Le dernier round du bras de fer entre le groupe koweïtien Al Kharafi et le fonds souverain libyen se joue ce mardi devant la Cour de cassation à Paris. La LIA pourrait perdre plusieurs centaines de millions d’euros.
De plus en plus d’enfants sont tués ou recrutés par les groupes armés terroristes au Niger, en particulier dans les zones frontalières du Burkina Faso et du Mali où les attaques djihadistes se multiplient ces derniers mois, a dénoncé lundi Amnesty International.
Comment le président guinéen a-t-il pu être si facilement capturé ? Pourquoi avait-il ignoré les mises en garde contre Mamady Doumbouya ? D’où vient vraiment le nouveau maître de Conakry ? Plongée dans les coulisses du coup d’État. • Pourquoi Alpha Condé a-t-il été capturé aussi facilement ?
Boko Haram’s capture of materiel from government forces in the Lake Chad region bolsters the jihadi insurgency’s lethality, posing a grave risk to civilians, peacekeepers, and other military personnel.
A year ago on this platform I raised a concern that the two main Boko Haram factions secured considerable lethal materiel from attacks on regional security forces. That the dynamic existed and was worth further investigation was clear; the scale and scope of the problem less so. A new report shows that the quantities of lethal materiel seized from these state stockpiles are astonishingly high, and the range of weapon systems lost is worryingly extensive. The diversion of contingent-owned equipment (COE)—that is, government-owned materiel—from the four Lake Chad Basin countries participating in and alongside the Multinational Joint Task Force (MNJTF) has occurred on a level unprecedented on the African continent.
Israeli intelligence officials met privately this month with the son of Libya’s top warlord to discuss his 2021 presidential candidacy, a signal that Israel is supporting his bid, a source familiar with the meeting told the Washington Free Beacon.
Saddam Haftar has been quietly seeking Western backing for his campaign, which is expected to pit him against Saif al-Islam Qaddafi, the son of former strongman Muammar Qaddafi. Haftar is seen as a proxy for his father Khalifa Haftar, a dual U.S.-Libyan citizen and commander of the Libyan National Army.
Le fils de l’ancien « Guide » de la Jamahiriya a donné une interview au « New York Times ». Il y fait part sans détour de ses ambitions politiques dans la perspective de la présidentielle prévue en décembre.
Les murs sont par endroit éventrés, le minaret criblé de balles et certains esprits toujours traumatisés, mais la vie reprend son cours dans la zaouïa al-Asmariya, le plus important sanctuaire soufi de Libye, partiellement détruit par des islamistes radicaux.
Une poignée d’élèves assis en cercle retranscrivent sur des tablettes en bois les versets coraniques dictés par leur enseignant. Dans une salle adjacente à la madrassa (école d’enseignement coranique), d’autres consultent quelques-uns des vieux manuscrits sur la théologie ou le droit musulman que compte la bibliothèque.
En Libye, depuis des années, des milliers d’Africains sont emprisonnés dans des centres de rétention où ils subissent toutes sortes d’exactions. Parmi eux, figurent de nombreux migrants syriens, qui avaient choisi de devenir mercenaires pour pouvoir passer en Europe.
Près d’un mois après les annonces choc du 25 juillet, les prochaines étapes du programme présidentiel commencent à se dessiner. Explications.
À la stupeur suscitée par l’offensive menée contre l’assemblée et le gouvernement par le président tunisien, Kaïs Saied, le 25 juillet, a succédé l’attente et les interrogations. Les mesures exceptionnelles – gel de l’Assemblée, limogeage du gouvernement et prise en main des trois pouvoirs – engagées en s’adossant à l’article 80 de la Constitution sont provisoires et le président avait signifié de lui-même qu’il se donnait trente jours pour jeter les bases d’un changement de cap politique. Depuis, le pays est suspendu à l’annonce de cette feuille de route. Laquelle ne saurait tarder, selon des sources proches du palais.
SCÉNARIO. L’échec des Américains et de la communauté internationale relance le débat sur la présence des troupes internationales au Mali et au Sahel.
Ce 18 août, cela fait un an jour pour jour que le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a été chassé du pouvoir après des manifestations soutenues par les mouvements d’opposition, sur fond de lutte contre la corruption et face à l’impuissance de l’État pour contrer la violence. Cet anniversaire était l’occasion pour les Maliens de dresser un bilan de l’année écoulée, de faire le point sereinement sur les avancées et les attentes, mais les événements en Afghanistan, soit à plus de 8 000 kilomètres ont tout chamboulé.