Depuis plus d’une semaine, le village de Farabougou, dans la région de Ségou, est coupé du monde, encerclé par des hommes armés qui en interdisent l’entrée. Des tentatives de médiation ont été entreprises avec des notabilités locales, mais les habitants restent toujours cloîtrés chez eux.
Rights groups are voicing concerns over the release of 200 jihadist militants in a recent prisoner exchange in Mali.
The militants were freed by the government earlier this month in exchange for the release of four people, including a French aid worker, two Italian nationals and a prominent Malian opposition leader, who had been held captive by an al-Qaida-affiliated group in northern Mali.
Burkina Faso is being battered by a jihadist insurgency that came in from neighboring Mali in 2015.
Jihadists have killed around 20 people in attacks in three villages in northern Burkina Faso, the epicenter of a five-year-old jihadist insurgency, government officials said on Thursday.
Quelques jours seulement après la libération des quatre otages en échange de quelque 200 présumés jihadistes, le Centre du Mali a été le théâtre d’une double attaque lors de laquelle douze civils et au moins autant de militaires maliens ont été tués.
For the past several years, jihadi violence perpetrated by al-Qa`ida in the Islamic Maghreb (AQIM) and its affiliated groups like Jama’at Nusrat al-Islam wal Muslimin (JNIM) has contributed to renewed insecurity in the Sahara and Sahel. Despite the widespread violence that has emerged, few studies have focused on AQIM and its affiliates’ broader profiles of violence generally, or their use of specific tactics more acutely.
Turkish Presidential Spokesman Ibrahim Kalın said on Wednesday that Turkey was ready for a rapprochement with Egypt after seven years of strained relations, the state-run Anadolu news agency reported. Egypt
“If Egypt reveals a willingness to act with a positive agenda on regional issues, Turkey would not leave it unanswered,” Kalın said.
Dans une mise en scène gargantuesque, Iyad Ag Ghaly a donné une grande réception pour les jihadistes récemment libérés par les autorités maliennes. Faisant grincer des dents…
Accusé par certaines personnes et des médias mal intentionnés d’être derrière l’enlèvement de Soumaïla Cissé, le président Ibrahim Boubacar Kéita est en train d’être blanchi par le temps. Et avec la libération de l’ex chef de file de l’opposition parlementaire du Mali, il ressort de plus en plus que le président déchu le 18 août 2020 par le Comité national pour le salut du peuple (CNSP) n’a pas ménagé ses efforts et ses relations pour libérer son jeune frère. Même si ce dernier ne s’est pas montré franchement reconnaissant dans ses premières interviews à la presse.
Les quatre syndicats de l’administration publique réunis au sein d’une ‘’Plateforme’’ projettent une marche pacifique, ce jeudi 15 octobre 2020, aux environs de 09 heures, pour manifester leur mécontentement contre la démarche discriminatoire de l’État malien vis-à-vis de ses fils retenus par les terroristes qui écument le nord et le centre de notre pays.
La vie humaine n’a pas de prix. Mais, s’il faut exposer celle des centaines ou des milliers de personnes ainsi que la stabilité d’un pays pour la garantir, cela ne peut naturellement que susciter des questions. Il est aussi vrai que les vies ne se valent pas et n’auront jamais la même valeur. Pour la liberté de Soumaïla Cissé, Sophie Pétronin et de deux Italiens (Nicola Chiacchio et Pier Luigi Maccalli), le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) d’Iyad Ag Ghali a obtenu la libération d’au moins 200 de ses prisonniers. Ainsi, entre 180 et 204 jihadistes ont été élargis et qui vont bientôt s’évaporer dans le Sahara pour préparer de nouvelles attaques contre nos armées et des attentats dont les civils sont généralement les principales victimes.