead and 21 have been wounded in clashes at a United Nations site in South Sudan for the protection of displaced civilians.
The fighting erupted Thursday morning in the Malakal site between members of the Shilluk and Nuer ethnic groups.
The United Nations World Food Programme (WFP) said on Friday it was suspending food aid in Ethiopia due to the widespread theft of donations, a day after the United States announced it was doing the same.
More than 20 million people need food assistance in Africa’s second most populous nation, largely due to the Horn of Africa’s worst drought in decades and a two-year conflict in northern Ethiopia that left tens of thousands dead.
Residents of Sudan’s South Kordofan State reported mobilisation by a large rebel force on Thursday, raising fear that internal conflict could spread in the country’s southern regions.
The rebel force, the SPLM-N, is led by Abdelaziz al-Hilu, and is estimated to contain tens of thousands of men as well as heavy weaponry.
Battles have been raging in Sudan’s war-torn capital of Khartoum since last Tuesday with no sign of the violence abating. Other regions are also experiencing prolonged battles, especially Darfur.
Witnesses described “the sound of heavy artillery fire” in northern Khartoum, and “clashes with various types of weapons” in south Khartoum.
La tension est montée d’un cran en Tripolitaine à la suite de raids aériens à Zaouïa, décidés par le premier ministre Dbeibah.
L’épaisse fumée noire s’échappant de quelques bateaux amarrés dans le port d’Al-Maya, visible sur une vidéo partagée sur les réseaux sociaux, ne laisse aucun doute sur la violence et la précision des frappes de drones ayant visé la localité située à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Tripoli dimanche 28 mai.