European leader urges foreign fighters to leave Libya

The European Union on Sunday called for the departure of all foreign forces and mercenaries from Libya, describing it as a “precondition” for a return to stability in the war-torn country.

At a news conference in the Libyan capital, Tripoli, EU Council President Charles Michel described the appointment of a transitional government earlier this year as a “historic moment.” The government is meant to shepherd the country through until general elections on Dec. 24.

France’s Total pulls all staff from Mozambique gas site amid clashes – sources

French energy major Total has withdrawn all its staff from its Afungi natural gas site in northern Mozambique, two sources said on Friday, as clashes between Islamic State-linked fighters and the military rage nearby.

The company, which last week called off the planned resumption of construction at the $20 billion development due to the violence, declined to comment when contacted by Reuters.

Egypt, Ethiopia, Sudan resume talks on big dam amid tensions

A new round of talks between three African nations began Saturday, officials said, aimed at resolving a yearslong dispute over a giant dam Ethiopia is building on the Nile River’s main tributary.

The three-day talks are taking place in Kinshasa, the capital of the Democratic Republic of Congo, the current chair of the African Union. The AU is mediating the negotiations between Egypt, Ethiopia and Sudan over the Grand Ethiopian Renaissance Dam.

Après l’attaque djihadiste au Mozambique, le site gazier de Total complètement à l’arrêt

Le 24 mars, un raid revendiqué par l’organisation Etat islamique a fait plusieurs dizaines de morts dans la ville de Palma, à quelques kilomètres des installations du groupe français.

Le groupe français Total a évacué tout le personnel de son site gazier dans le nord-est du Mozambique, neuf jours après l’attaque djihadiste dans la commune de Palma, et le projet de plusieurs milliards d’euros était, vendredi 2 avril, complètement à l’arrêt.

Six supplétifs civils tués dans une attaque dans le nord du Faso

Au moins six supplétifs civils engagés dans la lutte antijihadiste ont été tués jeudi soir dans une embuscade dans le nord du Burkina Faso, a appris vendredi l’AFP de sources sécuritaire et locale.

“Un groupe est tombé dans une embuscade ce jeudi soir dans la commune de Dablo, six éléments (civils) ont été tués et un autre a été blessé”, a affirmé un des responsables des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), des civils recrutés pour lutter contre les jihadistes.

Mali: quatre Casques bleus tchadiens tués dans une attaque jihadiste

Quatre Casques bleus tchadiens ont été tués vendredi au Mali dans une attaque jihadiste contre un camp de la Mission de l’ONU qui a été condamnée “dans les termes les plus forts” par le secrétaire général de l’ONU.

L’attaque, qui porte à dix le nombre des Casques bleus tués au Mali depuis le début de l’année, a frappé à l’aube le camp de la Minusma à Aguelhok, où se trouve un contingent de soldats tchadiens, à un peu moins de 200 kilomètres de la frontière algérienne.

Le chef de l’ONU, Antonio Guterres, “présente ses sincères condoléances au Gouvernement et au peuple tchadien et offre sa profonde sympathie aux familles et proches des victimes”, a indiqué son porte-parole, Stéphane Dujarric, dans un communiqué faisant état de la mort de “quatre Casques bleus du contingent tchadien” et de 19 blessés.

Il a salué “le courage et la bravoure des Casques bleus qui ont vigoureusement repoussé l?attaque”.

Une source onusienne a évoqué une attaque combinant notamment “des tirs de mortiers” et une tentative d’attentat suicide au moyen d’un véhicule “qui a été maîtrisée”.

“Une vingtaine d’assaillants ont été neutralisés” (tués) sur “une centaine” impliqués, a affirmé cette source sous le couvert de l’anonymat, précisant que “les combats ont duré trois heures”.

La Minusma a dénoncé une “ignoble attaque terroriste”, assurant que celle-ci “n’entamera en rien sa détermination”.

  • Nombreuses pertes –

Cinq Casques bleus, dont quatre Ivoiriens, ont été tués en janvier au Mali par des engins explosifs improvisés, et un des 28 Togolais blessés en février dans une attaque contre leur camp a succombé à ses blessures.

La Minusma, déployée au Mali depuis 2013 (15.000 hommes et femmes, dont environ 12.000 militaires), est actuellement la mission de paix des Nations unies qui a subi le plus de pertes au monde, avec plus de 140 tués dans des actes hostiles, selon les statistiques de l’ONU.

