Kataib Hezbollah commander killed in Baghdad in US strike

A commander from Kataib Hezbollah, an Iran-backed armed group in Iraq that the Pentagon has blamed for attacking its troops, was killed in a U.S. strike on Wednesday, the U.S. military said.

“(U.S.) forces conducted a unilateral strike in Iraq in response to the attacks on U.S. service members, killing a Kataib Hezbollah commander responsible for directly planning and participating in attacks on U.S. forces in the region,” a statement from the military said. It did not name the commander, Reuters reported.

Bruxelles : Les services secrets sur pied de guerre

Depuis quelques années, le monde du Renseignement bruxellois est en ébullition. Bruxelles joue aujourd’hui le rôle qui était autrefois prêté à Bonn, l’ex-capitale de la République fédérale allemande : celui d’abriter un nid d’espions. La présence des institutions européennes ; du siège de l’OTAN et de plusieurs grandes multinationales explique cet attrait pour les services étrangers1. Naturellement, les autorités locales décrient en premier lieu les espions russes mais pas que. Les Chinois sont également dans le viseur du Renseignement belge. Notamment, la plateforme logistique du géant chinois Alibaba à l’aéroport de Liège : «Les activités logistiques d’Alibaba à Liège demeurent un point d’attention en raison de la législation chinoise qui incite les entreprises nationales à partager leurs données avec les autorités de Pékin et l’Empire du Milieu a l’intention et la capacité d’utiliser ces données à des fins non commerciales» a répondu un responsable du VSSE au Financial Times.2

Quant aux russes, le 29 mars 2022, sur fond de guerre en Ukraine, la Belgique avait expulsé 21 diplomates russes, sur la base d’une liste dressée par les services de Bruxelles.

Mais pour comprendre comment fonctionne le Renseignement belge, il faut revenir sur ses composantes et sur deux événements majeurs et récents.

Ses composantes sont le Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) qui dépend de La Défense, sis dans le Quartier Reine Elisabeth, rue d’Evere 1 à Evere et la Sûreté de l’État (VSSE) qui dépend du ministre de la Justice, dont le siège est au Boulevard du Roi Albert II 6, dans la capitale.

Comme dans tous les pays où le Renseignement marche plus ou moins bien, la Belgique est ainsi dotée d’un service extérieur et d’un service intérieur. Rappelons que ce n’est pas forcément la règle puisque des pays comme la Suisse et l’Espagne n’ont pas la chance d’avoir cette structure organique qui a pourtant le mérite de préserver l’essence même de deux métiers distincts : l’exploration et l’intervention à l’étranger qui relèvent plus de la chose militaire et la surveillance du territoire qui relève plus de missions de police.

Tant le SGRS que le VSSE ont à répondre au Comité R (contrôle parlementaire).

Récemment, c’est du Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) que sont issues deux initiatives clés : la publication de son premier rapport annuel (2022) qui s’intitule «Décryptage du Renseignement, de la Sécurité et de la Cyber défense militaire belge», 36 pages, et l’inauguration du Cyber Command qui dispose des attributions d’une 5ème composante (Terre, Marine, Air, Médical et Cyber) au sein de La Défense et de celles d’une direction au sein du SGRS. Le Cyber Command qui sollicite le concours de l’industrie, du monde universitaire et associatif porte la Cyber Force. Qu’il définit comme la première et la dernière frontière virtuelle du champ de bataille. Le SGRS qui a pour devise «Quaero et Tego» = «Je cherche et je protège» a comme partenaires principaux et étroits, entre autres, La Police Fédérale ; l’OSCE ; l’OTAN ; La Défense ; le Centre de Crise ; le Service Public Fédéral des Finances et le Centre For Cyber Security Belgium. On comprend pourquoi son rapport d’activités3 stipule au nombre de ses premières préoccupations la Fédération de Russie ; la Chine ; l’extrême droite ; le complotisme et la prolifération d’informations hors de contrôle de l’État et déstabilisantes sur les médias sociaux.

Risque de devenir un État policier ?

Sur fond de crise en Ukraine et basculement des équilibres en défaveur des euro atlantistes, il est à craindre que les Services de renseignement belges deviennent un outil de plus – si ce n’est pas déjà le cas – au profit des idéologies de la Maison-Blanche, à Washington.

