Africa

Si les investissements étrangers en Afrique ont dégringolé en 2020 sur le continent, plusieurs secteurs (énergie, mines…) et un certain nombre de pays ont su tirer leur épingle du jeu.

On se doutait que le millésime 2020 des investissements étrangers serait plus que médiocre en raison de la pandémie et de la chute des prix des produits de base.

Le chef d’un réseau de trafiquants d’êtres humains, Tewelde Goitom, a été condamné à 18 ans de prison lundi par un tribunal d’Addis Abeba, en Éthiopie. Cet Érythréen surnommé « Walid » avait été, entre 2014 et 2018, à la tête d’un gang de passeurs et d’un centre de détention en Libye, où des crimes étaient commis quotidiennement contre des migrants africains.

DÉFIS. La question mérite d’être posée alors que le pays en dépit de son système de sécurité partage les mêmes vulnérabilités que les pays sahéliens.

Fréquemment présenté comme un îlot de stabilité dans une région en crise politique et sécuritaire, le Sénégal regarde avec attention son voisin malien. Reliés par l’histoire et la culture, les deux pays le sont aussi économiquement. La récente annonce de la fin de l’opération française Barkhane au Mali préoccupe plus que jamais le Sénégal et lui fait craindre des répercussions sur son territoire national.

Le patron de l’armée algérienne s’est discrètement rendu dans la capitale française pour discuter de la nouvelle donne sécuritaire au Sahel, après l’annonce de la fin de l’opération Barkhane.

The bodies were found near Ras Al-Ara, a coastal village in the southern Yemeni province that’s known as a smuggling hub.

At least 25 migrants were found dead off Yemen’s Red Sea coast after a ship carrying some 200 people from Djibouti capsized in the turbulent waters, UN and local officials said Monday.

Le président Macron a annoncé la fin de l’opération Barkhane. La France n’a plus les moyens d’assumer l’endiguement de la montée djihadiste dans le Sahel

Le 10 juin, Emmanuel Macron a annoncé la fin de l’opération Barkhane, après presque sept ans. Si elle semble très claire de premier abord, cette information est en réalité, pour reprendre le bon mot de Churchill sur la Russie, un rébus enveloppé de mystère au sein d’une énigme. Surtout que l’annonce vise plusieurs audiences différentes.

First the Eritrean soldiers stole the pregnant woman’s food as she hid in the bush. Then they turned her away from a checkpoint when she was on the verge of labor.

So she had the baby at home and walked 12 days to get the famished child to a clinic in the northern Ethiopian region of Tigray. At 20 days old, baby Tigsti still had shriveled legs and a lifeless gaze — signs of what the United Nations’ top humanitarian official calls the world’s worst famine conditions in a decade.

The scene was a familiar one, even if the scale was not. On May 17 and 18, thousands of migrants entered Ceuta, one of two Spanish enclaves in North Africa that border Morocco. The record flow of irregular migrants surpassed 12,000 people — including whole families and hundreds of children — over the course of two days. The Spanish authorities quickly understood that this surge in migration was about more than the usual human desperation that has driven large numbers of people over fences and across water in an effort to enter Europe in recent years. Morocco, troubled over Madrid’s stance on its territorial claims over the Western Sahara, decided to retaliate.