Deux soldats maliens ont par ailleurs été tués et “une dizaine” blessés dans une attaque commise également vendredi matin par des jihadistes présumés à Diafarabé (centre), à 350 kilomètres au nord-est de Bamako, a indiqué l’armée dans un communiqué.

Un jeune homme de la localité, Youssouf Aya, a déclaré à l’AFP avoir vu “passer un cortège de motos avec des hommes armés” en direction du poste militaire, puis avoir “entendu des coups de feu”. Selon lui, les assaillants ont “occupé un moment” le poste militaire avant de repartir le long du fleuve Niger.

Dans la nuit de mercredi à jeudi, une femme est décédée et un enfant a été légèrement blessé en marge d’une opération menée dans la région de Tessalit (nord-est) par les militaires de l’opération française Barkhane, au cours de laquelle un jihadiste présumé a été tué et deux autres capturés, a annoncé vendredi l’état-major français.

En visite jeudi à Bamako, la ministre française des Armées, Florence Parly, a de nouveau réfuté que la France ait commis la moindre bavure au Mali et a émis “de nombreuses réserves” sur une enquête des Nations unies selon laquelle une frappe aérienne de Barkhane aurait tué 19 civils réunis pour un mariage le 3 janvier à Bounti, dans le centre du pays.

Le Mali est en proie depuis 2012 à une poussée jihadiste partie du nord du pays, qui l’a plongé dans une crise sécuritaire et s’est étendue au centre du pays. Les violences se sont également propagées au Burkina Faso et au Niger voisins.

Les violences jihadistes, intercommunautaires ou autres ont fait des milliers de morts et des centaines de milliers de déplacés, malgré l’intervention des forces de l’ONU, française et africaines.

Russian Reactions To China-Iran Agreement

On March 27, 2021, China and Iran signed a 25-year cooperation agreement valued at 400 billion USD and integrating Iran into the Chinese Belt and Road Initiative.[1] For Russia, the agreement was received on two levels. On one level, Russia, which has been on the receiving end of Western sanctions viewed the agreement as a blow to the sanctions policy and therefore as a positive. On a different level, the Sino-Iranian agreement, coupled with recent activity by Chinese Foreign Minister Wang Yi in the region that included visits to Saudi Arabia, Turkey, the UAE, Bahrain, and Oman raised the question of Chinese competition for Russia. Russian Foreign Minister Sergei Lavrov was queried about this issue in a press conference at the Valdai Discussion Club think tank. Lavrov welcomed “honest competition”.

Ten years after the revolution: Syrian media still struggles for freedom and truth

AMMAN — “Despite the sacrifice of journalists and the large number of those who have given their lives to report the truth, the ceiling of freedom is still very low inside Syria,” Ibrahim Hussein, the director of the Syrian Center for Press Freedoms (SCPF) at the Syrian Journalists Association, told Syria Direct.

Syrian media has witnessed significant transformations through ten years of revolution and war. However, Syrian journalists remain heavily influenced by political actors on all sides, and press freedom has barely improved.

With government complicity, Syrians’ property falls victim to forgery

AMMAN – Marwa’s house, located behind Basateen al-Razi in Damascus, is registered in the name of her husband, “who was killed by a bombing of the area in 2012,” she said. That did not stop her husband’s brother from selling “the house to one of the Hezbollah members who surround the city of Darayya city.” However, “I can’t go to the government institutions in Damascus to make a claim for my family’s right to the property,” the displaced woman now living in northwest Syria’s city of Idlib told Syria Direct.

NDS kills Al Qaeda commander in eastern Afghanistan

د ملی امنيت دلوی رياست ځانګړو ځواکونو د پکتيکا په ګيان کې د القاعدې د هند وچې غړی دولت بیګ مشهور په ابومحمدالتاجکي دتاجکستان تبعه او طالب ترهګر حضرت علي مشهور په حمزه مهاجر د وزیرستان اوسیدونکی ګيان ته پر لاره وژلي. #اعتماد‌_یک‌_ملت#د_یو_ملت_اعتما‌د#TRUST_OF_A_NATION pic.twitter.com/H49C6T2bPv
— NDS Afghanistan (@NDSAfghanistan) March 30, 2021

Afghanistan’s National Directorate of Security killed an Al Qaeda commander and a Taliban leader during a recent operation in the eastern province of Paktika. That happened despite the fact the Taliban insists that Al Qaeda operatives, and all foreign fighters, have not been present in Afghanistan since 2001.