Ce document déclassifié de la CIA datant de 2004 décrit la méthodologie utilisée par les services de renseignement américains pour recruter des scientifiques civils de pointe. Les domaines d’intérêt spécifiques comprennent la nanotechnologie et la biotechnologie. Il y est question de l’utilisation possible d’armes de destruction massive fabriquées par des sociétés pharmaceutiques « bienveillantes », ainsi que de l’intérêt pour la « cybernétique (par exemple, le contrôle mental, l’amélioration des performances, les interfaces cerveau-machine) et les armes ethniques (ARNi, vecteurs de thérapie génique, etc.) ». En outre, l’intérêt pour les maladies « (par exemple, les moyens de déterminer si une épidémie de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) a été déclenchée délibérément) » est également mentionné.
Israel’s policy in Syria relies on hard power and control over territory rather than building an interrelated web of diplomatic alliances and coalitions to protect its interests.
Israeli leaders are expanding a buffer zone in southern Syria even though U.S. officials warn that doing so might undermine the new government in Damascus.
Huge crowds took to the streets of the capital Sofia and other major cities on Monday night to protest against the governing coalition of centre-right populists GERB, the pro-Russia Bulgarian Socialist Party and nationalist party There’s Such a People, backed by tycoon Delyan Peevski’s New Beginning.
The protests were some of the biggest for years, possibly since the 1990s, participants claimed. Sofia mayor Vassil Terziev described the demonstration in the capital as “the most well-attended in the last decade”.
The expanding use of surveillance in Kosovo comes with weak oversight and growing privacy risks; stronger institutions and greater public awareness are required to strike the right balance between safety and freedom.
In mid-2025, Kosovo’s Information and Privacy Agency, IPA, used its new monitoring platform to scan the country’s digital infrastructure for exposed devices.
Avec la régionalisation croissante des conflits en Afrique, les populations déplacées de force sont de plus en plus confrontées à la situation difficile de devoir fuir vers des pays voisins qui connaissent également des conflits.
Faits marquants
On estime à 45,7 millions le nombre d’Africains déplacés de force – réfugiés, déplacés internes ou demandeurs d’asile. Cela représente 3 % de la population du continent.
Ce schéma, qui continue depuis 15 ans, prolonge la tendance d’augmentation constante du nombre de personnes déplacées de force. L’Afrique reste le continent qui compte le plus grand nombre de personnes déplacées de force, soit 43 % du total mondial.
69 % de ces 45,7 millions de personnes sont des déplacés internes (PDI) dans leur propre pays. Cependant, la part des personnes déplacées à l’extérieur de leur pays a augmenté de manière significative au cours de l’année écoulée, en grande partie en raison de l’augmentation des flux de réfugiés en provenance du Soudan, du Burkina Faso, de la République démocratique du Congo (RDC) et du Mali.
97% des personnes déplacées de force en Afrique cherchent à se réfugier sur le continent.
Les conflits sont le principal facteur de déplacement de force
96 % des populations déplacées de force proviennent de pays confrontés à des conflits armés.
96 % des populations déplacées de force sont originaires de pays en proie à un conflit armé, ce qui souligne le rôle central de la guerre dans le déplacement des populations.
14 des 15 pays africains ayant les niveaux les plus élevés de déplacements forcés sont confrontés à des conflits. L’exception est l’Érythrée, qui a connu un exode de 19 % de sa population en raison du niveau de répression qui y perdure.
9 pays africains ont signalé plus d’un million de personnes déplacées au cours de chacune des trois dernières années, ce qui met en évidence l’instabilité persistante des conflits en Afrique – pour ces pays et leurs régions.
Des crises qui s’aggravent
8 des 11 pays accueillant le plus grand nombre de déplacés externes sont eux-mêmes en proie à des conflits.
Cette année, le nombre de réfugiés et de demandeurs d’asile accueillis dans un autre pays africain a augmenté de 13 %, soit 11,44 millions de personnes, ce qui souligne les implications intrarégionales de ces flux de population persistants.
