Mali : 51 terroristes éliminés par l’armée

Au moins 22 terroristes ont été tués lors d »’une embuscade déjouée » mercredi par un détachement militaire à Sokolo, dans le centre du Mali, selon l’armée malienne.

»Les Forces armées maliennes ont déjoué, avec un remarquable professionnalisme, une embuscade contre une mission d’approvisionnement en vivres des populations dans le secteur de Sokolo, dans le centre du pays, en fin de matinée du mercredi 12 juillet », ajoute un communiqué de la Direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA).

Le G5 Sahel a été «un instrument de la France pour mieux maîtriser les États»

La dissolution du G5 Sahel entérine l’échec de la France, qui pensait pouvoir imposer son jeu à travers cet organe, explique à Sputnik le militant panafricain Abdoulaye Nabaloum.

Une coquille vide. Le G5 Sahel, dont la dissolution a été actée par la Mauritanie et le Sahel, n’a été qu’un instrument d’influence au service de la France et n’a pas vraiment aidé à lutter contre le terrorisme, a expliqué à Sputnik Abdoulaye Nabaloum, fondateur de l’association Actions pour la Souveraineté des Peuples.

L’état de siège : un échec personnel du président Tshisekedi ?

Un des problèmes majeurs auxquels Félix Tshisekedi n’a pas apporté de solution pendant son mandat, c’est l’insécurité dans l’est de la RDC. Malgré l’état de siège, cette partie du Congo reste un véritable mouroir. Beaucoup de civils y ont perdu la vie. Massacres, viols, embuscades, destruction d’habitations par des groupes armés, tel est le quotidien de la population du Kivu et de l’Ituri. La tragédie dure depuis près de 30 ans.

Guinée-Mali-Burkina-Niger : une « Alliance de putschistes » aux intérêts multiples se crée en Afrique de l’Ouest

Le 26 juillet dernier, le Niger a basculé dans une grande incertitude suite à ce qui risque d’être la pire crise politique de ces dernières années dans ce pays de la région très instable du Sahel. Le président de la République Mohamed Bazoum, démocratiquement élu et en fonction depuis avril 2021, est arrêté par des membres de sa propre garde. Leur chef, le général Abdourahamane Tchiani, s’est proclamé deux jours plus tard « président du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) » et nouveau chef de l’État. Depuis, celui qui se présente comme un otage de certains éléments de l’armée nigérienne est maintenu dans son palais à Niamey. La junte militaire qui vient de le renverser justifie son coup de force par la « détérioration de la situation sécuritaire » dans le pays qui est en proie à des attaques terroristes depuis plusieurs années.