A new round of talks between three African nations began Saturday, officials said, aimed at resolving a yearslong dispute over a giant dam Ethiopia is building on the Nile River’s main tributary.
The three-day talks are taking place in Kinshasa, the capital of the Democratic Republic of Congo, the current chair of the African Union. The AU is mediating the negotiations between Egypt, Ethiopia and Sudan over the Grand Ethiopian Renaissance Dam.
Le 24 mars, un raid revendiqué par l’organisation Etat islamique a fait plusieurs dizaines de morts dans la ville de Palma, à quelques kilomètres des installations du groupe français.
Le groupe français Total a évacué tout le personnel de son site gazier dans le nord-est du Mozambique, neuf jours après l’attaque djihadiste dans la commune de Palma, et le projet de plusieurs milliards d’euros était, vendredi 2 avril, complètement à l’arrêt.
Au moins six supplétifs civils engagés dans la lutte antijihadiste ont été tués jeudi soir dans une embuscade dans le nord du Burkina Faso, a appris vendredi l’AFP de sources sécuritaire et locale.
“Un groupe est tombé dans une embuscade ce jeudi soir dans la commune de Dablo, six éléments (civils) ont été tués et un autre a été blessé”, a affirmé un des responsables des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), des civils recrutés pour lutter contre les jihadistes.
Quatre Casques bleus tchadiens ont été tués vendredi au Mali dans une attaque jihadiste contre un camp de la Mission de l’ONU qui a été condamnée “dans les termes les plus forts” par le secrétaire général de l’ONU.
L’attaque, qui porte à dix le nombre des Casques bleus tués au Mali depuis le début de l’année, a frappé à l’aube le camp de la Minusma à Aguelhok, où se trouve un contingent de soldats tchadiens, à un peu moins de 200 kilomètres de la frontière algérienne.
Le chef de l’ONU, Antonio Guterres, “présente ses sincères condoléances au Gouvernement et au peuple tchadien et offre sa profonde sympathie aux familles et proches des victimes”, a indiqué son porte-parole, Stéphane Dujarric, dans un communiqué faisant état de la mort de “quatre Casques bleus du contingent tchadien” et de 19 blessés.
Il a salué “le courage et la bravoure des Casques bleus qui ont vigoureusement repoussé l?attaque”.
Une source onusienne a évoqué une attaque combinant notamment “des tirs de mortiers” et une tentative d’attentat suicide au moyen d’un véhicule “qui a été maîtrisée”.
“Une vingtaine d’assaillants ont été neutralisés” (tués) sur “une centaine” impliqués, a affirmé cette source sous le couvert de l’anonymat, précisant que “les combats ont duré trois heures”.
La Minusma a dénoncé une “ignoble attaque terroriste”, assurant que celle-ci “n’entamera en rien sa détermination”.
Nombreuses pertes –
Cinq Casques bleus, dont quatre Ivoiriens, ont été tués en janvier au Mali par des engins explosifs improvisés, et un des 28 Togolais blessés en février dans une attaque contre leur camp a succombé à ses blessures.
La Minusma, déployée au Mali depuis 2013 (15.000 hommes et femmes, dont environ 12.000 militaires), est actuellement la mission de paix des Nations unies qui a subi le plus de pertes au monde, avec plus de 140 tués dans des actes hostiles, selon les statistiques de l’ONU.
Deux soldats maliens ont par ailleurs été tués et “une dizaine” blessés dans une attaque commise également vendredi matin par des jihadistes présumés à Diafarabé (centre), à 350 kilomètres au nord-est de Bamako, a indiqué l’armée dans un communiqué.
Un jeune homme de la localité, Youssouf Aya, a déclaré à l’AFP avoir vu “passer un cortège de motos avec des hommes armés” en direction du poste militaire, puis avoir “entendu des coups de feu”. Selon lui, les assaillants ont “occupé un moment” le poste militaire avant de repartir le long du fleuve Niger.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, une femme est décédée et un enfant a été légèrement blessé en marge d’une opération menée dans la région de Tessalit (nord-est) par les militaires de l’opération française Barkhane, au cours de laquelle un jihadiste présumé a été tué et deux autres capturés, a annoncé vendredi l’état-major français.