Les services de renseignements belges ont plus recours aux «méthodes exceptionnelles»4. Il s’agit d’écoutes ; de la collecte des données bancaires et des transactions bancaires ; le piratage d’un système informatique ; l’ouverture de courrier ainsi que l’observation et l’inspection de lieux non accessibles au public. Ce sont des méthodes exceptionnelles selon le Comité R. Et son rapport d’activité 2022 révèle une augmentation sensible entre 2021 et 2022 de l’emploi de toutes ces méthodes. Selon Serge Lipszyc, le directeur du Comité R, la lutte contre le terrorisme demeure la priorité absolue de la Sûreté de l’État (VSSE). Mais pour le Service général du renseignement et de sécurité (SGRS) la préoccupation paraît tout autre. Le directeur du Comité R, Serge Lipszyc insiste sur la nécessité d’adapter les moyens et le fonctionnement de ces institutions essentielles que sont les services de renseignement. Il pointe notamment l’invasion de l’Ukraine et la crise de la Covid-19 qui auraient provoqué une crise mondiale qui nous touche comme cela n’était plus arrivé probablement depuis la Deuxième Guerre mondiale. Selon lui, cette crise a provoqué une insécurité sociétale : «Dans l’accélération des mouvements géopolitiques, économiques et sociaux qu’elle entraîne, notre société de la communication semble clairement peiner face à des phénomènes dévastateurs pour l’Humanité comme le radicalisme; l’extrémisme ou encore le complotisme, lesquels trouvent dans les médias sociaux des amplificateurs inédits de désinformation qui sont parfois hors de contrôle».

La messe est dite. À ce rythme, il est à craindre une augmentation des surveillances et censures à l’endroit des individus qui ne pensent pas comme la pensée dominante et imposée. À suivre…

Escalation scenarios between Iran and the United States in Syria and Iraq

The US-Iranian escalation has taken a new turn when Washington announced strikes on command and control centers, intelligence facilities, and weapon storage facilities used by Iran-backed militias to attack American forces and the International Coalition.

Through a series of attacks, the United States targeted 85 locations in Syria and Iraq, in response to the killing of its soldiers by shelling for which Iran was accused of being involved.

Iran-Backed Militias In Iraq, Lebanon, And Yemen Condemn U.S. Strikes In Iraq And Syria, Accuse U.S. Of Escalating Conflict, Undermining Global Security, Reiterate Calls To Expel U.S. Forces From Iraq

On February 2, 2024, the U.S. Central Command (CENTCOM) reported that its forces had conducted airstrikes earlier that day against over 85 targets of Iran’s Islamic Revolutionary Guards Corps (IRGC) Quds Force and affiliated militias, including command and control operations centers, intelligence centers, rocket, missile, and unmanned aerial vehicle storage sites, and logistics and munition supply chain facilities.[1]

Houthi Ansar Allah Movement Holds Military Exercise In Which Reserve Forces Simulate Attacks On American, British, and Israeli Targets; Asserts Readiness To Make Sacrifices For Palestinians In Gaza

On February 3, 2024, the Houthi-run Yemen War Media Telegram channel posted a 44-minute video depicting a military exercise carried out by units from “reserve and central intervention forces” of the Yemeni armed forces. The video was titled, “Yemen is the Support of Palestine.” The exercise simulated attacks on American, British, and Israeli positions and the takeover of bases and “settlements of the Zionist enemy,” that were similar to the Hamas attack on Israel on October 7, 2023. The drill, which was also broadcast live on The Houthis’ Al-masirah TV channel, was held in the context of the preparations of the Houthi forces for “the battle of the assured victory and the holy jihad,” and as assistance for Al-Aqsa Flood.[1]

US presence in the Middle East at a critical junction

Ever since oil was first found in Persia (now Iran) in 1908, and later in Saudi Arabia (1938), the US has steadily increased its interest and presence in the region, even after the US has become energy independent. Now, despite its presidents’ statements — “US first” and “Asia first” — the US finds itself deeply involved in Middle East (ME) affairs.

Are we on the road to globalised Fascism?

Shared thoughts, arising from deep concerns over the UK Government response to Israel’s ongoing genocide of Gaza.

As a young adult I read Kafka’s novel, ‘The Castle’. In trying to get himself heard, the protagonist is repeatedly blocked by layers of impotent clerks and ministers, as he attempts the impossible task, of trying to communicate with a regime that has elevated itself beyond reach of the ordinary person. This scenario appears to have been replicated within our current experience of dealing with government and corporations. The government and the people have grown so far apart that communication between them has all but ceased.

How Washington Emboldened the Houthis

And How It Can Prevent Its Fight With the Group From Escalating

Since the Houthis launched their assault on global shipping in November, the United States and its partners have scrambled for ways to restore calm and commerce to the Red Sea. First, on December 18, Washington assembled a maritime coalition designed to boost the U.S. presence in the area and promote regional security. Then, in January, the United States started intercepting Iranian military shipments bound for the Houthis and issued multiple warnings to the group. Finally, after nearly two months of continuous attacks in the Red Sea, the United States and the United Kingdom launched a barrage of strikes against the Houthis’ facilities. But these attacks have not halted or seemingly slowed the onslaught. The group has continued to lob missiles and drones, prompting continued strikes by Washington and its allies.

Hezbollah Rocket Attack Wounds Two Israeli Soldiers

Latest Developments

Hezbollah terrorists wounded two Israeli soldiers in a rocket attack on northern Israel on February 6. The Israel Defense Forces (IDF) said that “terrorists launched several projectiles towards Margaliot in northern Israel. Following the attack sirens sounded warning people of the imminent threat. IDF artillery retaliated and struck the sources of the fire.” The two lightly wounded soldiers were evacuated to a hospital, the IDF said.