Africa

Sur les réseaux sociaux, les représentants de la nouvelle génération soutiennent les mesures chocs annoncées par le chef de l’État tunisien. Mais leur appui n’est pas inconditionnel.

Fort de son slogan « le peuple veut », le président tunisien, Kaïs Saïed, avait largement été porté à Carthage par des groupes de jeunes mobilisés autour de sa campagne de 2019. L’ex-assistant universitaire en droit constitutionnel s’était en effet attaché le soutien de nombreux étudiants, mais aussi de jeunes actifs et de chômeurs, en assurant que « les jeunes ont leur programme ». Une partie de cette base électorale avait beau être dépourvue de bagage politique, elle a pour point commun de s’être construite dans le sillage d’une révolution dont elle a hérité, bon gré mal gré.

In early June, jihadist militants in Burkina Faso raided homes and the local market in Solhan, a village close to the border with Niger. By sunrise, they had killed at least 160 civilians in what local officials said was the country’s worst terrorist attack in years.

L’ONG française ne pouvait plus y travailler légalement. Au grand dam des populations en souffrance.

La région du nord-ouest anglophone du Cameroun est le théâtre d’une crise sécuritaire depuis quatre ans. L’ONG française y est suspendue par les autorités depuis huit mois, officiellement jusqu’à ce que son cadre de collaboration avec le gouvernement soit revu.

La mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca) a reçu mardi le renfort de 300 Casques bleus rwandais pour sécuriser l’axe de ravitaillement vital reliant la capitale Bangui au Cameroun, a-t-elle indiqué dans un tweet.

Ce déploiement de troupes intervient dans le cadre d’une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies du 12 mars prévoyant d’augmenter progressivement d’environ 3.000 Casques bleus les effectifs de la Minusca.

After nearly eight months of suspension by the Cameroonian authorities, medical humanitarian organisation Médecins Sans Frontières/Doctors Without Borders (MSF) has been forced to withdraw its teams from the North-West region, an area badly affected by years of armed violence between security forces and armed separatist groups.

The Emirati shipment followed the Tunisian president dismissing parliament and the prime minister last month in what critics have called a coup.

The United Arab Emirates sent more medical aid to Tunisia on Wednesday to help the North African country fight its COVID-19 outbreak.

Si l’on en croit ce qu’il a laissé entendre au New York Times, ce retour rebattrait les cartes de la scène politique en Libye.

C’était la première fois, depuis une décennie et le renversement de son père, qu’il s’exprimait dans la presse internationale : Saïf al-Islam Kadhafi a affirmé au New York Times, en fin de semaine dernière, qu’il envisageait un retour en politique en Libye, tout en restant vague sur son programme et sur une possible candidature à la présidentielle prévue en fin d’année. Il a fait remarquer que les dirigeants politiques libyens n’ont « apporté que misère » et considéré que « l’heure est au retour au passé ».

Weeks ago, bandits shot down a fighter jet in northern Nigeria. This comes amid questions over the Nigerian Air Force’s readiness to curb insecurity and a slew of deals by the Nigerian government to upgrade its airpower.

On July 18, “bandits” shot down a Nigerian Air Force (NAF) fighter jet in northern Nigeria on the border between Zamfara and Katsina states. The pilot successfully ejected from the aircraft and avoided capture by the “bandits” using his “survival skills” until he reached an army installation. While NAF planes have crashed in the past—including earlier this year when a plane crash killed Chief of Army Staff General Ibrahim Attahiru—this is apparently the first time a jet has been brought down by enemy fire.

The continued recruitment and presence of mercenaries in Libya is impeding “progress in the peace process” and an obstacle to upcoming elections, independent UN human rights experts said on Friday, calling for their “long overdue” departure..

“Nine months after the ceasefire agreement calling for withdrawal of foreign forces and mercenaries from Libya, mercenaries and private military and security contractors continue to operate in the country” said the chair of the UN’s Working Group on the use of mercenaries, Jelena Aparac.