L’ONG dénonce des procès militaires « secrets et manifestement inéquitables », visant à « punir les opposants ».
Au moins vingt-deux personnes ont été condamnées à mort depuis 2018 par des tribunaux militaires et des centaines d’autres ont été emprisonnées après des « simulacres de procès » dans l’est de la Libye, a indiqué lundi 26 avril Amnesty International.
Le pape François a qualifié dimanche 25 avril de « honte » le sort de 130 migrants portés disparus depuis jeudi à la suite d’un naufrage en Méditerranée, et s’est dit « très attristé par cette tragédie ».
« Je vous confesse que je suis très attristé par la tragédie qui encore une fois s’est produite ces derniers jours en Méditerranée. Frères et soeurs, interrogeons-nous tous sur cette énième tragédie. C’est un moment de honte », » a expliqué un pape visiblement touché par ce nouveau naufrage. L’évêque de Rome qui, la voix grave, a retracé les heures sombres de ces migrants ayant espéré des secours jamais venus.
Le groupe pétrolier a déclaré la « force majeure », notion juridique invoquée lorsque des conditions exceptionnelles empêchent la poursuite d’un chantier et l’exécution des contrats qui y sont liés.
Après l’attaque revendiquée par le groupe Etat islamique (EI) contre la ville portuaire de Palma le 24 mars, le géant pétrolier français Total confirme la suspension de son projet gazier au Mozambique.
L’ONG SOS Méditerranée a annoncé jeudi que son navire de sauvetage, l’Ocean Viking, a repéré une dizaine de corps près d’un bateau pneumatique retourné qui avait été signalé en détresse au large de la Libye avec environ 130 personnes à bord. Aucun survivant n’a été retrouvé.
En Côte d’Ivoire, au lendemain de l’attaque contre un camp militaire d’Abobo, dans le nord d’Abidjan, qui a fait quatre morts, l’enquête se poursuit. Si la piste jihadiste semble écartée, de nombreuses questions demeurent, notamment quant à l’objectif des assaillants et l’identité des commanditaires présumés.
Selon Human Rights Watch, au moins 34 civils ont été tués par des soldats maliens entre octobre et mars. La justice militaire s’est saisie des dossiers, amorçant une lente marche contre l’impunité.
C’est un rapport qui embarrasse l’armée et les autorités maliennes. Mardi 20 avril, Human Rights Watch (HRW) a lancé une nouvelle série d’accusations visant des soldats maliens qui, depuis le début de la guerre en 2012, sont régulièrement mis en cause mais rarement punis. Selon le rapport de l’ONG de défense des droits humains, des militaires auraient tué au moins 34 villageois et en auraient fait disparaître au moins seize autres lors d’opérations antiterroristes menées entre octobre et mars dernier dans la région de Mopti.
Il n’y a toujours pas de preuve d’un retrait des troupes érythréennes du Tigré, a déclaré ce mercredi le département d’État américain, venant confirmer des informations de l’ONU. Fin mars, le Premier ministre éthiopien avait pour la première fois reconnu la présence des soldats d’Asmara au Tigré. Il avait annoncé leur retrait, mais plusieurs sources confirment qu’ils sont toujours présents.
The death of Chad’s President Idriss Déby has plunged the country into uncertainty, causing concern among many Chadians and in neighbouring states. Crisis Group looks at recent events and examines the main risks facing the country.
What has happened?
According to official reports, Chad’s President Idriss Déby Itno died on Tuesday 20 April around 1am after clashes between the national army and the Front for Change and Unity in Chad (FACT) not far from Mao, in the country’s central Kanem region. After 30 years in power, Déby had just been re-elected for a sixth consecutive term in office. His death was announced at 11am on national television by the army’s spokesperson, General Azem Bermandoa. Some observers have expressed doubts about this version of events and suggest alternative, unconfirmed hypotheses about the circumstances of Déby’s death. One prominent story refers to a gunfight breaking out after failed negotiations with FACT members.
Comparing Russia’s policies between 2011-15 and 2015-21
The response of the Russian government to the Arab uprisings that began in January 2011 has aimed primarily at protecting its interests in the Middle East, including security and economic objectives.[1] Nonetheless, it has pursued different approaches over time: an initial period of observation and political pressure between 2011 and 2015, followed by more active policies thereafter. This essay explains the reasons for this shift and argues that Russia’s policies since 2015 are likely to continue, despite domestic and external challenges.
In the Canary Islands, off the coast of Morocco, the coronavirus pandemic isn’t the only crisis that 2020 will be known for. Over the course of the year, more than 23,000 migrants arrived in the Spanish archipelago by boat from Africa—8,000 of them in November alone—while some 500 died attempting the journey.