Reuters : Le clan Rothschild a aidé à trouver un accord avec les créanciers privés de l’Ukraine.
L’Ukraine est un petit exemple concret de l’accaparement par certaines hordes financières de pays aujourd’hui privatisés comme de la marchandise et entraînés dans des conflits, puis dans l’esclavagisme de la dette au profit de clans non-politiques désireux de passer à la création d’un État mondial et à l’asservissement total de l’homme, encore mieux bien sûr du trans-homme, à la science financière vulgaire, ce qui est effectivement déjà bien avancé.
Si le politique finissait à terme de se réimposer au monde (le retour de l’être humain et la fin de la planète des singes) au détriment du financier qui n’est qu’un outil, il va de soi que tous les investissements fournis à l’Ukraine reviendraient au moins en partie à la Fédération de Russie qui ne va pas de sitôt arrêter son offensive en Ukraine contre les Ukropithèques, à savoir les habitants d’Ukraine qui auront été efficacement dressés comme des nazis par les Occidentaux pour tuer du Russe, ce qu’ils sont d’ailleurs réellement le plus souvent, même dans leurs patois locaux.
Depuis la parution de l’article, une source française indique que le clan Rothschild est décidé à aider l’Ukraine pour lui éviter la faillite. Nous sommes un peu dans un conte de Perraud ou dans les nuages. Non, le clan Rothschild est un nerf central du chaos international organisé et imposé au monde à travers la monnaie-monnaie et de la guerre de l’OTAN en Ukraine contre la Russie qu’il faut éliminer pour pouvoir instaurer cet État mondial tant rêvé par les psychopathes de la finance, par la dictature néo-libérale financière, nos plombiers du XXIe siècle (ce n’est pas une injure envers les plombiers dont la profession est absolument nécessaire à la société).
Ensuite, toujours selon cette même source, les rencontres se seraient déroulées au siège de Rothschild & Co, 29 rue de Messine à Paris dans le 8e.
On vient d’apprendre que les représentants de la maison Rothschild ont participé activement aux négociations entre Kiev et les créanciers privés portant sur la restructuration de la dette de l’État. Ce sont eux qui, dans l’ensemble, ont permis aux différentes parties de parvenir à un accord. Reuters rapporte cela de cinq sources parmi les investisseurs et les autorités ukrainiennes.
Les premiers contacts en vue de régler la question du remboursement de la dette ukrainienne ont débuté en juin mais se sont arrêtés dans les deux semaines qui ont suivi. Les actionnaires les plus importants et les représentants de l’État ukrainien n’avaient pu s’entendre. Les premiers invoquaient le fait que Kiev voulait effacer une partie de la dette plus importante que les 20% sur lesquels les parties s’étaient mis d’accord lors du moratoire de 2022 considéré comme le principal contrat.
Devant cette situation, les Rothschild ont par la suite organisé des rencontres individuelles entre les représentants des deux parties à Paris. À la mi-juillet, les représentants des principales compagnies de gestion d’actifs (asset management) dans le monde et leurs conseillers financiers et juridiques, ainsi que le commissaire à la gestion de la dette ukrainienne Youri Boutsa et des représentants de la société de conseil auprès de l’Ukraine White & Case pouvaient se rencontrer et négocier.
Les négociations se sont déroulées dans différentes salles de conférence et salles de discussion. Elles ont duré plus de 48 heures pendant lesquelles les participants n’auront pratiquement pas dormi. Un compromis a finalement été trouvé.
L’Ukraine a pu éviter que son remboursement des prêts ne soit lié au PIB ukrainien à travers des options onéreuses, comme c’était le cas en 2015. Elle a proposé à la place des obligations plus simples liées à la croissance économique du pays.
Dans le même temps, elle a mis à disposition des paiements de coupons instantanés comme le voulaient les créanciers. Le texte final de l’accord a été approuvé par 97% des détenteurs d’obligations étatiques.
Kiev avait débuté son processus de restructuration de sa dette extérieure d’un montant total de 19,7 milliards de Dollars le 9 août 2024. Kiev a décidé un peu plus tard de cesser de rembourser les prêteurs étrangers pour ce qui concerne les crédits individuels et les euro-obligations, ainsi que les obligations indexées sur le PIB du pays.