“Enterré vivant”: en Tunisie, l’exode des médecins fragilise le secteur de la santé
Abdelwaheb, médecin urgentiste sur le front contre le Covid-19 en Tunisie, n’a pas été payé depuis des mois. A 35 ans, il se prépare à partir à l’étranger en quête de meilleures conditions de travail, comme la majorité des médecins tunisiens.
La proportion des jeunes diplômés s’exilant à la fin de leurs études, principalement vers la France, l’Allemagne ou les pays du Golfe, ne cesse d’augmenter.