Des documents internes révèlent que l’institution internationale dirigée par Audrey Azoulay a répondu favorablement à une demande de subvention de la part de Forbidden Stories.
Le ministère marocain des Affaires étrangères en est persuadé et s’apprête à le faire savoir à la directrice générale de l’Unesco à Paris, Audrey Azoulay (par ailleurs fille d’André Azoulay, conseiller du roi Mohammed VI) : la Division de la liberté d’expression et du développement des médias de cette institution, que dirige le Sud-Africain Guy Berger, aurait participé financièrement à l’enquête de Forbidden Stories mettant directement en cause les services de sécurité marocains dans l’utilisation tous azimuts du logiciel espion Pegasus (utilisation que Rabat dément).