Au Mali, l’armée sous le feu des jihadistes et des séparatistes

Ces derniers jours, trois camps militaires ont été ciblés par la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) et par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM).

L’armée malienne a rapporté l’attaque de trois de ses postes dans le nord, l’ouest et le centre du pays depuis le mercredi 27 septembre. Les séparatistes de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), alliance de groupes armés à dominante touarègue, et les jihadistes du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), affilié à Al-Qaïda, ont revendiqué chacun leur côté la prise temporaire de deux d’entre eux.

Au Mali, une colonne de l’armée en route vers la région stratégique de Kidal

Au terme d’une réunion des chefs sécuritaires nationaux, décision a été prise d’envoyer un convoi de 119 véhicules dans cette ville contrôlée par la Coordination des mouvements de l’Azawad.

Un important convoi de l’armée malienne s’est mis en mouvement ce lundi 2 octobre à Gao en direction de la région stratégique de Kidal (nord), bastion de la rébellion touarègue, selon deux responsables sécuritaires sous le couvert de l’anonymat. « Dans le cadre du réaménagement de notre dispositif dans le Nord, nous avons commencé le redéploiement de nos forces dans la région nord-est de Kidal », a indiqué une source militaire malienne à l’AFP.

Au Mali, l’armée prend position dans Kidal

L’état-major malien a affirmé que ses soldats ont « pris position » mardi 14 novembre dans ce bastion de la rébellion dominante touarègue.

Le 14 novembre, l’armée malienne a dit avoir pris position dans Kidal, bastion des séparatistes et enjeu majeur de souveraineté pour l’État malien. « Les FAMa (forces armées maliennes) ont pris position dans la ville de Kidal ce mardi », a dit l’état-major sur les réseaux sociaux. « Aujourd’hui, nos forces armées et de sécurité se sont emparées de Kidal », a déclaré le colonel Assimi Goïta dans un message lu au cours d’un flash spécial à la télévision d’État.

With Nothing To Eat, Nigeria’s IDPs Settle For The Leftover Of Those Who Terrorised Them

The abundance at a camp for former Boko Haram members contrasts sharply with the extreme poverty and hunger widespread among internally displaced people in North East Nigeria.

After over a decade of waging war in the name of religion, Abubakar* has (apparently) dropped his gun and thirst for blood. He joined the terror group Boko Haram as a teenager and has known only violence his adult life, but now he wishes to settle for a quiet life of trading with his wife and child. He is shocked by how well the Nigerian authorities have treated him, he says. At the transit rehabilitation centre known as Hajj Camp in Maiduguri, the Borno State capital, he gets a roof over his head, a mattress to lay on at night, a monthly cash allowance, and enough foodstuff for him and his family. The food supply is so generous that sometimes when they cook, they eat to their fill and leave remains. They then gather the leftovers, spread them in the sun to dry, and a day or two later sell them to someone who collects similar items from other former terrorists at the camp. Abubakar imagines that this material ends up with a farmer who will feed it to his livestock to fatten them.

Nord du Mali : une confrontation dont personne ne sortira vainqueur

Au Mali, les combats ont repris entre l’armée appuyée par Wagner et une coalition de groupes armés signataires de l’accord de paix de 2015, mettant en péril le processus de paix. Ibrahim Maïga et Ibrahim Yahaya Ibrahim expliquent les raisons de ces affrontements et ce que les deux belligérants ont à y perdre.

Comment les combats se sont-ils intensifiés au nord du Mali ?

Tchad: les coups durs se multiplient pour les rebelles du Fact

Le Front pour l’alternance et la concorde au Tchad (Fact), l’une des principales rébellions tchadiennes qui a refusé de se signer l’Accord de paix de Doha d’août 2022 entre le gouvernement de transition et les mouvements politico-militaires, traverse une passe difficile depuis un peu plus d’un mois. Soumis à la pression militaire de la Libye et du pouvoir tchadien de transition, il a été obligé de quitter depuis quelques semaines son fief dans le sud-libyen qui lui servait depuis près de 10 ans de base arrière pour ses attaques au Tchad.

Au Mali, l’armée prend position dans Kidal

L’état-major malien a affirmé que ses soldats ont « pris position » mardi 14 novembre dans ce bastion de la rébellion dominante touarègue.

Le 14 novembre, l’armée malienne a dit avoir pris position dans Kidal, bastion des séparatistes et enjeu majeur de souveraineté pour l’État malien. « Les FAMa (forces armées maliennes) ont pris position dans la ville de Kidal ce mardi », a dit l’état-major sur les réseaux sociaux. « Aujourd’hui, nos forces armées et de sécurité se sont emparées de Kidal », a déclaré le colonel Assimi Goïta dans un message lu au cours d’un flash spécial à la télévision d’État.Z

Mali : L’armée prend le « contrôle total » d’Anéfis

L’armée malienne a annoncé samedi qu’elle avait pris le « contrôle total » d’Anéfis, une ville située au nord-est du Mali et considérée comme une étape vers Kidal, un bastion de la rébellion touareg qui s’est réarmée contre le gouvernement central.

L’annonce a été faite par le biais d’un communiqué publié sur les médias sociaux, où l’armée malienne a affirmé que les forces armées maliennes (FAMa) avaient conquis entièrement la ville d’Anéfis tôt samedi matin.

Ansaroul Islam: The Rise and Decline of a Militant Islamist Group in the Sahel

Burkina Faso’s first militant Islamist group, Ansaroul Islam, has faced setbacks, pointing to the weaknesses of violent extremist organizations lacking deep local support and facing sustained pressure.

After years of avoiding militant Islamist violence, Burkina Faso has experienced a rapid growth in attacks since 2016. In 2018, there were 137 such violent events involving 149 fatalities. By mid-2019, militant Islamist groups already had outpaced these numbers with 191 episodes of violence and 324 fatalities. Three groups have been primarily responsible—the Islamic State in the Greater Sahara (ISGS), the Macina Liberation Front (FLM) faction of the Jama’at Nusrat al Islam wal Muslimeen (JNIM) coalition, and Ansaroul Islam.