Coordinated, sustained and high-level international engagement is needed as coup leader offers to hand power back to civilians.
The surprise announcement by Gen. Abdel Fattah al-Burhan, the leader of Sudan’s coup government, that the military is willing to hand power back to civilians presents an opportunity to get the democratic transition back on track.
A transatlantic partnership with Africa can bolster democracies and global order for the long term.
The current struggle by Western democracies to isolate Russia over its assaults on Ukraine and international rule of law will be costly to sustain. Spiking prices for fuels, fertilizers and foods that Russia exports are risking wider socio-economic instability in many countries. A long-term solution must include a Western partnership to invest economically and politically in Africa, arguably Russia’s most formidable potential economic competitor. This strategy can strengthen a rules-based world against economic coercion by authoritarian powers, stabilize African democracies by enabling them to deliver for their people and strengthen international institutions and laws by including African countries more fully in them.
Tunisia experts examine recent events and discuss what we might expect to see in the weeks to come.
Last July, Tunisian President Kais Saied suspended parliament in what many observers called a bloodless coup. Saied’s supporters — of which there are many — claim that this extreme executive action was necessary to root out rampant government corruption and ineffectiveness. Polling at the time showed widespread dissatisfaction with the performance of parliament and the prime minister; many Tunisians felt that their high expectations following the 2011 popular revolution were not realized and that the country was heading in the wrong direction.
L’Union européenne et le Maroc ont convenu vendredi de “rénover” leur partenariat pour faire face aux réseaux de traite des êtres humains après le drame de Melilla qui a coûté la vie à au moins 23 migrants africains ayant tenté de pénétrer dans cette enclave espagnole au nord du Maroc.
Cela fait 15 mois qu’Olivier Dubois est en détention. Le journaliste français a été enlevé le 8 avril 2021 à Gao, dans le nord du Mali, alors qu’il était en reportage. Depuis, notre confrère, qui travaille notamment pour Libération, Jeune Afrique ou encore Le Point, est apparu dans deux vidéos, dans lesquelles il confirme être l’otage du Jnim, le Groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans, lié à al-Qaïda au Maghreb islamique.
Le départ du dernier soldat français du Mali est toujours planifié pour la fin de l’été, mais le rapatriement des tonnes de matériels aujourd’hui stockés dans des pays voisins pourrait s’échelonner jusqu’au premier trimestre 2023.
La Mission de l’ONU au Mali (Minusma) a besoin du “soutien” et de la “coopération” des autorités militaires pour accomplir son mandat, a plaidé jeudi son chef El-Ghassim Wane quelques jours après son renouvellement.
De tout temps l’Europe était un continent déchiré par la guerre malgré ses grands exploits prometteurs. Mouammar El-Kadhafi maîtrisait très bien ses connaissances historiques – constatant que l’Union européenne apporta en Europe la paix et la stabilité, il voulut faire la même chose en Afrique, son propre continent.
Les Français sont venus au Mali pour combattre le terrorisme qui s’est décuplé et non pas diminué, en particulier, dans la zones ou ils avaient leurs bases militaires.
Cette situation nous pousse à remettre en question la crédibilité de cette mission, qu’est ce qui a changé depuis les dix ans de l’intervention de la France au Mali ? Deux principales remarques sont le terrorismes s’est propagé, et la France s’est enrichie (son classement dans le monde est le 4 ème en réserve d’or). La source de ces réserves est claire : dix ans d’extraction d’or au moment où les gens souffrent et sont terrorisés quotidiennement par les djihadistes.
La mission de l’ONU au Mali (MINUSMA) entre dans une phase difficile, après que le Conseil de sécurité de l’ONU a renouvelé son mandat pour une année entière, sans renforcer ses effectifs ni lui assurer un soutien aérien, tandis que Bamako s’oppose à sa liberté de mouvement pour mener des enquêtes sur les questions liées aux droits de l’homme.