UN chief: Sudan-South Sudan dispute will keep UN in Abyei

U.N. Secretary-General Antonio Guterres has informed the Security Council that he couldn’t provide options to reduce and terminate the nearly 3,700-strong peacekeeping force in the disputed Abyei region on the Sudan-South Sudan border because of differences between the two countries.

The U.N. chief said in a letter obtained Thursday by The Associated Press that because of the different positions on the future of the force in Abyei, known as UNISFA, “no options that would be minimally acceptable to the parties could be formulated.”

Uganda, Egypt ink security deal amid strain over Nile dam

Uganda’s defence ministry said Thursday it had signed an intelligence-sharing agreement with its Egyptian counterparts, bolstering security ties amid regional tensions over a massive hydropower dam on the Nile.

The deal will facilitate regular exchange of intelligence between security agencies on transnational threats such as terrorism, Uganda’s deputy defence ministry spokesman, Deo Akiiki, told AFP.

Southern African leaders concerned by Mozambique’s rebels

Five southern African leaders expressed their concern at the extremist violence in northern Mozambique and said they will consider “a proportionate regional response” at another summit in three weeks.

Issuing a communique in Mozambique’s capital, Maputo, Thursday, the African leaders “noted with concern, the acts of terrorism perpetrated against innocent civilians, women and children” in the Cabo Delgado province and “condemned the terrorist attacks in strongest terms; and affirmed that such heinous attacks cannot be allowed to continue.”

Mali : des experts de l’ONU demandent l’abandon des poursuites contre un journaliste et ses coaccusés et leur libération

Des experts de l’ONU ont exhorté, jeudi, les autorités maliennes à abandonner immédiatement les poursuites engagées contre un journaliste et quatre hauts fonctionnaires, qui sont toujours en détention malgré l’ordonnance rendue par la Cour d’appel de Bamako prononçant l’annulation des procédures et ordonnant la mise en liberté de ces cinq hommes le mois dernier.

RDC : plus de 6000 morts à Beni depuis 2013, selon l’épiscopat

Plus de 6000 personnes ont été tuées dans la région de Beni, dan sla province du Nord-Kivu, depuis 2013 et plus de 2000 dans la province voisine de l’Ituri en 2020, dans les violences qui sévissent dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), a alerté jeudi l’épiscopat congolais. Les violences en cours ont fait “plus de 6000 morts à Beni depuis 2013 et plus de 2000 à Bunia pour la seule année 2020”, a déclaré le porte-parole de la Conférence épiscopale (Cenco) de RDC, l’abbé Donatien Nshole, lors d’une conférence de presse à Kinhsasa.

Tchad: arrestation de plusieurs chefs de partis et militants

Au Tchad le ministère de l’Intérieur annonce l’arrestation de plusieurs chefs de partis et des activistes qui se seraient préparés à perturber la présidentielle de dimanche prochain. Dans un communiqué diffusé jeudi soir qui fait suite à des alertes de l’opposition indiquant l’arrestation de plusieurs leaders de la contestation, le ministère de la Sécurité publique annonce le démantèlement d’un réseau terroriste.

Cinq personnes ont été arrêtées. Quatre dirigeants de petits partis politiques et un dirigeant de la société civile. Tous, appartiennent à une coalition qui avait appelé la veille au boycott du scrutin de dimanche et appelé à manifester aujourd’hui et demain.

Selon un responsable de cette coalition, ces dirigeants étaient réunis pour discuter de l’organisation du boycott, quand vers 16 heures, la police est arrivée -dix véhicules du Groupement mobile d’intervention de la police- et les a interpellés, l’un au siège du Parti socialiste, les autres au bureau du parti Justice et développement. Toujours selon ce responsable, ces personnes sont toujours en détention.

Parmi eux Dinamou Daram, le chef de la formation politique qui a investi l’ancien ministre Yaya Dillo dont le rejet de la candidature a provoqué des tensions puis un assaut militaire contre sa résidence. Un assaut qui a fait des morts dont la mère du leader politique qui est entré en clandestinité depuis.

Selon le communiqué du ministère de la Sécurité publique, les personnes arrêtées hier jeudi s’apprêtaient à attaquer la Céni, des bureaux de vote et envisagent même d’assassiner, de manière ciblée, des leaders de l’opposition pour en faire porter le chapeau au gouvernement.

Mais, selon un acteur politique d’opposition, le gouvernement cherche à justifier l’arbitraire. Ce même leader rappelle que des envoyés des Nations unies ont été empêchés d’accéder ce jeudi après-midi au siège des Transformateurs où ils avaient rendez-vous avec le leader du parti d’opposition, Succès Masra, écarté de l’élection présidentielle en raison de son âge (38 ans).

Succès Masra avait convié ses militants pour des consignes visant à empêcher la tenue du scrutin de dimanche prochain. La police s’est alors déployée autour du siège du parti d’opposition.

La classe politique tchadienne a réagi à ces arrestations. Pour le président de l’Alliance socialiste, qui devait participer à cette réunion, ces accusations sont inconcevables. Réaction, également, de l’opposant historique Saleh Kebzabo, qui se dit sceptique. C’est curieux, dit-il, qu’à la veille d’élections, ces leaders politiques soient arrêtés. D’autant plus, ajoute-t-il, que les chefs d’accusation sont très graves. Pas de réaction, en revanche, du gouvernement.

Alors que les candidats tiennent leurs derniers meetings de campagne, la coordination des actions citoyennes, elle, se mobilise sur un autre front, celui du boycott.

Yemen Is a Public Health Catastrophe

The war in Yemen—the Arab world’s poorest country—has reached new heights of sickness and death by the spreading of the coronavirus pandemic in a vulnerable and fragile population. The death toll from the coronavirus pandemic could be greater than the combined toll of war, disease and hunger over the last five years, according to Lise Grande, the U.N.’s head of humanitarian operations in Yemen.

Why separatist IPOB is thriving in Nigeria and how to curtail it

Though the Indigenous People of Biafra (IPOB) has denied any role in the attacks on the Nigeria Correctional Centre and Police formations in Imo State last Monday, the escalating violence is associated with the separatist group’s growing popularity in the South-East . The group, with its Eastern Security Network, provides a semblance of security for a people traumatized by incessant attacks in rural areas by violent herdsmen and bandits who destroy farms, attack or kill farmers, rape women, and spread death in forests.