In Iraq and Yemen, Climate Activism Requires Both Defiance and Adaptation

In the Middle East, climate activism is often intertwined with public grievances over perceived governance failures and ongoing regional and national conflicts. Not only are Iraq and Yemen among the countries most vulnerable to climate change,1 compounded by apparent endemic state corruption, but they have also become key arenas for the ongoing regional confrontation between Israel and Iran’s axis that began in October 2023. In Iraq, for example, clashes between Iran-backed militias and U.S. and Israeli forces—a symptom of wider instability and governance failures—have enabled Türkiye and Iran to exploit the country’s water resources.2 In Yemen, Ansar Allah (commonly known as the Houthi movement) has disrupted international shipping in the Red Sea and attacked Israel, deepening the country’s isolation and insecurity. Both countries also grapple with fragmented political authority: Iraq’s federal structure includes a semiautonomous region, while Yemen remains divided among competing factions.

Official Islam in the Arab States of the Gulf: Local Establishments in a Regional and Global Context

In the Arab states of the Gulf, Islamic institutions have long existed at the intersection of local and regional space. Before the twentieth century, local rulers tended to rely on specific scholars who were part of regional religious networks for rudimentary needs in adjudication and education. The emergence of complex bureaucratic states in the middle of the twentieth century changed this picture in a way that renegotiated the terms between global and local Islam differently for each state.

America’s Peace to End All Peace

Israel’s strategy in recent weeks has been to disparage the decision of several countries to recognize the state of Palestine. Yet when France, the United Kingdom, Canada, Australia, Portugal, and Belgium, took such a step at the United Nations early this week, or indicated that they would, the Israeli and American reaction was anger. How strange, and telling, that a decision the Israelis and their advocates had ridiculed as “childish” and “performative,” even “an absurdity,” could provoke so excessive a response.

Peak Oil for Gen Z: Seven Questions and Answers for a New Generation

Gen Z is a generation born into a world full of anxieties—from school shootings to climate Armageddon, to a pandemic and political violence. But I’m here to give you one more thing to worry about!

A high-stakes debate about the timing of peak oil has been simmering for decades. Although few of today’s Gen Z members know much about it, their lives will be impacted profoundly by the waning of the petroleum era.

Les BRICS incarnent la fin de l’ordre libéral

Les BRICS incarnent la transition d’un ordre néolibéral vers un système international plus multipolaire et pragmatique… Les BRICS sont en effet l’incarnation mais pas la totalité du système, c’est ce sur quoi nous insistons, ni même sa véritable dynamique. Nous sommes devant un processus qui en priorité relève d’une contradiction fondamentale, celle du rapport des êtres humains à la nature dans lequel le développement scientifique et technique est le moteur de l’ébranlement. Or ce qui caractérise cette contradiction est la manière dont les pays occidentaux, les USA en particulier qui jouissaient d’un quasi-monopole dans ce domaine n’ont cessé de délocaliser leur production matérielle, l’industrie vers les pays du tiers monde qui ont connu de ce fait un essor, et le terme d’émergent définit cette transformation.

L’avenir de l’Europe dépend du démantèlement de l’UE

Une critique globale du modèle d’intégration supranational de l’UE, analysant ses lacunes structurelles, économiques et géopolitiques.

Au cours des trois dernières décennies ou plus, un récit dominant a façonné le discours européen : dans un monde de plus en plus globalisé et interconnecté, les nations individuelles sont progressivement devenues limitées dans leur autonomie économique et ont perdu la capacité de déterminer indépendamment leur trajectoire économique. Cela est attribué à leur faiblesse par rapport aux puissantes forces extérieures – à la fois des entités privées telles que la finance internationale et les multinationales, ainsi que des superpuissances étrangères, en particulier la Chine. Selon ce point de vue, le concept même de souveraineté nationale est devenu de plus en plus obsolète dans le monde d’aujourd’hui.

Le monde se délivre du démon sioniste

Au cœur des convulsions géopolitiques actuelles, le régime israélien révèle sa nature profonde d’un projet colonial anachronique, imposé au Moyen-Orient par les puissances impérialistes du siècle dernier et maintenu depuis par la brutalité, l’impunité et la manipulation. Tandis que le monde arabo-musulman peine encore à articuler une réponse unifiée, les masques tombent. L’État d’Israël, loin d’être un îlot de démocratie dans un désert d’autoritarisme, incarne aux yeux de tous, une entreprise de domination sanglante, étrangère à la région qu’il fracture depuis plus d’un siècle. À mesure que s’intensifie la résistance populaire et diplomatique, que les peuples s’éveillent et que les alliances se reconfigurent, une certitude s’impose visant à démontrer que ce régime, fondé sur l’exclusion et la terreur, approche inexorablement de sa fin.

L’empreinte numérique : un voyage au cœur de l’opacité systémique

Il y a des expériences numériques qui marquent plus que d’autres, non pas parce qu’elles sont spectaculaires, mais parce qu’elles révèlent en un instant la mécanique invisible qui agit derrière nos écrans. La mienne commence banalement avec un groupe que j’écoute en boucle sur YouTube : Missioned Souls. Des adolescents philippins qui reprennent les classiques du rock, de la pop et du blues avec un talent sidérant, au point que j’ai presque délaissé le reste pour ne plus écouter que leurs reprises, mais là n’est pas le sujet car c’est ici que ça devient inquiétant.

Power of Siberia 2 : le grand embarrassement de l’UE

Pékin hérite désormais de la stabilité énergétique qui alimentait autrefois l’industrie de l’Europe occidentale. Et tout ce que Bruxelles peut faire, c’est crier aux loups.

Il y a des moments où vous pouvez presque entendre l’histoire chuchoter et la nouvelle de mardi selon laquelle la Russie et la Chine ont finalement signé un accord contraignant pour le Power of Siberia 2 (un pipeline pouvant transporter 50 milliards de mètres cubes, traversant la Mongolie et transportant du gaz de l’arctique vers l’Orient) en est un cas.