The recent execution of a British-Iranian dual national on espionage charges on Jan. 14 was strongly condemned by the U.K., the U.S., and the European Union. It came just a week after the hanging of two Iranian protesters, which was similarly condemned by the U.S., the EU, and several European countries.
A little over two weeks ago, the defense and intelligence chiefs of Turkey and Syria met face-to-face in the Russian capital Moscow — the first such meeting in over a decade. In the wake of the Russian-sponsored summit, which was described by participants as “constructive,” Turkish President Recep Tayyip Erdoğan held a follow-up call with Russian President Vladimir Putin, and United Arab Emirates Foreign Minister Abdullah bin Zayed visited Syrian President Bashar al-Assad in Damascus. As global media attention intensified around what some called “a clear sign of normalization,” speculation then emerged claiming plans were afoot for the Syrian and Turkish foreign ministers to meet in mid-January to pave the way for an Erdoğan-Assad meeting, either in Russia or the UAE.
The emergence of new centres of power in Eurasia has entailed a re-reading of Zbigniew Brzezinski’s book which drew an analogy between the Eurasian supercontinent and a grand chessboard. Following the global financial crisis of the last few years, countries like China, Russia and India have started to project greater global political and economic influence.
Les « élites » autoproclamées de Davos ont peur. Tellement peur. Lors des réunions du Forum économique mondial de cette semaine, le maître à penser Klaus Schwab – qui a joué son rôle de méchant de James Bond – n’a cessé de répéter un impératif catégorique : nous avons besoin de « coopération dans un monde fragmenté ».
Un monde fragmenté ? Ce concept stupide et ne reflétant aucune réalité c’est selon… l’unique point de vue des USA. Sa non-pensée répétitive effacerait toutes les autres pensées, celles du vaste monde. Mais « effacées » que sur les médias vendus seulement, médias aussi relayés sur internet. Et pas dans le concret de la vraie vie… Pendant ce temps, la nouveauté devient que tous les rouages de cette foutaise seront démontés. Et certains nous feront même revenir aux rires frais, spontanés et libérateurs.
Avant-propos : L’attente froide L’Europe du Nord, jusqu’au nord de l’Italie, est actuellement en proie à une vague de froid glacial (sans doute le résultat du réchauffement climatique). En conséquence, les observateurs s’attendent à ce que l’offensive hivernale russe en Ukraine commence d’autant plus tôt, mais personne ne sait quand. Ce mois-ci ou le mois prochain ? Peut-être une entrée spectaculaire de la Biélorussie, coupant les approvisionnements de l’OTAN ? Personne ne le sait. Pour l’instant, les forces alliées se contentent d’écraser sur place les conscrits et les mercenaires du régime de Kiev, sous-approvisionnés et frigorifiés, en espérant qu’ils se rendront peut-être en masse, malgré les armes du régime dans leur dos. Les conditions sont telles que cela pourrait se produire avec très peu de pertes russes. Il n’y a pas urgence. Plus de 500 000 soldats alliés et 500 chars d’assaut en tenue de camouflage hivernal attendent le moment d’intervenir et de dénazifier l’Ukraine. Ils attendront le bon moment.
Analyse et réponse ironique á l’interview du général Yakovleff sur Air et cosmos
Comme le disait Sun Tzu : « Qui connaît l’autre et se connaît, en cent combats ne sera point défait ; qui ne connaît l’autre mais se connaît, sera vainqueur une fois sur deux ; qui ne connaît pas plus l’autre qu’il ne se connaît sera toujours défait. » (chapitre 3)
Panique générale au sein du haut commandement de l’armée algérienne, où le chef d’état-major, le général Saïd Chengriha, est affolé par l’initiative du Parlement de l’Union Européenne (UE) demandant de classer le corps des gardiens de la révolution iraniens sur la liste des organisations terroristes, une action qui s’étend de facto au polisario, mouvement terroriste, soutenu par le pouvoir algérien et les milices iraniennes.
Malgré une tradition d’accueil des étrangers, l’afflux de migrants dans le pays s’accompagne d’une montée des discriminations, mauvais traitements et attaques verbales.
La pétition lancée l’été dernier sur Facebook par le très confidentiel « Parti nationaliste » pour réclamer « l’expulsion de la colonie de migrants subsahariens qui s’installe en Tunisie » était passée inaperçue jusqu’à ce que ses promoteurs se lancent dans des opérations de démarchage dans les rues de Tunis, le week-end des 14 et 15 janvier.
Le Front Polisario, mouvement indépendantiste du Sahara Occidental, tient toujours son 16e congrès dans un camp de réfugiés en Algérie. Lors de ce premier congrès depuis la rupture du cessez-le-feu en 2020, Brahim Ghali, secrétaire général du mouvement soutenu par l’Algérie, s’est montré offensif et a lancé un message à la poursuite de la lutte armée contre le Maroc. Réelle menace ou stratégie politique ?