En visite jeudi à Bamako, la ministre française des Armées, Florence Parly, a de nouveau réfuté que la France ait commis la moindre bavure au Mali et a émis “de nombreuses réserves” sur une enquête des Nations unies selon laquelle une frappe aérienne de Barkhane aurait tué 19 civils réunis pour un mariage le 3 janvier à Bounti, dans le centre du pays.
Le Mali est en proie depuis 2012 à une poussée jihadiste partie du nord du pays, qui l’a plongé dans une crise sécuritaire et s’est étendue au centre du pays. Les violences se sont également propagées au Burkina Faso et au Niger voisins.
Les violences jihadistes, intercommunautaires ou autres ont fait des milliers de morts et des centaines de milliers de déplacés, malgré l’intervention des forces de l’ONU, française et africaines.
Hate-filled indoctrination and training in violence is not limited to the “schools” of ISIS or Boko Haram. Public schools all around the Muslim world share elements of this indoctrination. Most recently, a March 2021 study exposed how the school curriculum of Turkey — for decades one of the Muslim world’s most secular nations — is also increasingly full of jihadi propaganda.
Millions of people in Ethiopia’s northern Tigray region are facing starvation. Until now, it’s been a crisis without pictures. Those wrenching images of emaciated children and mothers with dull-eyed gazes, so sadly familiar from famine zones, have yet to emerge. But that’s because journalists aren’t permitted to travel to the worst-hit areas of Tigray, where hunger is deepening by the day. When the media can finally get access, or when starving villagers abandon their homes and flee to towns, the pictures will surely remind viewers of drought victims from Ethiopia’s 1984 famine, which prompted the famous LiveAid benefit concert and a vast outpouring of charity.
Both federal and resistance forces are digging in for a lengthy battle in Ethiopia’s Tigray region. Conditions for civilians are dire, with famine a growing danger. Outside powers should urge Addis Ababa to let more aid into the war zone, while maintaining pressure for talks.
What’s new? War rages on in Ethiopia’s Tigray region – with civilians bearing the brunt of a brutal conflict marked by atrocities. Under international pressure, Addis Ababa has offered concessions on aid access and pledged that Eritrean troops will withdraw. But prospects of a negotiated settlement appear dim.
Ten days after armed groups carried out a deadly attack on three villages near the western Niger town of Tillia, UN humanitarians have repeated their call for greater protection of civilians and all those displaced by violence in the Sahel.
The UN refugee agency UNHCR reported on Thursday that six refugees from nearby Mali were among the 137 people who were killed on 21 March by assailants on motorbikes.
Both federal and resistance forces are digging in for a lengthy battle in Ethiopia’s Tigray region. Conditions for civilians are dire, with famine a growing danger. Outside powers should urge Addis Ababa to let more aid into the war zone, while maintaining pressure for talks.
What’s new? War rages on in Ethiopia’s Tigray region – with civilians bearing the brunt of a brutal conflict marked by atrocities. Under international pressure, Addis Ababa has offered concessions on aid access and pledged that Eritrean troops will withdraw. But prospects of a negotiated settlement appear dim.
Hours after French hydrocarbon giant Total announced it would resume full operations at its Afungi Peninsula natural gas facility, Islamist insurgents launched a major assault on the nearby port town of Palma, killing dozens and triggering a mass exodus. The Islamic State claimed the attack. The gas project itself does not seem to have been a target, but the incident has shaken confidence in the government’s ability to protect foreign investment sites, not to mention civilian lives. For the first time since the insurgency began in 2017, militants killed expatriate workers. Crisis Group expert Dino Mahtani says a purely military response to the insurgency will not address the social grievances that sparked it.