8 des 11 pays accueillant le plus grand nombre de déplacés externes sont eux-mêmes en proie à des conflits. Cela reflète la régionalisation croissante – et les liens interrégionaux – des conflits dans la Grande Corne, le Sahel et le bassin du lac Tchad.
La détérioration de la sécurité au Sahel a entraîné l’afflux d’un nombre croissant de réfugiés en Mauritanie et dans d’autres pays côtiers d’Afrique de l’Ouest. Le Burkina Faso est à l’origine de la majorité du déplacement de force du Sahel, avec une population déplacée estimée à 4 millions de personnes, soit près d’un cinquième des citoyens burkinabè. Il est toutefois difficile de vérifier les chiffres exacts, étant donné que la junte militaire a cessé de communiquer le nombre de personnes déplacées en 2023.
Le Soudan est le foyer de la crise des déplacements forcés en Afrique
Le Soudan est le pays qui compte le plus grand nombre de personnes déplacées de force (14,4 millions), soit une augmentation de 14 % par rapport à l’année dernière.
La population soudanaise déplacée de force représente 32 % du total continental.
La population soudanaise déplacée de force représente 32 % du total continental. Cela souligne la brutalité du conflit soudanais qui continue de s’étendre depuis qu’il a éclaté en 2023.
Les 10,1 millions déplacés internes du Soudan représentent le plus grand déplacement interne de tous les pays du monde.
Le Soudan est désormais le pays africain avec la plus grande part de sa population déplacée de force (29 %), dépassant le Soudan du Sud.
Quatre des pays comptant plus d’un million de personnes déplacées sont voisins du Soudan, ce qui met en évidence les implications aggravantes des conflits en cours pour toute la région.
À titre d’illustration, on estime que 800 000 réfugiés sud-soudanais sont retournés au Soudan du Sud depuis 2023, fuyant la violence croissante au Soudan. Ils sont accompagnés d’environ 380 000 réfugiés soudanais qui fuient vers un pays dévasté depuis plus d’une décennie par une guerre civile.
Des progrès fragiles dans certains pays
Le nombre total de personnes déplacées de force serait nettement plus élevé si l’on ne tenait pas compte d’une baisse estimée à 4,5 millions du nombre de personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays, principalement en Éthiopie et en RDC.
Ces baisses reflètent le retour en cours des personnes déplacées dans les régions du Tigré et de l’Amhara en Éthiopie et la réinstallation des personnes déplacées par l’offensive du M23 dans l’est de la RDC. Les tensions accrues entre l’Éthiopie et l’Érythrée ainsi que la poursuite des combats en RDC pourraient toutefois entraîner un retournement de ces progrès.
Augmentation des déplacements causés par une catastrophe naturelle
Au cours de l’année écoulée, les catastrophes naturelles (principalement les inondations) ont provoqué une augmentation de 33 % des déplacements forcés en Afrique. Cela ajoute 5,6 millions de personnes aux 45,7 millions de personnes déplacées de force en raison d’un conflit. C’est donc en Afrique que l’on enregistre le plus grand nombre de déplacements provoqués par des catastrophes naturelles dans le monde, avec 57 % du total mondial.
Huit des douze pays connaissant les plus grands déplacements causés par des catastrophes naturelles étaient également en proie à des conflits. Cela souligne le chevauchement et l’imbrication des fragilités. De nombreuses personnes déplacées par les conflits et vivant dans des camps de déplacés internes sont contraintes de se déplacer à nouveau en raison des menaces causées par les inondations ou d’autres catastrophes naturelles, prolongeant leur déplacement et retardant leur rétablissement.
In the eyes of Hamas and other Palestinian terror groups, the plan is nothing but another temporary ceasefire, not different than previous ones reached between Israel and Hamas over the past two decades.
