The benefits and losses among Russian enterprises are distributed extremely unevenly, the beginning of 2025 showed. Not only did the overall “pie” of profits become smaller, and it was divided differently – banks and some industries receiving military orders, but many other sectors lost. Trade has fallen significantly (the Russians began to spend less), bankruptcy threatens many construction companies, their employees write petitions to Putin, and coal mining in such a deep decline that you should not be surprised if the miners who were left without salaries again cling to the helmets at the White House, as in the 90’s. In some areas (for example, in Tverskaya) wage arrears increased sharply. For the fourth year of the war, even the proximity of companies to the state does not guarantee financial stability.
The British government last week published its long-awaited Strategic Defence Review. Led by former Defence Secretary and NATO secretary general Lord Robertson, the review outlines the major geopolitical challenges facing Britain and offers 62 recommendations to make the UK and its allies more secure. The government accepted all of them.
Le fait que l’Occident fut à ce point surpris, par l’intervention militaire russe en l’Ukraine, témoigne de la perte d’une capacité d’analyse obscurcie par l’arrogance inconsciente de ce que l’on appelle «l’occidentalisme». Le réel échappe à tel point à nos élites, qu’elles se vautrent dans une propagande totalement grotesque. C’est Ursula von der Leyen un des leaders de cet Occident, aveuglée par une russophobie parfaitement raciste, qui prétend officiellement que les Russes volent et démontrent des machines à laver pour récupérer les plus et équiper leurs missiles ! Quand on y réfléchit, force est de constater que cette vertigineuse imbécillité est partagée par les élites européennes et américaines et relayées sans aucun complexe par leurs systèmes médiatiques. Il ne faut pas se tromper, il y a certes un souci de propagande, une volonté d’imposer «un récit», mais ces gens croient. Et que dire de Macron sociopathe cocaïné, qui psalmodie d’ineptes rodomontades, en menaçant de déployer la pauvre armée française sur le territoire ukrainien pour affronter l’ours russe, avec ses 15 000 hommes mobilisables et ses huit jours de munitions ! À quoi s’ajoute également par un rapport au temps qui passe, envahi par ce que l’on appelle le «présentisme», c’est-à-dire la limitation de la mémoire historique à ce qui s’est passé la semaine précédente. Avec ces dirigeants, assurant le service de leurs oligarchies respectives et accompagnés par leurs petites bourgeoisies urbaines respectives, qui ont pris l’habitude de plaquer sur le réel une morale unilatérale et utilitaire pour nous faire oublier le monde qui existe en dehors de l’Occident et le caractère tragique de l’Histoire de ce dernier. Le but étant évidemment de proclamer la supériorité de la «civilisation occidentale», pour poursuivre ainsi sa domination. Le problème est que le reste du monde, n’est pas d’accord et s’organise pour tourner la page. Petit retour 500 ans en arrière
Le ministère de la Défense russe communique : «Kiev attaque les terrains d’aviation de cinq régions russes. Pas de victimes signalées ni chez les militaires ni chez les civils». Selon les informations diffusées par Kiev (reportées par le Wall Street Journal), l’attaque a été menée de cette façon : «L’agence des services secrets de l’Ukraine (SBU) a passé en contrebande en Russie des éléments de drones ukrainiens et les a assemblés dans un lieu secret. Les agents de la SBU en Russie ont utilisé des camionneurs inconscients pour consigner une version moderne du Cheval de Troie, cachant les drones dans les toits en bois des containers. Dimanche, les toits activés à distance se sont ouverts sur les camions à côté des bases aériennes russes. Plus de 100 quadricoptères -petits drones avec quatre rotors- ont décollé et ont foncé sur leurs objectifs, détruisant 13 avions russes parqués sur les pistes». Ce que Kiev ne dit pas c’est qu’une opération de ce type requiert des hautes technologies et des réseaux satellitaires militaires que l’Ukraine ne possède pas. De toute évidence ils ont été fournis à l’Ukraine par l’OTAN. Que les services secrets ukrainiens sont formés et entraînés par ceux des États-Unis et de l’OTAN n’est pas un secret. «La CIA – confirme le New York Times – aide secrètement l’Ukraine à combattre Poutine. Pendant plus d’une décennie, les États-Unis ont cultivé un partenariat secret d’intelligence avec l’Ukraine qui est maintenant fondamental pour les deux pays pour contrer la Russie».
The ongoing discussions between the Syrian Democratic Forces (SDF) and the new Syrian administration over the integration of military forces have hit a series of roadblocks, reflecting deeper tensions in the country’s post-Assad transition. While the administration pushes for a unified army under the Ministry of Defense, the SDF seeks to retain its identity as a distinct military bloc.
In the uneasy interstice between war and peace, Syria grapples with a question striking at the heart of national sovereignty, social cohesion, and institutional legitimacy: what to do with thousands of foreign jihadist fighters who can neither be expelled nor ignored. The recent move to integrate roughly 3,500 of these militants—most notably from the Uyghur-dominated Turkistan Islamic Party—into a new military division has ignited fierce political, ethical and security debates. While some frame this as a pragmatic solution for battle-hardened fighters with no repatriation options, others see it as a dangerous compromise that could erode Syria’s fragile foundations.
In a wide-ranging talk, former U.S. Ambassador to Syria Robert Ford traced the astonishing political transformation unfolding in Damascus: from a 14-year civil war and the December 2024 collapse of Bashar al-Assad’s regime to the rise of Ahmed al-Sharaa—a former jihadist commander now serving as Syria’s transitional president.
The collapse of Bashar al-Assad’s regime in December 2024 marked a watershed moment in Middle Eastern geopolitics. Abrupt and largely unforeseen by both regional and international actors, Assad’s fall brought an end to decades of autocratic rule and the relative stability that had defined Syria since Hafez al-Assad seized power in 1970.
The Government of East Turkestan in exile has issued a stark warning against recent efforts to integrate Chinese Uyghur fighters into the newly restructured Syrian army, calling the move a dangerous geopolitical ploy that risks distorting the Uyghur people’s legitimate struggle for independence.
The first presidential trip of US President Donald J. Trump’s second term was welcomed with lavish celebrations by Saudi Arabia, Qatar, and the United Arab Emirates.
During the visit, these Gulf states committed to investing around $2 trillion through technology and defence deals with American companies, strengthening their economic and political partnerships with the US.