The European Commission has announced its plan to eliminate regional imports of Russian oil gradually. The ban is part of the sixth proposed European Union sanction package imposed on Russia for its aggression against Ukraine.
Le Centre d’études stratégiques de l’Afrique organisera un webinaire qui examinera en profondeur les origines, les objectifs et les moteurs de la coalition Jama’at Nusrat Al Islam Wal Muslimin (JNIM), affiliée à Al-Qaïda, au Sahel. L’analyse tiendra compte de la dynamique de la composition du groupe, de ses objectifs au fil du temps, ainsi que des facteurs politiques et économiques qui lui ont permis de persister.
La perte de munitions et d’autres matériels létaux par les forces armées et les opérations de paix africaines est un facteur clé du maintien des groupes militants à l’origine de l’instabilité sur le continent.
En l’espace d’une semaine, en février 2021, des militants de l’État islamique en Afrique de l’Ouest (EIAO) ont envahi les bases militaires nigérianes des villes de Marte et de Dikwa, dans l’État de Borno. Plus de 20 soldats ont été tués dans ces attaques. Les militants ont probablement saisi au moins une demi-douzaine de véhicules et des centaines d’armes. Les incidents ont été importants mais non exceptionnels.
Les groupes islamistes militants du Sahel menacent les zones frontalières des États côtiers où les injustices vécues par communautés d’éleveurs peuvent constituer un point d’entrée pour les intérêts extrémistes.
La violence des groupes islamistes militants au Burkina Faso, au Mali et dans l’ouest du Niger a augmenté de 70 % en 2021. Cela poursuit une escalade et une propagation ininterrompues d’événements violents dans la région depuis 2015. Initialement centrée au Mali, l’activité des groupes islamistes militants s’est progressivement déplacée vers le Burkina Faso, où se produisent désormais 58 % de tous les événements violents au Sahel.
UN Secretary-General Antonio Guterres on Monday urged the international community to “fully invest” to help impoverished Niger fight jihadist insurgents threatening the government in Niamey and neighbouring countries.
If there is indeed a shift in strategy to another level of confrontation with Russia, we need to know what we’re getting into.
To judge by its latest statements, the Biden administration is increasingly committed to using the conflict in Ukraine to wage a proxy war against Russia, with as its goal the weakening or even destruction of the Russian state.
Declaring someone irrational leads to a place in which no one wants to negotiate, because, no one wants to talk to crazy people.
A number of things about Putin’s invasion of Ukraine are not in doubt: that it was a deeply criminal act; that it has been accompanied by great brutality on the ground; that it was based on extremely faulty intelligence; and that in consequence it involved extremely serious political and strategic miscalculations.
On April 27, 2022, the Director of Russian Foreign Intelligence Service [SVR], Sergey Naryshkin, (whom Vladimir Putin publicly humiliated on the eve of Russia’s invasion of Ukraine) claimed that the Polish authorities are planning to take control of Ukraine. Russia has made these charges before[1] but Naryshkin now claimed that the assessments were backed by trustworthy sources.
Czech Prime Minister Petr Fiala wants to convince his Hungarian counterpart Viktor Orbán to change his stance on Russia as Hungary is among the countries willing to pay for natural gas imports in roubles – a move unacceptable for Czechia despite its heavy Russian gas dependency.