Those who think that Hamas, by agreeing to Trump’s “peace plan,” has abandoned its desire to eliminate Israel or has softened its position toward Israel are unfortunately dead wrong.
The Israel Defense Forces (IDF) killed Hezbollah’s “de facto chief of staff” and senior commander Haitham Ali Tabatabai in Beirut’s southern suburbs on November 23.[1] Tabatabai’s death will likely disrupt Hezbollah’s reconstitution for a short period because of Tabatabai’s significant experience at many echelons of command in fighting against Israel and engaging with Hezbollah’s Syrian partners. His experience at many echelons of command and in Syria would enable him to intimately understand the assets that Hezbollah needed to replace after the Fall 2024 Israeli campaign in Lebanon to defend southern Lebanon against renewed Israeli operations. His experience in Syria would have also allowed him to build relationships with many cross-border smugglers and other actors that can support Hezbollah’s reconstitution. The IDF stated that it killed Tabatabai in order to prevent Hezbollah’s reconstitution.[2] Tabatabai was considered one of Hezbollah’s three highest-ranking military officials after the Israel-Hezbollah conflict in Fall 2024, and he has reportedly led Hezbollah‘s efforts to reconstitute after the war.[3] Tabatabai has held numerous senior positions within Hezbollah’s military command since the group’s founding in 1982.[4] Tabatabai helped establish Hezbollah’s Radwan Force and reportedly commanded Hezbollah’s Southern Front in Fall 2024 after Israel killed the previous commander.[5] Tabatabai helped train Hezbollah’s partners in Syria and Yemen and commanded Hezbollah special forces in both countries.[6] Tabatabai would have been able to use his experience planning and leading defensive operations against Israel in southern Lebanon, in addition to his engagement with Syrian partners and knowledge of Lebanon-Syria supply lines, to plan Hezbollah’s reconstitution and any future attacks against Israel.[7]
The Alabuga Special Economic Zone (ASEZ) is a cornerstone of the Adversary Entente’s resistance against the US-led international coalition and is emblematic of the symbiotic relationship between its members. What started as a bilateral Russo-Iranian drone production effort in 2022 has expanded into a four-way center of technological and innovative exchange between Russia, Iran, the People’s Republic of China (PRC), and North Korea. The ASEZ produces Russian long-range drones based on the Iranian Shahed drone design that Tehran provided to Moscow in 2022.[1] The ASEZ currently produces roughly 5,000 Shahed-type drones per month, or 60,000 drones annually.[2] The PRC and Iran have contributed technical and materiel support to develop fleets of Iranian-designed Russian drones.[3] Reports have suggested that North Korea may send workers to the ASEZ, which could expand drone production exponentially.[4] Adversary Entente support for the ASEZ has allowed Russia to fully indigenize the drone assembly process, relying heavily on PRC-origin parts, and the PRC, Iran, and North Korea will, in turn, be able to apply lessons learned from ASEZ production processes and the performance of Russian drones on the battlefield in Ukraine in future conflicts in their respective theaters.
Iranian-backed political parties are preparing to form the next Iraqi federal government after winning over a third of the seats in the recent parliamentary elections. These parties may exclude or at least weaken Prime Minister Mohammad Shia al Sudani, despite his coalition winning the plurality of seats. Sudani could try to obstruct the Iranian-backed parties, but will face considerable challenges, especially given their readiness to use political tools and force to consolidate their political influence. If the parties succeed in excluding or weakening Sudani, they may be further empowered to dominate Iraq and support Iranian interests within the country.
In this analysis, I would like to demonstrate three points:
Southern Europe is completely lacking in plans for managing immigration, both from sub-Saharan Africa and the Maghreb;
The pro-European narrative promotes an unrealistic view that the European economy would benefit from immigration more than the middle and working classes would suffer from it.
Added to this is the impact on Europe of support for Ukraine, which is useless and harmful to the finances of the European welfare state, as demonstrated by the widespread protests across the Old Continent, the latest of which took place in Belgium on October 14.