Other Arabs said that Muslims have only themselves to blame for the “crisis” in their religion. They are referring to the use of Islam, by many Muslims, to carry out terrorist attacks and other atrocities against Muslims and non-Muslims.
Plusieurs jours après la libération de Soumaïla Cissé, l’ex-chef de file de l’opposition, Sophie Petronin, humanitaire français et les deux otages italiens, les terroristes ont renoué avec les attaques au centre du pays. C’est peut-être une fausse route que Bah N’Daw et Assimi Goïta ont emprunté déjà en début de la transition.
The Libyan National Army (LNA), led by Field Marshal Khalifa Haftar, has warned militias loyal to Fayez al-Sarraj’s Government of National Accord (GNA) against attacking its positions in Sirte and al-Jufra regions.
Depuis quelques mois maintenant, les Maliens en majorité réclament de négocier avec des djihadistes maliens notamment Iyad Ag GHALI et Amadou KOUFFA, deux leaders des groupes djihadistes. C’est aussi l’une de recommandations du Dialogue National inclusif. Dès réception de l’information, Iyad Ag GHALI du GSIM, un groupe djihadiste affilé à l’Etat Islamique, ne cesse de poser ses conditions dont la principale reste le départ des troupes françaises au Mali. Sans cela, il est déterminé à poursuivre le combat.
Suite à la libération, le jeudi 8 octobre 2020, des 4 otages : Soumaila Cissé, Sophie Pétronin, et deux italiens, le Syndicat libre des travailleurs du ministère de l’Administration territoriale (SYLTMAT), le Syndicat autonome des Administrateurs civils (SYNAC), le Syndicat national des travailleurs des collectivités territoriales (SYNTRACT) et le Comité syndical des Agences de développement régional (CS-ADR) organisent ce jeudi 15 octobre 2020 à partir de 8 h, une marche de protestation.
Depuis plus d’une semaine, le village de Farabougou, dans la région de Ségou, est coupé du monde, encerclé par des hommes armés qui en interdisent l’entrée. Des tentatives de médiation ont été entreprises avec des notabilités locales, mais les habitants restent toujours cloîtrés chez eux.
Rights groups are voicing concerns over the release of 200 jihadist militants in a recent prisoner exchange in Mali.
The militants were freed by the government earlier this month in exchange for the release of four people, including a French aid worker, two Italian nationals and a prominent Malian opposition leader, who had been held captive by an al-Qaida-affiliated group in northern Mali.
Burkina Faso is being battered by a jihadist insurgency that came in from neighboring Mali in 2015.
Jihadists have killed around 20 people in attacks in three villages in northern Burkina Faso, the epicenter of a five-year-old jihadist insurgency, government officials said on Thursday.
Quelques jours seulement après la libération des quatre otages en échange de quelque 200 présumés jihadistes, le Centre du Mali a été le théâtre d’une double attaque lors de laquelle douze civils et au moins autant de militaires maliens ont été tués.
For the past several years, jihadi violence perpetrated by al-Qa`ida in the Islamic Maghreb (AQIM) and its affiliated groups like Jama’at Nusrat al-Islam wal Muslimin (JNIM) has contributed to renewed insecurity in the Sahara and Sahel. Despite the widespread violence that has emerged, few studies have focused on AQIM and its affiliates’ broader profiles of violence generally, or their use of specific tactics more acutely.