Treasury Targets Hizballah Finance Official and Shadow Bankers in Lebanon

Today, the U.S. Department of the Treasury’s Office of Foreign Assets Control (OFAC) designated seven individuals in connection with Hizballah and its financial firm, Al-Qard al-Hassan (AQAH). Â AQAH, which was designated by OFAC in 2007, is used by Hizballah as a cover to manage the terrorist group’s financial activities and gain access to the international financial system. Â Ibrahim Ali Daher (Daher) serves as the Chief of Hizballah’s Central Finance Unit, which oversees Hizballah’s overall budget and spending, including the group’s funding of its terrorist operations and killing of the group’s opponents. Â The other six individuals designated today used the cover of personal accounts at certain Lebanese banks, including U.S.-designated Jammal Trust Bank (JTB), to evade sanctions targeting AQAH and transfer approximately half a billion U.S. dollars on behalf of AQAH.

French Journalist Kidnapped in the Sahel

In April, Olivier Dubois, an experienced French journalist, was kidnapped in Gao, a Malian city on the Niger River. Though his disappearance was soon known by the Malian and French authorities, and by the non-governmental organization Reporters Without Borders, nobody went public with the crime, ostensibly to facilitate the victim’s quick release. Those efforts appear to have failed, and in early May a jihadi group with alleged ties al-Qaeda released a video. In it, the victims pleads with his family and the French authorities to secure his release. The French authorities are seeking to authenticate the video.

Zimbabwe: la société civile dénonce les tentatives du régime de changer la Constitution

Cette semaine, les membres du Parlement, sous le contrôle du parti au pouvoir, la Zanu-PF, ont fait passer un amendement de la Constitution qui permettra au chef de l’État de contrôler un peu plus l’appareil judiciaire.

Avec une majorité au Parlement, les députés du parti au pouvoir n’ont eu aucun mal à faire passer cet amendement de la Constitution. Celui-ci va permettre au chef de l’État, Emmerson Mnangagwa, arrivé au pouvoir en 2017 après la destitution de l’ancien président Robert Mugabe, de nommer seul les principaux magistrats du pays sans aucune consultation : Cour constitutionnelle, Cour suprême, hautes courts.

RDC: comment protéger des civils avec des criminels de guerre?

La présence en Ituri et au Nord-Kivu d’officiers congolais recherchés par la justice militaire pour des crimes graves mais jamais traduits en justice, empoisonne les relations entre l’ONU et l’armée congolaise, empêchant un plein soutien aux opérations. Et ce alors que la population les accuse de ne pas faire assez pour mettre un terme aux massacres. Enquête.

Le 20 juillet 2009, le major Egide Ngoy, commandant de la base navale de Moliro, sur les bords du lac Tanganyika, fait arrêter à Moba, à près de 300 kilomètres de là, un homme qui se ferait passer pour le frère du président Joseph Kabila. Raison officielle : trafic d’influence. Il jette aussi dans le cachot des FARDC de Moba Port deux femmes. L’une d’elles, tout juste âgée de 21 ans, s’avère être l’épouse du présumé usurpateur. Le lendemain dans la soirée, le major décide de la faire venir à l’hôtel Munaka où il a établi ses quartiers. Il prétend vouloir prendre sa déposition, mais la viole, selon les dires de la jeune femme.

La torture contre les opposants en Ouganda

En Ouganda, la dernière élection présidentielle a été marquée par des violences contre les opposants. Au moins, 54 personnes auraient trouvé la mort en novembre 2020, après une énième arrestation de l’opposant Bobi Wine. Des opposants seraient soumis à la torture. Yoweri Museveni, 76 ans, dirige le pays depuis 35 ans.

Algérie : à Oran, la répression se durcit contre les militants du Hirak

Depuis le retour des manifestations antirégime, le 22 février, les forces de sécurité de la ville sont sur le qui-vive.

Quand ils quittent le tribunal d’Oran, mercredi 28 avril, Kaddour Chouicha, vice-président du bureau local de la Ligue algérienne des droits de l’homme (LADDH), et son épouse Jamila Loukil, journaliste au quotidien francophone Liberté, ne s’attendent pas à être une nouvelle fois interpellés par la police.

Le Conseil paix et sécurité de l’UA doit se positionner sur le cas tchadien

Au Tchad, la journée a été calme, ce dimanche 9 mai, après les violences qui ont marqué les rassemblements organisés, samedi, à Ndjamena et dans tout le pays, par la coalition citoyenne Wakit Tama. L’Union africaine se penche, à partir de ce lundi, sur la question d’éventuelles sanctions contre le régime tchadien.

Réunion décisive sur le Tchad ce lundi matin au siège de l’Union africaine à Addis-Abeba. Le Conseil paix et sécurité qui n’était pas parvenu à s’accorder sur une ligne de conduite (sanctions ou pas) fin mai après le décès d’Idriss Déby Itno et la prise du pouvoir par le Comité militaire de transition, doit se pencher ce matin sur le rapport de mission, mission qu’il avait envoyée dans ce pays en vue de recueillir les éléments qui devaient le guider dans ce choix.

Ethiopia Designates Tigray’s Former Ruling Party As Terrorists

Ethiopian lawmakers on Thursday designated Tigray People’s Liberation Front (TPLF) and Oromo Liberation Front (OLF) as terrorist organisations.

The move comes after the Council of Ministers of Prime Minister Abiy Ahmed’s government on Saturday decided to designate TPLF and Shene as terrorist entities.

Ethiopia: The Case for Ceasefire, Dialogue and Reconciliation in Tigray: Why and How?

The war in Tigray is now in its 6th month. The human and material damage is yet to be fully assessed, but is expected to be exponential. Mounting reports of atrocities and war crimes committed by the warring parties are coming public every day. The human suffering is unimaginable – and it remains unabated.

The war remains active and only few substantive suggestions have been put forward on how to bring an end to it. There seems to be a shortage of analysis and recommendations, especially from Ethiopian experts who were rather excited to comment and debate on a wide range of issues after PM Abiy assumed office in 2018. There could be many reasons for that including support for the war, fear of reprisals or being labeled, one way or another; or feeling that no one will listen.