Africa has become an essential element of Russia’s geostrategic posture in recent years as Moscow seeks to evade its international isolation and sanctions. However, facing isolation and a contracting economy, Russia has come to the realisation that cultivating an entry point into Africa through conventional means like foreign direct investment (FDI), trade, development assistance, or cultural and educational exchanges, is not its best option. Instead, Moscow has chosen the path of a disruptor to elevate its influence on the African continent.1
Herodotus (History, Book 1.53) tells the story of Croesus, king of Lydia c. 585-546 BC in what is now Western Turkey and the Ionian shore of the Mediterranean. Croesus conquered Ephesus, Miletus and neighboring Greek-speaking realms, obtaining tribute and booty that made him one of the richest rulers of his time. But these victories and wealth led to arrogance and hubris. Croesus turned his eyes eastward, ambitious to conquer Persia, ruled by Cyrus the Great.
I speak of peace, therefore, as the necessary rational end of rational men.
~PresidentJohn F. Kennedy, American University, June 10, 1963
Following an essay I published earlier this month and the letter the Eisenhower Media Network ran in The New York Times in May, I have heard forceful and passionate protests that Russia had no other option but to invade Ukraine in February 2022. Frankly, I find quite bewildering and concerning this intense insistence that the only option available to Russia was to launch a cross-border invasion, conduct a deliberate occupation of a sovereign country, and commit a clear violation of the Nuremberg Principles and international law.
Evgheni Prigojin, șeful companiei rusești de mercenari Wagner, a plecat în exil în Belarus după insurecția contramandată, aparent în urma unei înțelegeri mediate de președintele belarus Aleksandr Lukașenko, relatează Foreign Policy.
C’est un document accablant sur le rôle de Wagner en Centrafrique. L’organisation The Sentry, qui enquête sur les réseaux de prédation économique et financière dans les zones de conflit, a livré mardi un rapport sur les activités du groupe d’Evegueni Prigojine depuis son installation dans le pays il y a cinq ans. Appelée « Les architectes de la terreur », l’enquête restitue les témoignages d’horreurs de près d’une cinquantaine de victimes et de militaires ayant participé à des opérations du groupe russe.
Dans un nouveau développement, le groupe paramilitaire russe Wagner se voit attribuer un nouveau mécène après l’altercation de son chef Evguéni Prigogine avec Moscou.
Wagner dépend lourdement du ministère de la Défense russe, qui lui livre troupes, matériels et armes sur ses théâtres d’intervention.
Selon des sources anonymes proches du dossier, le pouvoir algérien a promis à Prigogine le financement de ses milices en Afrique mais surtout dans la région du Sahel.
Les motivations exactes de ce pays nord-africain pour soutenir le groupe Wagner ne sont pas encore claires, mais certains experts avancent la thèse d’une tentative de renforcer son influence dans la région où le groupe s’active déjà.
Cette décision d’Alger suscite des inquiétudes dans certains cercles internationaux notamment en Europe et aux états unis d’Amérique (USA), car le groupe Wagner est souvent impliqué dans des activités controversées et est accusé de crime et de violations des droits de l’homme.
Les tensions entre le chef de Wagner et le Kremlin ont éclaté récemment, ce qui a remis en question le financement continu du groupe. Evgueni Prigogine a défié publiquement le président russe, Vladimir Poutine, en menant une mutinerie armée qu’il a amené à moins de 400 kilomètres de Moscou avant de renoncer et de se replier en Biélorussie.
Les détails exacts de la querelle restent flous, mais il semble que des divergences d’opinions stratégiques et des problèmes de confiance aient conduit à une rupture entre le chef de Wagner et Moscou.
Face à cette situation, de nombreux observateurs craignaient que le groupe Wagner ne soit privé de son principal soutien financier, ce qui aurait pu affecter sa capacité à mener des opérations militaires à grande échelle à l’étranger. Cependant, ces préoccupations semblent désormais infondées, car l’Algérie s’est engagée à prendre en charge le financement de ce groupe.
La question qui se pose est de savoir quel impact aura l’apport financier algérien sur les opérations de Wagner et sur l’équilibre des pouvoirs dans la région où il s’active. Les observateurs occidentaux s’interrogent aussi sur les motivations géopolitiques de la décision d’Alger.
Pour Kelian Sanz-Pascual, analyste en géopolitique au sein du cabinet Cassini conseil, et chargé de recherche au centre Géode, il est certain que l’influence russe en Afrique ne va pas baisser pour autant. Elle pourrait simplement prendre une forme différente de ce qu’on a connu jusqu’à présent.
L’attaque shebab qui a fait cinq morts le week-end dernier au Kenya est la dernière d’une longue série. En un mois, les islamistes somaliens ont fait au moins 25 morts dans le pays, dont une vingtaine parmi les forces de sécurité. Comment expliquer cette recrudescence ? Et comment s’organisent les autorités kényanes pour y faire face ?
The Russian private military company Wagner Group, which made headlines over the weekend by starting to march on Moscow amid an apparent dispute with Russian President Vladimir Putin, has longstanding ties to Hong Kong, records show.
Many around the world closely followed the plight last week of five wealthy men who went missing aboard a Titanic-bound submersible. Meanwhile, researchers at the United Nations’ International Organization for Migration (IOM) updated the number of migrants who have died trying to reach Europe by sea this year: nearly 2,000.
La Russie continuera d’opérer en Centrafrique, avec le groupe Wagner qui combat actuellement la rébellion au côté de l’armée, ou un autre contingent, a affirmé lundi un haut responsable de la présidence de cet Etat d’Afrique centrale.