INVESTIGATION: Dubious Contracts: How fugitive arms broker made millions of dollars from Nigeria

This investigation reveals how Nigeria’s dubious defence contracts gave Hima Aboubakar, a Nigerien arms broker, instant riches.

Amid the spilling of raw emotions over Boko Haram’s shocking kidnapping of 214 Chibok schoolgirls in Borno State, north-east Nigeria, in April 2014, the Nigerian government awarded contracts worth millions of dollars for the supply of weapons and tools to boost its offensive against the terrorists. But before formalising the contracts, officials began transferring millions to the contractor, Hima Aboubakar.

Civilian Militias in Mali, Niger, and Mozambique

Introduction

For more than a decade, the Sahel has been subject to a protracted insurgency carried out by affiliates of the global terror networks of al-Qaeda and the Islamic State. As the first country affected by this insurgency, Mali has responded by drastically modifying its response to violent extremism. The regional spillover of violent extremism has elicited similar counterterrorism responses from Bamako’s neighbors, with Niger most recently adopting a counterinsurgency model shaped by Mali’s and Burkina Faso’s policies. Although not in the Sahel, Mozambique has faced similar struggles in containing violent extremism and, like Mali and Niger, has implemented multiple counterterrorism programs to curtail the expansion and public support of jihadist groups. Conventional responses to violent extremism—such as the deployment of national military forces and the enlistment of international counterterrorism support—have not been successful and instead have resulted in each state adopting more localized approaches to eliminating the jihadist threat. This increasingly localized approach is often conducted through the deployment of civilian counterterrorism militias—also known as community-led self-defense groups, local militias, local forces, or simply civilian militias. Sometimes sponsored by the state, these local militias are intended to operate independently of national defense forces. However, tangential state status has not only afforded these groups funding and equipment, but it has also justified illicit behavior and discriminatory practices that have added additional threats to national counterterrorism agendas.

Yahya Sinwar

Yahya Sinwar was an internationally designated senior Hamas leader with ties to the group’s political and military wings.

Latest

October 18, 2024: Hamas releases a statement on Telegram confirming Sinwar’s death, calling him one of the “great martyr leaders.” The group further vows to continue a “comprehensive” fight.

Le concept de « civilisation » et ses labyrinthes

Le mot « civilisation » est utilisé librement comme si sa signification était évidente. Mais le contenu du concept de « civilisation » varie et on peut se demander s’il est même possible de parler de « civilisation » au singulier.

L’État profond

Le terme « État profond » est de plus en plus utilisé aujourd’hui dans le discours politique, passant du journalisme au langage politique commun. Cependant, le terme lui-même devient quelque peu vague, avec l’émergence de différentes interprétations. Il est donc essentiel d’examiner de plus près le phénomène décrit comme « État profond » et de comprendre quand et où ce concept est entré en usage pour la première fois.

Iran : la majorité des armes utilisées par les terroristes dans les provinces orientales sont occidentales

Le commandant adjoint du quartier général d’al-Qods des Gardiens de la révolution iranienne, le général de brigade Ahmed Shafaei, a souligné « la poursuite de la lutte contre le terrorisme dans les provinces orientales du pays ».

Le général de brigade Shafaei a indiqué que « la manœuvre menée par les Gardiens de la révolution à la frontière orientale et dans la province du Sistan-Baloutchistan se poursuivra avec la participation d’autres services de sécurité, dans le but de nettoyer ces zones des terroristes et d’y renforcer la sécurité ».

AES : un réseau hexagonal d’espionnage démantelé

Les opérations d’espionnage du régime français sur le continent africain et notamment dans la région du Sahel traduisent d’une part des méthodes occidentales qui ne changent pas et de l’autre confirment le rôle alloué à Paris de la part de son chef washingtonien.

Pour la Russie, «il y a un intérêt économique d’avoir Wagner» en Afrique, explique Dimitri Zufferey

Alors que vendredi 23 août marque un an que le cofondateur du groupe de mercenaires russes Wagner Evgueni Prigojine est mort, les activités militaires russes se poursuivent en Afrique. Depuis son décès dans le crash de son avion en Russie, les activités de Wagner en Afrique ont été reprises par l’État russe sous le nom d’Africa Corps. Qu’en est-il de l’évolution du groupe paramilitaire sur le continent depuis un an ? Dimitri Zufferey, membre du collectif All Eyes On Wagner, répond à Sidy Yansané.

Africa Corps, le groupe paramilitaire russe dans les pas de Wagner en Afrique?

Il s’agit d’une première étude sur la transformation des activités et de l’organisation du groupe Wagner en Afrique après la mort de son fondateur Evgueni Prigojine en août 2023, et son remplacement par Africa Corps. Dans leur rapport, « Africa corps, une nouvelle version d’une ancienne présence militaire russe », deux chercheurs de l’Institut polonais des affaires étrangères (PISM), un centre de recherche public, tentent de comprendre les évolutions récentes de cette présence militaire, économique, informationnelle sur le continent africain.